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#103 : Le Livre d'Heures

Un gangster newyorkais demande l’aide du FBI pour retrouver une Bible de grande valeur qui a été volée. Une mission qui va tester la loyauté de Neal envers le FBI.

Popularité


4.44 - 9 votes

Titre VO
Book of Hours

Titre VF
Le Livre d'Heures

Première diffusion
06.11.2009

Première diffusion en France
28.09.2010

Photos promo

Neal Caffrey menacé par une femme armée

Neal Caffrey menacé par une femme armée

Neal Caffrey (Matt Bomer)

Neal Caffrey (Matt Bomer)

Reese Hughes (James Rebhorn) discute avec Peter Burke (Tim DeKay)

Reese Hughes (James Rebhorn) discute avec Peter Burke (Tim DeKay)

Reese Hughes (James Rebhorn)

Reese Hughes (James Rebhorn)

Maria Fiametta (Callie Thorne) est arrêtée par Lauren Cruz

Maria Fiametta (Callie Thorne) est arrêtée par Lauren Cruz

Neal Caffrey et Maria Fiametta (Callie Thorne)

Neal Caffrey et Maria Fiametta (Callie Thorne)

Maria Fiametta (Callie Thorne)

Maria Fiametta (Callie Thorne)

Neal Caffrey (Matt Bomer)

Neal Caffrey (Matt Bomer)

Discussion houleuse entre Peter Burke et Neal Caffrey

Discussion houleuse entre Peter Burke et Neal Caffrey

Neal Caffrey (Matt Bomer) et Peter Burke

Neal Caffrey (Matt Bomer) et Peter Burke

Plus de détails

Réalisé par : John T. Kretchmer

Ecrit par : Tom Garrigus

Jones, Cruz et un autre agent du FBI sont en surveillance devant un restaurant quand l’homme de main de leur suspect vient leur demander de l’aide… 

Au bureau Barelli, le criminel que le FBI surveille explique à Hughes et Burke, qu’une ancienne Bible a été volée dans son église et qu’il a besoin des agents pour la retrouver. D’abord réticent, Burke se voit contraint d’accepter de lui en venir en aide mais seulement  contre l’arrêt de certains trafic de Barelli.

Chez Neal, ce dernier et Mozzie tentent de percer les secrets de la bouteille, en vain. Neal reçoit alors un appel de Peter qui a besoin de son aide, Neal part donc le rejoindre en demandant à Mozzie de continuer ses recherches.

Neal, Peter, Lauren et Jones sont à l’église où la Bible a été volée et interroge le prêtre. Barelli qui est aussi sur place leur dit que le voleur n’est pas l’un des paroissiens, il a visiblement vérifié lui-même… Avant de partir Peter demande si l’église pratique une soupe populaire, le prêtre répond que ce n’est plus le cas, et Barelli ne semble pas étranger à cet arrêt.

De retour chez lui, Neal avec l’aide de Mozzie tente de comprendre l’intérêt de voler une Bible. Moz lui apprend que la Bible qui a été volée est connue pour soigner les gens qui l’ont en leur possession. Ils en viennent à la conclusion qu’elle n’a pas été volée pour des raisons d’argent mais de croyance. 

Au bureau, Neal explique sa théorie à Peter, qui est sceptique, à vrai dire l’agent ne semble pas croire à ce genre de miracles. Ils retournent néanmoins à l’église interroger le prêtre pour savoir si l’une des personnes venant ici est a un proche malade, le prêtre pense alors à un sans-abri, Steve qui venait à la soupe populaire et qui a un proche malade. 

Dans un parc Neal et Peter rencontrent le fameux Steve, dont le proche malade n’est autre que sa chienne Lucy. Rapidement il leur avoue qu’il a pris la Bible et qu’il l’a donnée à la personne qui lui a demandé de la voler en prétendant qu’il soignerait sa chienne, mais bien sur il est parti avec l'ouvrage sans laisser de trace. 

Steve se rend donc au FBI où Lauren lui montre des photos de suspects en vain. Elle le laisse quelques instant pour rejoindre Neal et Peter qui sont sur le point de prendre un café. Voyant que Lauren n’obtient rien, les deux hommes rejoignent Steve. Celui-ci leur apprend qu’il était en Iraq et que c’est là bas qu’il a trouvé sa chienne, après une attaque de missiles. Hughes et Jones les rejoignent alors pour leur apprendre que le bras droit et neveu de Barelli, Paul Ignazio vient d’être assassiné. Steve qui voit la photo de l’homme reconnait celui qui lui a demandé de voler la Bible. 

Peter et Hughes se rendent sur la scène de crime, où l’agent en charge est Ruiz, qui ne semble pas apprécier Burke et encore moins sa collaboration avec Neal. Peter apprend alors qu’il ne peut pas enquêter sur le meurtre, et donc sur le vol de la Bible. 

Toujours sur les bords de l’Hudson, Peter explique la situation à Neal. Burke fait comprendre à son partenaire que lui ne peut pas faire grand-chose mais que cela ne veut pas dire qu’il en est de même pour Neal. Ce dernier lui demande donc sa veste du FBI en lui promettant qu’il ne se ferait jamais passer pour un agent du FBI.

Et en effet il ne le fait pas, Mozzie par contre… L’ami de Neal se fait passer pour un technicien de la scientifique qui doit faire quelques prélèvements dans la maison de la victime. Après avoir parler d’urine, et fait semblant d’appeler un supérieur le policier en faction finit par le laisser entrer. Une fois à l’intérieur, il est rejoint par Neal. Ils découvrent que leur suspect s’intéressait à une certaine, Maria Fiametta, une historienne vivant à Brooklyn. Neal appelle donc Peter pour le mettre au courant de ce qu’ils viennent de découvrir.

Les deux hommes se rendent donc chez Maria pour l’interroger. Celle-ci connait la réputation de Neal et commence à flirter avec lui, avant que Peter ne les ramène à l’affaire. Après avoir regardé des photos de la Bible, Maria leur apprend qu’il ne s’agit pas d’une bible, et Peter comprend qu’ils ont à faire à un livres d’heures. Quand Peter parle à la femme d’Ignazio elle lui répond qu’elle ne le connait pas. Avant que les deux hommes ne partent elle invite Neal à parler de manuscrits quand il le désire, ce qui exaspère Peter. 

Dans les rues de New York, Mozzie et Neal parlent une nouvelles fois de la bouteille, qui reste toujours un mystère. Une nouvelle fois Neal reçoit un appel de Peter et est contraint de partir. 

Chez Peter, les deux hommes parlent de l’affaire. Peter est persuadé que Maria leur a menti même s’il a du mal à croire que cette femme ait pu tuer un mafieux. Elizabeth lui ôte quelques doutes quand elle rentre pendue à son téléphone et visiblement bien remontée. Neal leur expliquent par la suite qu’ils ont à faire à un tour de passe-passe, Paul est lié à Steve et à Maria, il demande à Steve de voler la bible, puis la donne à Maria pour qu’elle la vende. Une fois Paul mort Maria et Steve n’ont aucun lien, ce qui rend impossible de lier Maria au vol. Elizabeth estime que Maria n’a du prendre aucun risque et donc qu’elle ne doit pas avoir la Bible chez elle, Neal est de son avis. Peter pense donc qu’elle va tenter de revendre rapidement l’ouvrage, et veux faire passer Neal pour un acheteur en faisant croire qu’il a recommencé ses affaires illégales. Mais la mise en place du plan semble être longue et compliquée. Elizabeth leur apporte la solution en proposant que Neal l’invite tout simplement à dîner étant persuadée qu’elle ne dira pas non. 

En effet Elizabeth avait raison et c’est donc autour d’une table de restaurant que l’on retrouve Maria et Neal. Ce dernier explique à l’historienne qu’il profite de sa collaboration avec le FBI pour étudier leur méthode et ainsi en apprendre plus sur l’équipe adverse. Pendant ce temps dans le camion de surveillance, Burke, Cruz et Jones écoutent toute la conversation, avant que Peter envoie ses deux agents installer des micros chez leur suspecte. Chez Maria, Lauren et Jones font ce qu’ils ont à faire et repartent comme si de rien n’étaient après avoir appris que Maria avait invité Neal à venir chez elle. Enfin presque Lauren a bien  failli faire tomber un porte-crayon… 

Arrivés chez Maria, celle-ci propose un verre de vin à Neal et remarque que son porte crayon a bougé de place, comprenant que ce n’est pas normal elle laisse Neal quelques instants et va visionner les vidéos de surveillance découvrant l’intrusion des agents… De retour dans son salon elle montre la Bible à Neal et lui avoue qu’elle ne lui fait pas confiance. Neal qui voit où a été placé le micro et qui comprend la situation, s’en saisit et le plonge dans son verre de vin, coupant la communication avec le reste de l’équipe. Il fait alors croire à l’historienne que le Bureau est sur le point de l’arrêter, et qu’elle ne peut pas garder la Bible. Il lui propose de lui racheter pour 250 000$ dans les deux jours. Même si la Bible vaut beaucoup plus chère, Maria n’a pas d’autre choix qu’accepter.

Le lendemain au bureau, Hughes, Ruiz et Burke font le point sur l’affaire. Peter apprend à ses collègues que Maria a bien la Bible et qu’elle ne la vendra qu’à Neal, ce qui agace fortement Ruiz. Il pense que Neal pourrait très bien les doubler, mais Peter est plus inquiet par le fait que Maria pourrait tuer Neal. Ce dernier les rejoint à ce moment là visiblement de bonne humeur.

Dans le bureau de Burke, l’agent donne le numéro d’un compte en banque à Neal avant qu’il ne rencontre Maria pour la vente. Neal ne peut s’empêcher de remarquer l’ironie de la situation, à un moment le FBI veut l’arrêter et à un autre il lui confie un quart de million de dollars. Il comprend alors que le Bureau à toute confiance en Peter, qui lui réplique que ceci montre la confiance que lui, lui porte. 

Chez les Burke, Peter se lève de bonne heure, la vente devant avoir lieu ce jour il a eu du mal à dormir. Sa femme remarque qu’il porte sa cravate porte bonheur et comprend que les enjeux de la journée sont importants. Peter explique à Elizabeth que pour faire croire à Maria que Neal double le FBI, il doit couper son bracelet électronique. Sa femme tente de lui faire comprendre qu’il devrait avoir un peu plus confiance en son nouveau partenaire. 

Neal attend devant chez Maria sous la surveillance de Peter, Lauren et Ruiz. Maria rejoint le jeune homme qui vérifie qu’elle n’a rien sur elle avant qu’elle n’en fasse de même avec lui. Neal finit par couper son bracelet et ils partent en voiture, suivis de près par les agents du FBI. 

Arrivés sur un terrain vague, Neal et Maria font leur transaction, une fois le transfert d’argent réalisé, Maria menace Caffrey d’une arme. Mais celui-ci qui s’en doutait lui montre qu’il a enlevé le chargeur, malheureusement il a omis d’ôter celle qui se trouvait dans le canon. Neal utilise la Bible pour se protéger, ce qui n’empêche pas Maria de lui tirer dessus juste avant l’arrivée de Peter et de l’équipe d’intervention qui l’arrête. Peter retrouve Neal à terre, l’homme n’a rien, la balle ayant finit sa course dans la couverture de la Bible. Après s’être relevé Caffrey confie l’ouvrage à un agent du FBI, c’est à ce moment que Barelli arrive. Il veut récupérer sa Bible mais Neal lui répond qu’il l’a donné à un agent, Peter s’énerve légèrement et l’on découvre que l’agent du FBI en question n’est autre que Mozzie qui finit par se débarrasser de la veste de Peter qu’il avait gardé jusque là. Barelli qui pense s’être fait doubler menace Neal mais Peter comprend où retrouver la Bible. 

Tout le monde se rend à l’église où Steve est avec Lucy et la Bible. D’abord énervé contre le sans-abri Barelli s’attendri devant la chienne. Apprenant qu’elle est malade il propose à Steve de la conduire chez un vétérinaire qu’il connait. Neal veut savoir comment Peter a su pour Steve et l’agent lui répond qu’il a écouté sa femme et décidé de lui faire un peu plus confiance. Un agent du FBI vient mettre un nouveau bracelet à Neal et Peter retrouve sa veste sur un banc de l’église. 

De retour chez lui, alors que Mozzie dort sur son canapé, Neal étudie de nouveau la bouteille, et ne trouve rien jusqu’au moment où il la pose près d’une bougie. La chaleur fait alors apparaître de nouveaux éléments sur l’étiquette. Neal réveille Mozzie pour lui montrer sa découverte. S’ils comprennent qu’il s’agit d’une carte du métro New Yorkais il n’ont aucune idée de sa signification…

 

Ecrit par laurine03

Episode 3 : « Le livre d'heures »

VOITURE DE SURVEILLANCE - JOUR

Clinton, souriant, entre avec des cafés.

Clinton : Bonjour, ma jolie.

Agent : Hum! Hum!

Clinton : Du café? (Les donnant) Bon! Du nouveau alors?

Lauren : Non, pas grand-chose. Ils n'arrêtent pas de parler d'une bible.

Clinton : Cà pourrait être un livre de comptes.

Lauren : En tout cas, çà a disparu et çà ne leur plaît pas.

Agent : Regardez! Il se passe quelque chose là.

Tous se mettent à fixer la caméra.

Lauren : C'est Barelli. Mais qu'est-ce qu'il fait ici?

Clinton : Je n'en sais rien. Mais ce n'est pas bon signe. Lui, c'est Paul Ignazio, son neveu. Branche le micro!

L'agent s'exécute.

Paul (Extérieur) : T'es sûr de toi?

Barelli : Vas-y!

Paul : Ok.... C'est de la folie.

Paul se dirige vers leur camionnette.

Clinton : Merde! Il vient vers nous.

Paul frappe à la porte du véhicule. Clinton lui ouvre.

Clinton : Hum! Hum!

Paul : Vous êtes du FBI pas vrai?

Les agents approuvent mal à l'aise.

Paul : On a besoin d'un coup de main.

BUREAU DU FBI - JOUR

Barelli assis, face à Peter et Reese.

Barelli : La semaine dernière, quelqu'un est venu dans mon église et a volé une bible.

Peter : Une bible? Une vraie bible?

Barelli : Ouais. Vous savez le déluge, Abraham qui sacrifice Isaac...vous en avez entendu parler?

Reese : Pourquoi venez- vous nous voir?

Barelli : Je paie mes impôts moi aussi.

Peter : Et, ben, ....portez plainte à la police!

Barelli : Oh!....(Rigolant) Sérieusement, Burke. Vos gars sont devant chez moi. Je sais, çà fait partie du jeu, mais çà veut dire que je ne suis pas libre de...découvrir qui a fait çà?

Peter : Oui. Çà veut dire que vous ne pourrez pas leur couper la tête tant qu'on sera derrière vous.

Barelli : (Souriant) Faut que je subisse ce genre d'accusation.

Reese : Venez-en aux faits!

Barelli : ...Cette bible, elle n'a rien à voir avec la bible que l'on laisse sur la table de nuit dans un hôtel, c'est....Il a 5 siècles d'histoires. Ce livre, il vient de Naples : des Saints ont prié sur cette bible.

Peter : Ah! .... (Se tournant, agacé, vers la fenêtre)

Reese de son côté, prie Barelli de ne pas bouger et rejoint Peter le long de la fenêtre.

Reese : Hum! Hum! ... Vos griefs personnels envers Barelli mise à part, je n'ai aucunes envies de voir l'Archevêque venir dans nos pattes parce que nous aurons refusé de tout mettre en œuvre pour retrouver une bible médiévale.

Peter : Ouais.... Mais si Barelli est venu nous voir directement, çà veut dire qu'il veut la revoir.

Peter se tournant vers Barelli et s'approche de lui.

Peter : D'accord. Jouons franc jeu! Vous allez vous confesser une fois par semaine, mais le FBI ne pardonne pas les pêchés. On ne travaille pas pour vous.

Barelli : Bon, que voulez-vous?

Peter : Vous arrêtez vos opérations de paris illégaux au club « Masso ».

Barelli : .. « Le Masso »... C'est un restaurant. (Se levant) Venez vérifier à l'occasion! Hum! ...Après jeudi.

Peter approuvant tandis que Barelli s'apprête à sortir.

Barelli : (Avec de grands gestes) S'il vous plaît.... S'il vous plaît. Aidez moi à retrouver cette bible!

Reese et Peter approuvent.

MAISON DE JUNE - CHAMBRE DE NEAL - JOUR

Neal et Mozzie, assis face à face, regardent la bouteille alors que Mozzie, ennuyé, claque des doigts sur la table.

Neal : ...Arrête! Stop!

Mozzie : C'est comme çà que moi, je réfléchis.

Neal prend la bouteille.

Mozzie : Ecoute! Soit tu as été un trop bon prof, soit alors... c'est juste une bouteille.

Neal : C'est plus que çà. C'est la seule chose que Kate m'a laissé. Y a un message là-dedans.

Soudain, le téléphone de Neal sonne. Il repose la bouteille et décroche.

Neal (Téléphone) : « Allo...Oui, Peter. J'arrive. Donne-moi 5 min! ah! D'accord. Oui. J'arrive tout de suite. »

Neal raccroche sous les yeux agacés de Mozzie.

Mozzie : Ah! Le revoilà celui-là encore.

Neal : S'il te plaît?

Mozzie : Oui. Je vais la ramener jusqu'au labo et je ferais des tests.

Neal : Tu n'as pas de labo. C'est un entrepôt.

Mozzie : C'est mon tic.

Neal : Merci, Mozzie.

Neal se lève et s'en va alors que Mozzie finit son thé.

generique

EGLISE - JOUR

Neal et Peter accompagné de son équipe visite l'église avec l'aide du prêtre, le père Allesio.

Prêtre : Cette bible appartenait à l'église St Camille de Lellis de Naples. Elle était ici depuis 1903. C'était le cœur de notre paroisse et voilà...

Lauren : Pas d'alarmes. Pas de témoins. Aucun signe d'effraction. Çà ressemble à un banal vol.

Peter : Rien d'inhabituel cette nuit-là, mon père?

Prêtre : Non. Pas que je me souvienne.

Peter : Que la police compare les empreintes avec le tableau de service de la paroisse. Quelque chose me dit que l'on va trouvé des concordances.

Barelli : Non. Personne de cette paroisse n'a volé cette bible.

Peter : Bien sûr. Vos gars sont tous des enfants de cœur, Barelli.

Neal : Aucunes caméras de surveillance?

Barelli : Le seigneur voit tout et nous, çà nous suffit.

Peter : Je ne sais plus bien à quel Saint me vouait. Si je me souviens, vous serviez la soupe populaire ici?

Prêtre : On ne la sert plus.

Peter fixe Neal alors que les deux autres se fixent mutuellement.

MAISON DE JUNE - CHAMBRE DE NEAL - JOUR

Neal et Mozzie discutant dans l'appartement.

Neal : Qui peut bien voler une bible?

Mozzie : Hum! Les gens volent de tout.

Neal : Et pourquoi t'en volerai une? ...Juste en théorie.

Mozzie : Euh! ... Elles sont rares.

Neal : Oui. Çà leur confère un peu de valeur, mais seulement c'est pas un Picasso. C'est un marché spécifique. Difficile à percer.

Neal servant un verre à Mozzie.

Neal : ...Parfois les gens sont bizarres...(Lui donnant son verre) Acheter des objets religieux volés.

Mozzie : Je crois que çà doit être ironique. Tu vois. Pestez contre le huitième commandement!

Neal : Hum!... Tu ne voleras point.

Mozzie : Cà dépend de ce qui est important pour ces personnes. Est-ce que tu savais que la boîte à tartine originale de « Star Trek » valait presque 600$, c'est impressionnant? J'essaye même pas de comprendre.

Neal : Et à la rigueur, je comprends. Mais pourquoi ce livre-là?

Mozzie : Parce que ton livre disparu est célèbre, elle guérit les gens, ta bible.

Neal : Vraiment? Çà vient d'où çà?

Mozzie : Et, bien, en 1588, la peste s'empare de la ville de Naples. Le père Camille apporte ce livre dans des bateaux remplis de malades sur le port et aucune personne ayant touché cette bible n'est morte.

Neal : Jolie histoire!

Mozzie : 20 ans plus tard, une femme aveugle retrouve la vue après avoir sauver cette bible du feu. Je te donne une flopée d'exemples, j'en ai pleins.

Neal : Non, non, non. Je suis sûr que tu peux. Çà ira...(S'approchant de lui) Ecoute! Si c'était pas vraiment pour l'argent. On pourrait la voler parce que l'on est un vrai croyant.

BUREAU DU FBI - JOUR

Neal rejoignant Peter dans ces dossiers.

Peter : Un vrai croyant?

Neal : T'as quelque chose de mieux?

Peter : Toutes les personnes qui fréquentent l'église sont fichés dans notre bureau. Les seules personnes que je ne suspecte pas sont en prison.

Neal :Cherchons du côté de ceux qui ont la foi.

Peter : Hum! Hum! Elle guérit les nonnes qui ont perdu la vue ainsi que les lépreux. On se croirait presque au catéchisme.

Neal : Ah! ...Ok.

Neal prend une feuille sur son bureau.

Neal : Regarde çà! ... En 1918, il y a 30 000 morts à New York dû à l agrippe espagnole et les gens de cette paroisse n'ont même pas eu un rhume.

Peter : Peut-être que celui qui la volait, croit qu'il va guérir avec.

Neal : Cà vaut le coup de creuser.

EGLISE - JOUR

Neal et Peter entre dans l'église et s'avance vers l'autel.

Peter : Alors personne dans cette église n'a attrapé la grippe.

Neal : C'est çà.

Peter : Pourquoi dans celle-ci et pas dans l'autre en bas de la rue? A cause d'un simple livre? C'est dur à avaler.

Neal : Je croyais que t'étais catholique.

Peter : Non-pratiquant.

Neal : Donc tu ne crois pas qu'un pouvoir divin est pu sauver la congrégation.

Peter : Oh! Je suis plus enclin à croire qu'ils ont fermés les portes et qu'ils se sont gavés de vitamine C.

Neal : Ou peut-être bien que Dieu fait avec ce qu'il a.

Peter : Alors Dieu aurait dit : « Fermez ces portes et avalez ces oranges! »

Neal : Possible.

Peter : Oh! Oh!...D'accord. Ecoute! Lors de l'enterrement du roi Tôt, tout le monde a fait un pata-caisse sur la malédiction des pharaons.

Neal : Oui. Les douze personnes qui sont entrées dans le tombeau sont mortes.

Peter : Oui. Ils ont probablement attrapé une infection bactérienne ...des germes. La voilà ton intervention divine.

Neal : Dieu n'utilise pas de bactéries.

Peter : Je préfère que mes miracles comportent un peu plus de tonnerres et d'éclaires.

Soudain, le prêtre les interrompt.

Prêtre : Messieurs, puisse-je vous aider?

Peter : Oh! Merci de nous recevoir à nouveau...Nous voudrions savoir une chose.... Vous ne nous avez pas dit que votre bible guérissait les gens, mon père.

Prêtre : J'ai cru que çà n'était pas important.

Peter : Et si, çà se pourrait.... Vous ne connaissez personne dans votre église qui croirait vraiment au pouvoir guérisseur de votre bible.

Neal : Un malade en phase terminal ou quelqu'un qui aurait un membre de sa famille malade.

Le prêtre s'éloigne inquiet.

Prêtre : J'avais peur que cela puisse arriver.

Peter : Quoi donc?

Prêtre : Hum!.... (Soupirant et se tournant vers eux.) M. Barelli a découragé les sans-abri de venir dans cette église.

Peter : En vous demandant d'arrêter la soupe populaire. (Le prêtre acquiesce.) Très chrétien de sa part!

Prêtre : Et donc la nuit du vol, j'ai laissé un pauvre sans-abri dormir dans notre sanctuaire. Il s'appelle Steve.

Peter : Et il est malade?

Prêtre : Non, mais c'est le cas pour quelqu'un qui lui est proche.

RUES DE NEW YORK - JOUR

Un homme parle à son chien.

Steve : Ah! Calme-toi!

Neal et Peter s'approche de lui.

Peter : Steve.... Bonjour....Hum! ....Je m'appelle Peter. Voici mon ami, Neal.

Neal : Salut.

Peter : Cà vous dérange si je vous pose deux ou trois questions.

Steve ne lui répond pas.

Peter : ...L'église où vous êtes resté la semaine dernière. Il leur manque une bible, vous en avez entendu parler.

Steve : ...Ouais. Je l'ai volé.

Peter regardant Neal en souriant.

Peter : Chouette. Il nous la faut maintenant.

Steve : Non...Non... Il me la faut.

Neal : Mais comment? Où est-ce qu'elle est?

Alors que de son côté, Peter soupire.

Steve : Je l'ai prise dans l'église comme il le voulait. Et il a dit qu'il me dirait : comment faire pour que Lucie aille mieux? Et il me l'a prise. Et il ne me l'a jamais rapporté... Vous savez où elle est?

Peter : Non, je pensais que vous sauriez.

Neal : Et qui est-ce qui vous a dit de voler la bible de l'église?

Steve : Ecoutez! Il a dit qu'il aiderait Lucie pour qu'elle aille mieux.... Et elle ne va pas mieux, c'est même pire.

Neal s'agenouille près du chien.

Neal : Qu'est-ce qui ne va pas chez elle?

Neal caressant la chienne.

Steve : ...Elle est fatiguée sans arrêt, la pauvre. Elle ne mange rien. Si je pouvais retrouver la bible, je suis sûr qu'elle irait mieux.

Peter : L'homme qui vous a dit de voler cette bible, est-ce que vous l'avez rencontré à l'église?

Steve : Euh!...Ouais.

Neal se relevant.

Peter : Steve. Si je vous montrais quelques portraits, vous pensez que vous pourriez le reconnaître?

Steve : On veut retrouver cette bible, vous comprenez? Elle est mourante, d'accord?

Peter : Oui.

De son côté, Neal acquiesce.

BUREAU DU FBI - JOUR

Lauren accompagné de Steve dans un bureau regardant les portraits avec son chien. Steve feuillette les classeurs.

Lauren : On peut continuer?

Steve : Quoi? ... Y en a encore plus?

Lauren : Ouais. Alor on va commencer par celui-là. D'accord?

Elle lui donne un nouveau classeur.

De leur côté, Neal et Peter sont dans les couloirs et se dirigent vers la machine à café.

Peter : Je suis ravi que l'on est suivi ton intuition. J'espère que cela nous mènera quelque part.

Neal : Oh! Il faut avoir la foi, non?

Peter : Oh! Il ne t'a pas fallu longtemps pour me la sortir, hein?

Neal lui souriant.

Neal : Je me retiens depuis le déjeuner.

Tous deux devant la machine à café, fixent Lauren au loin.

Lauren (Au loin) : Je reviens tout de suite.

Lauren rejoignant Neal et Peter la mine sombre.

Neal : C'est à ce point-là.

Lauren : C'est à ce point-là depuis une heure déjà.

Lauren fixe la machine à café ainsi que Peter.

Lauren : Allez! Donnez-moi çà et vite!

Lauren récupérant la cafetière. De leur côté, Neal et Peter rejoignent Steve, l'air perdu.

Peter : Toujours rien, hein?

Steve : Non. Non. Pas vraiment....Ecoutez! Je suis désolé de ne pas pouvoir vous aider plus... Je suis plutôt secoué depuis que je suis allé à Fallujah.

Soudain, Peter devient très sérieux.

Peter : Vous avez fait l'Irak?

Steve : Ouais....(Fixant sa chienne) C'est là que j'ai trouvé Lucie. ( La caressant) On devait...lancer une attaque sur une maison. On a vu deux missiles arrivés....Ils ont tout détruit sur leur passage. Ensuite, j'ai entendu un gémissement alors....j'ai soulevé ce morceau du toit et elle était là. Elle remuait la queue.

Peter : Vous arriveriez à regarder un p'tit livre de plus?

Steve : Ouais.

Soudain, Reese et Clinton se ramènent sérieux.

Peter : Mais qu'est-ce qu'il y a?

Reese : Un des hommes de Barelli s'est fait tirer dessus.

Peter : Qui donc?

Clinton : Paul Ignazio, le N°2 de Barelli.

Clinton déposant le dossier sur la table.

Peter : C'est son neveu.

Steve : C'est ce type.

Peter : De quoi?

Steve : C'est lui qui m'a demandé de voler la bible.

Peter, inquiet, fixe Neal.

ZONE DU PORT - JOUR

Peter et Reese arrivant sur la zone du crime. Peter découvre le cadavre pour l'identifier.

Peter : C'est notre homme. A bout portant.

Reese : Et aucun témoin.

Peter : Comme le corps n'est pas gorgé d'eu, je dirais que ...c'est tout frais.

Peter trouvant une douille pas loin du corps. Il met des gants et la ramasse.

Peter : Une douille de calibre 25... Calibre européen.

Soudain, un inspecteur s'approche d'eux.

Ruiz : C'est du calibre 20... On est à Brooklyn, mon pote. On est loin de la Bavière.

Peter, agacé, se tourne vers l'agent.

Ruiz : Peter Burke.... C'est un homicide. Tu te crois à une expo. Qu'est-ce que tu fais là?

Peter : Ruiz. Je vois qu'ils t'ont enfin laissé sortir de ton bureau.

Ruiz se penche sur le corps alors que Peter se relève.

Ruiz : Oui et tu es dans mon terrain de jeu maintenant... Où est ton petit animal?

Peter : Je l'ai laissé dans la voiture mais avec les vitres ouvertes.

Ruiz : Tu fais quoi sur ma scène de crime?

Peter : C'est en rapport avec mon dossier.

Ruiz : On parle de représailles criminelles. C'est mon enquête, maintenant... Tu ne me crois pas, demande à Hughes.

Peter, énervé, s'en va alors que Reese lui court après.

Reese : Peter.... Peter, venez voir!

Peter : Vous laissez Ruiz diriger la section du crime organisé. Incroyable!

Reese : On vous offre le poste tous les ans et tous les ans, vous la refusez.

Peter : Cà n'a rien à voir avec la pègre. La bible, c'est la clé de toute l'affaire.

Reese : Tout ce que vous avez, c'est un sans-abri avec une mémoire défaillante qui pense qu'Ignazio pourrait l'avoir entraîner à voler cette bible et nous avons un membre de la famille Barelli retrouvait mort....probablement tuer par les Moretti.

Peter s'arrêtant.

Peter : C'est bon. Çà va? D'accord. Je vais rester en dehors de cette enquête. Laissez-moi voir le corps de ce type juste une minute!

Reese : C'est l'affaire de Ruiz. Et il ne sera pas d'humeur à partager des infos tant que Caffrey sera avec vous.

Peter : Je vous en prie.

Reese : On sait tous que c'est un criminel, Peter. Et Ruiz est loin d'être le seul à avoir mis des réserves sur lui.

Peter : Mm....(Soupirant) D'accord.

Reese : Vous avez beaucoup d'autres dossiers en attente. Laissez la criminelle gérer cette affaire! D'accord?

Reese lui tapant sur l'épaule et s'en va rejoindre Ruiz. Alors que Peter est très agacé.

Quelques instants plus tard, Peter et Neal au loin, sur le port. Neal est assis alors que Peter fait les cents pas.

Neal : On est hors du cou.

Peter : On nous a demandé d'arrêter les frais. (S'asseyant à côté de lui.)

Neal : Mm.... Tu crois que ce sont des représailles de la part de l'autre famille.

Peter : Je ne crois pas que Paul aurait donné rendez-vous à un Moretti près de cette rivière. Pas avec tous ces règlements de comptes qu'il y a eu ici.

Neal : Et si Ruiz avait raison.

Peter : Si c'est un Moretti qui l'a tué.

Neal : Hum! Hum!

Tous deux se retournant.

Peter : Et, ben, on est peut-être sur le champs de bataille d'une guerre mafieuse.

Neal : Alors on fait quoi?

Peter : On ne peut pas faire grand-chose. Ruiz ne voudra jamais rien donner sur l'affaire.

Neal : Et donc çà nous amène où?

Peter : Comme je disais, je n'ai aucun moyen de faire quelque chose.

Peter fixant Neal intensément.

Neal : Tu ne trouves pas qu'il fait un peu froid là, comme çà, au bord de l'eau. Je peux t'emprunter ta veste.

Peter : Oh!

Neal : Tu le sais bien, Peter. Je ne me ferais jamais passer pour quelqu'un du FBI.

RUES DE NEW YORK - JOUR

Mozzie, muni de la veste de Peter, il s'approche de maison de Paul Ignazio où elle est gardée par un policier.

Policier : Oh! Oh!... Où vous croyez aller?

Mozzie : C'est chez Paul Ignazio. C'est son appartement, non?

Le policier, agar, ne s'est pas quoi dire.

Mozzie : ... Salut, Ted Jefferson. Je fais partie de l'équipe de récupération des preuves.

Mozzie lui tend la main, mais le policier est furieux.

Policier : Vous sauriez Thomas Jefferson qui me faudrait votre carte.

Mozzie : Hum! Oh! Désolez! (Cherchant sa carte) Je me suis tapé un double-homicide la nuit dernière....Oh! Elle est dans le fourgon. Vous voyez mon équipier l'a pris pour aller voir sa copine dans le Queens.

Mozzie essaye de passer mais le policier lui barre la route.

Policier : Cà c'est pas mon problème.

Mozzie : Je dois récolter un échantillon d'urine de la victime provenant de ces toilettes. Si j'y vais pas tout de suite çà pourrait empêcher la réactivité croisée de ....

Policier : J'ai des ordres aussi, mon pote. Pas de cartes, pas d'urines.

Mozzie : Oh! ...Oh! Je sais. Vous, vous allez y aller. (Sortant les instruments) C'est facile. Tout ce que vous avez à faire, c'est bien frotter autour de la cuvette des toilettes. Ensuite, vous placez le prélèvement dans le tube. Vous vissez la capsule sur le tube et voilà, c'est bon. On a l'échantillon.

Policier : Non. Jamais je ferias çà.

Mozzie : ...D'accord. Donc, là, çà devient votre problème.

Mozzie prenant son portable et faisant semblant de téléphoner.

Mozzie (Téléphone) : « Oui, Capitaine. Y en a un qui veut jouer les héros et il se nomme ....euh!... »

Policier : D'accord...D'accord. C'est bon. Tu peux y aller. Fais ce que tu veux.

Mozzie (Téléphone) : « Le héros est de retour dans notre camps. C'est bon. »

APPARTEMENT DE PAUL - JOUR

Mozzie allant vers la porte de derrière et ouvre à Neal.

Neal : Des problèmes pour entrer?

Mozzie : Aucun. Il croit que je récure les toilettes. Je pense que l'on a à peu près 10 min avant qu'il s'inquiète.

Neal : Pourquoi c'est le temps standard pour récurer les toilettes?

Mozzie : Oui. C'est tout à fait çà. Comment t'as deviné?

Neal : T'as l'air plutôt à l'aise avec ton coupe-vent du FBI. Tu pourrais peut-être envisager une nouvelle carrière.

Neal fouillant l'appartement sous les yeux outrés de Mozzie qui s'y colle aussi.

Mozzie : Non. Je préfère garder mon arme. Qu'est-ce que l'on cherche de beau?

Neal : Paul à convaincu un sans-abri de voler une bible, je veux savoir pourquoi? Je veux savoir qui l'a tué et je veux savoir si çà a un lien?

Tous deux fouillant chacun de leur côté.

Neal : ...Il cherchait quelque chose...(Lisant les feuilles sur la table) Guerre de 100 ans, histoire des croisades... et même les manuscrits en illuminer.

Soudain, Neal fouille son bureau et notamment les livres à l'intérieur.

Neal : ...Ah! Voilà, c'est çà. (Prenant un livre et le feuillette) Pourquoi un mafieux ferait-il des recherches sur le Moyen-âge? Çà te dit quelque chose Maria Fiametta?

Mozzie : Non. Je ne la connais pas. C'est qui?

Neal : Historienne de l'art à la fac de Brooklyn.

Mozzie : (Fixant le calendrier de Paul) Tiens! C'est bizarre? ... Paul avait justement rendez-vous à ... à la fac de Brooklyn.

BUREAU DU FBI - JOUR

Peter téléphonant à Neal toujours dans la maison.

Peter (Téléphone) : « T'as trouvé quelque chose? « 

Neal (Téléphone) : « Ton intuition était bonne. Ruiz est sur une mauvaise piste. »

Peter (Téléphone) : « Et comment tu l'as su? »

Neal (Téléphone) : « Un ami. »

Peter (Téléphone) : « Le même ami que... »

Neal (Téléphone) : « Le même, oui. Oui....Non, ce n'est pas une invention, il existe vraiment. »

Peter (Téléphone) : «Oui. Je sais qu'il existe. »

Neal (Téléphone) : « T'en sais beaucoup? »

Peter (Téléphone) : «Suffisamment... T'as trouvé quoi? »

Neal (Téléphone) : « Un professeur qui s'es spécialisé dans le marché noir et qui écrit sur les contrebandiers égyptiens, les pilleurs de tombes siciliens et sur les mafieux serbes. Je peux te jurer que quand tu fréquentes ce genre de types, t'as déjà eu les mains sales avant. »

Peter (Téléphone) : «Comment il s'appelle? »

Neal (Téléphone) : « Elle...s'appelle Maria Fiametta. »

Peter (Téléphone) : «Une femme... une nouvelle Cyndiana Jones. »

Neal (Téléphone) : (Surpris) « Hum! ... Tu veux que l'on aille la voir. »

Peter (Téléphone) : «Oui. Ce serait bien. »

FAC DE BROOKLYN - JOUR

Neal et Peter interrogeant Maria sur la bible.

Maria : Alors comme çà vous êtes du FBI?

Peter : Oui....Nous espérions que vous pourriez nous aider. Nous travaillions sur une affaire de bible volée. Montre-lui!

Neal lui tend un papier.

Maria : Merci...Agent?

Neal : Neal Caffrey.

Maria : C'est amusant. Il y a un très talentueux faussaire de manuscrits qui s'appelle également Neal Caffrey.

Neal : Et quel talent?

Maria : ...Non. C'est vous? ...(Rigolant) Et vous travaillez avec le FBI?

Neal : Oh! C'est....une sorte de travail d'intérêt général.

Maria : Je suis très curieuse... la carte de Vinland, elle est bien de vous?

Neal : Comment çà serait possible? Mais si c'est vraiment un faux, c'est spectaculaire.

Peter de plus en plus agacé face à l'échange.

Peter : Si on en revenait à notre petit problème...Une bible datant de la pré-Renaissance volait dans une église de Brooklyn.

Maria vérifiant les papiers.

Maria : C'est... magnifique. Mais ce n'est pas une bible.

Peter : Ah bon!

Maria : Pré-Renaissance, oui. Mais c'est trop petit pour être une bible.

Peter : Alors sûrement un livre d'heures.

Maria : Plus déjà, oui. Dans le style italien.

Neal le fixant égaré.

Peter : C'est un grand livre de prières pour montrer leur dévouement. Les moines, les nonnes devaient réciter les psaumes, les prières, les cantiques à des heures bien spécifique de la journée.

Neal : Catéchisme?

Peter : Tous les dimanches.

Maria : C'est un exemplaire qui était excessivement bon.

Peter : C'est-ce que pensez aussi Ignazio.

Maria : Pardon?

Peter : Vous connaissez ce nom?

Maria : (Mentant) Non.

Peter : Ah! Oui. Parce que nous pensons qu'il la volait.

Maria : Oh! J'espère que l'attraperez.

Peter : Hum! Trop tard. Il a été tué. Tout indique un règlement de comptes, mais nous avons toujours espoir de retrouver celui qui a volé le livre.

Maria : Moi aussi. J'aimerais savoir. Il est vraiment magnifique.

Peter : Voici ma carte. (Lui donnant) Si vous entendez quoique-ce soit ou si vous croisez quelqu'un qui voudrait l'acheter ou le vendre. Enfin, vous voyez ce que je veux dire.

Maria : Je vous contacte.

Peter allant pour s'en aller mais Neal continue la conversation.

Neal : Ce fût un plaisir.

Maria : Si jamais vous êtes d'humeur à discuter de manuscrits médiévaux....

Neal : Vous seriez surprise de savoir à quel point je suis d'humeur.

Maria : Hum! Hum! ....

Tous deux se souriant sous les yeux outrés de Peter. Puis ils s'en vont.

RUES DE NEW YORK - JOUR

Mozzie et Neal marchant dans la rue.

Mozzie : Tu voulais essayer de t'exercer au masochisme parce que si c'est le cas, tu as réussi. C'est juste une bouteille.

Neal : Le labo va devoir revoir sa copie.

Mozzie : Cette bouteille a été passé au peigne fin. Ils ont fait les empreintes, les tests chimiques...., lumière noire. Tout... J'ai même examiné le reste de vin qu'elle avait laissé dans la bouteille qui par ailleurs, était un vin délicieux. Très bon marché qui n'était pas plus vieux qu'Octobre dernier.

Soudain, Neal reçoit un SMS. Il s'arrête et le lit.

Mozzie : Hein? Ton ami du FBI te tient bien en laisse, on dirait.

Neal : Mozzie, s'il te plaît. Continue! Y a sûrement quelque chose. D'accord?

Mozzie ne lui répond pas alors que Neal s'en va.

MAISON DE PETER - JOUR

Tous deux assis devant le déjeuner.

Peter : Elle nous ment. Pourquoi? Elle est à deux doigts de retrouver notre sans-abri. Mais j'ai aussi beaucoup de mal à croire qu'une femme aussi séduisante et surtout professeur d'histoire...

Soudain, sa femme entre.

Peter : .... Élimine un mafieux.

Elizabeth de son côté, est au téléphone, furieuse.

Elizabeth (Téléphone) : « Non. Ce serait dangereux pour vous que je viens voir ce qui manque. Parce que si je viens vous voir, il n'y aura pas que les bougeoirs qui disparaîtront. Çà vous pouvait me croire. »

Peter, surpris, fixe Neal qui est abasourdi.

Peter : C'est peut-être possible en fait. Non?

Elizabeth raccrochant et souriant aux deux hommes.

Elizabeth : Salut, vous deux.

Neal : Salut.

Elizabeth : Désolez! Hum! ....Des petits problèmes avec mes vendeurs.

Elizabeth s'approche d'eux et s'assoit à leur table.

Peter : Oh! Non. T'inquiète. On essaye de savoir si une femme était capable de tuer.

Elizabeth : Oh! Oui. Je crois, oui.

Neal et Peter sont complètement abasourdi par la nouvelle.

Elizabeth : ...Quel est le souci?

Neal : ....Allez! On va faire un bandto, tu sais ce genre de jeu.

Peter : Support visuel. Joli!

Neal se servant des objets sur la table.

Neal : Bon! Le gobelet, c'est Paul, le mafieux mort...Steve sera la tasse de café, notre vétéran sans-abri. La belle tasse sera Maria. La serviette sera la bible.

Peter : Prends la salière pour Maria.

Neal : La tasse pour Maria. Observe! Commençons par Paul qui pour n'importe quelles raisons lit le livre de Maria et réalise que cette fameuse bible guérisseuse vaut un paquet d'argent. Mais c'est aussi la fierté de Barelli et il ne veut surtout pas que Barelli se fâche. Donc il envoie Steve....

Neal et Peter : ...volé la bible.

Peter : Il pourra nier en bloc plus tard.

Elizabeth :  Mais si çà ne fonctionne pas alors.... c'est le sans-abri qui va tout prendre. Mais c'est diabolique.

Neal : Hum! Là il prend la bible à Steve. (Continuant de manipuler les verres) Il appelle Maria pour la revendre. Y a un problème à cet instant?

Peter se levant.

Peter : Oui. L'échange ne se déroule pas comme prévu ou Paul décide qui veut à la fois le livre et le pognon.

Neal : Et bien quoique-ce soit, Paul finit à la morgue. La bible disparaît. Steve n'a jamais rencontré Maria.

Peter : Et notre fille s'en va tranquillement avec un livre hors de prix.

Peter soulevant la tasse qui contient la feuille.

Peter : Comment tu fais çà?

Elizabeth : On ne révèle jamais ses secrets.

Neal : Comment forcer Maria à nous révéler les siens?

Peter : (Se rasseyant) Oh! Si je suis assez convainquant, je pourrais peut-être avoir un mandat pour perquisitionner chez elle.

Elizabeth : Si elle est maligne, elle ne laissera jamais cette bible près d'elle.

Peter : Je n'avais jamais vu ce côté fourbe chez toi.

Elizabeth : Ne me cherche pas!

Neal : Elizabeth a raison. Elle ne gardera pas la bible chez elle.

Peter : C'est bon. Je sais. Elle savait bien qui tu étais. Neal Caffrey, le grand faussaire.

Neal : Soi-disant!

Peter : Soi-disant faussaire! Si elle a bien ce livre, tout va la lier à ce meurtre. Elle voudra s'en débarrasser et, pour l'instant, on contrôle toutes les voies. Mais si elle croit que çà pourrait t'intéresser.

Neal : La convaincre que je suis malléable.

Peter : On trouve des contacts dans la rue. On leur fournit l'info que ce vieux Neal Caffrey va bientôt faire son retour.

Neal : Non. Non. Non. Non. Çà prendrait beaucoup de temps et y a aucunes garanties.

Elizabeth : Pourquoi tu ne l'invites pas à dîner?

Peter la fixe surpris.

Peter : Cà pourrait marcher. Je crois qu'elle dirait oui.

Elizabeth : Ouais.

Neal : Je pourrais peut-être...

Peter la regarde agacé tandis qu'elle prend un air surpris et amusé.

RESTAURANT - SOIR

Neal et Maria dînant en tête à tête.

Neal : A l'histoire passée et à venir!

Tous deux trinquant.

Maria : Comment un agent du FBI arrive-t-il à avoir une table ici? Y a 6 mois d'attente?

Neal : Un agent du FBI ne peut pas...N'oubliez pas que j'ai eu une autre vie avant.

Maria : Ah! Oui. Et dites-moi! Vous croyez en la réincarnation?

Neal : Je dirais que oui... Mais parlons de vous....Qui étiez-vous dans votre présente vie?

Maria : Et, bien, j'ai toujours été la même personne avec une coupe des années 90.

Neal : (Rigolant) ...Cà j'en doute....Je vais lire dans vos lignes de vos mains.

Maria : Hum!...(Rigolant) Non.

Neal : Si. Çà m'aidera à combler les blancs.

Maria : Hum!(Rigolant) ....Non. Vous êtes sérieux?

Maria lui donnant sa main.

Maria : ...Vous n'allez pas me lire dans les lignes de la main maintenant.

Neal : (Fixant sa main) Hum!....De la corne. Vous n'avez pas peur de vous salir.

Maria : Ah! Oui. C'est vrai. Quoi d'autres?

Neal : ....Aucunes bagues. Pas de bagues et de la corne. J'imagine que c'est le travail qui a pris le dessus.

Maria : (Lui prenant la maint aussi) Vous non plus, vous n'en avez pas.

Neal : Non. C'est la prison qui a pris le dessus.

Tous deux se réinstallant.

Maria : Et çà ne vous fait pas bizarre ...de travailler pour le FBI?

Neal : Pas tant que çà. C'est toujours intéressant de voir comment l'équipe adverse fonctionne.

Maria : L'équipe adverse? Alors vous êtes toujours dans le circuit.

Neal : Oh! Non. Retraité et réhabilité.

Maria : ...Et avez-vous retrouver votre bible volée?

Neal : On y travaille...(Murmurant) Vous connaissez quelqu'un qui voudrait s'en procurer?

Maria : Possible...je suis souvent contactée par des pillards et c'est aussi la même chose pour les acheteurs....C'est une offre très alléchante.

Neal : J'en suis sûr. (Buvant son verre ainsi que Maria).

VOITURE DE SURVEILLANCE - SOIR

Lauren entrent et rejoint Peter et Clinton.

Lauren : Le juge Rattigan à fascé le mandat.

Lauren lui tendant le dossier.

Peter : Excellent! Alors Neal doit la garder éloigner de sa maison pendant au moins une heure. Combien y faut pour l'alarme?

Lauren : Deux min.

Peter : Alors allez-y!

Lauren et Clinton sortant du camion.

RESTAURANT - SOIR

Neal et Maria toujours entrain de dîner. Maria lui tend le menu.

Maria : Surprenez-moi!

Neal : Oh! Vous êtes sûre?

Maria : Hum! Hum!

Neal : Si je commandais quelque chose que vous détestiez. Que ferions-nous après?

Maria : Je vous fais confiance après tout....vous travaillez pour le FBI.

Neal : ...Un peu de vin.

Maria : Et vous lisez dans les pensées.

Neal : (Reposant le menu et murmurant) ...Et je parie que vous aussi.

MAISON DE MARIA - SOIR

Clinton et Lauren fouillant la maison.

Clinton : Et, ben, pas mal! Pour une prof de fac, hein?

Lauren : Ouais. Et, ben, c'est soit un escroc, soit une gosse de riche.

Clinton : Hum! ....(rigolant) Et pourquoi pas les deux?

Lauren : Hum! C'est le cas en général.

Lauren rattrape un vase de justesse qu'elle a bousculé.

Clinton : Beau réflexe!

Lauren : Euh!....Ouais. D'ailleurs, çà m'a l'air pas mal pour placer un micro.

Clinton : Ah! Ouais. Très bonne couverture!....Vas-y!

Lauren sortant les micros de son sac tandis que Clinton reçoit un SMS.

Clinton : Waouh! ...T'as vu? Elle le ramène ici pour le dessert.

Lauren : ....(Agacée) Tu m'étonnes.

Clinton : ...Quoi t'es jalouse de rater le dessert? (La taquinant)

Lauren posant les micros très énervée.

Lauren : ...Neal..(S'en allant) Jamais.

Clinton : Oh! Non. Jamais.

Lauren : Le café infecte que l'on a dans le fourgon m'ira très bien. Merci.

Tous deux s'en allant.

VOITURE DE SURVEILLANCE - SOIR

Peter est devant son ordinateur quand Lauren et Clinton rentrent de leur mission.

Peter : Cà y est! C'est bon.

Clinton : Ouais. Parfait.

Lauren : Hé! Lauren! Fais attention de ne pas renverser ce café infecte! C'est un mouchard. J'entends tout....Enregistre et rentre à la maison!

Lauren, gênée, lui sourit.

MAISON DE MARIA - SOIR

Neal et Maria rentrant du restaurant.

Neal : Après vous.

Maria : Hum! Hum!...(Rigolant et soupirant) Ah! ...Un peu de vin?

Neal : (Souriant) Pourquoi pas?

Maria allant chercher une bouteille et deux verres.

Maria : Alors... de quoi allons-nous parler?

Neal : Je connais une histoire qui parle de deux espions....Un duc français et un comte italien....

Soudain, Maria aperçoit que son vase a été déplacé et le mouchard.

Neal : ....Ils son ennemis. Ils passent une année entière à tenter de se piéger. Mais quand arrivé le Nouvel An, ils ont le droit de poser une question et l'autre devra répondre honnêtement.

Maria : Ouais. Le fin mot de cette histoire est de poser la bonne question, parce que l'on ne peut plus avoir une autre chance.

Neal : J'ai toujours dit que l'honnêteté était... le plus stimulant des jeux.

VOITURE DE SURVEILLANCE - SOIR

Clinton écoutant Neal et Maria.

Clinton : L'honnêteté est le plus stimulant des jeux et, ben, ...pourquoi çà ne se passe pas comme çà quand j'ai un rencard.

Peter : Parce que tu ne dis jamais des choses du genre : « L'honnêteté est le plus stimulant des jeux. ».

Lauren : Parce que personne ne dit jamais ce genre de choses.

Peter : Si, çà se fait dans le monde de Neal.

MAISON DE MARIA - SOIR

Maria se tournant vers Neal.

Maria : Ce vin a besoin de respirer. Je vais le mettre à décanter donc...vous pouvez mettre un peu de musique.

Maria s'en allant dans son bureau et s'assoit à son ordinateur qui est relié avec les caméras dans sa maison. Elle surveille Neal un instant puis, remonte en arrière et y voit les deux agents posés le micro. Elle est furieuse et vexée.

Neal (Au loin) : Et vous êtes de quelle humeur?

Maria : (S'écriant) Oh! Vous savez bien.

Neal : Ouais. Surprendre.

Quelques instants plus tard, Neal et Maria installés à regarder des objets d'art.

Neal : 10 ans à peindre la même bible...C'est harceler Dieu.

Maria : Hum! S'il n'y avait pas eu le dévouement de ces moines, nous aurions perdu une des plus importantes œuvres de la littérature grecque à jamais. Vous vous rendez compte?

Neal : Sensationnel!

Maria s'approchant de lui.

Maria : Je suis d'accord....Vous savez quoi....(Murmurant) je ne vous fais pas confiance.

Neal : (Murmurant) ...Vous avez raison, moi non plus. Je ne me fais jamais confiance.

Maria tente Neal en essayant de l'embrasser mais ils préfèrent tous deux jouer au jeu du chat et de la souris.

VOITURE DE SURVEILLANCE - SOIR

Les trois agents sont intrigués par le manque de bruit.

Lauren : On a un problème technique ou c'est moi?

Peter : On pourrait dire çà comme çà. Ouais....

Lauren finit par comprendre et se sent stupide.

MAISON DE MARIA - SOIR

Neal et Maria jouant toujours au même jeu.

Maria : J'aimerais jouer à ce jeu d'espion....Je vais vous poser une question.

Neal : ...et je devrais dire la vérité.

Maria : Hum! Hum! Vous devrez me dire la vérité.

Neal : D'accord....(Murmurant) Mais choisissez-là bien!

Maria : (Murmurant) Dites-moi quel Neal Caffrey vous êtes? ...Est-ce que vous travaillez pour les gentils ou jouez-vous un jeu plus imprudent?

Neal fixant le micro. Soudain, il s'éloigne d'elle et prend le micro dans le vase et le jette dans son verre de vin.

VOITURE DE SURVEILLANCE - SOIR

La ligne est brouillée. Les trois agents sont surpris et inquiets.

Lauren : Qu'est-ce qui s'est passé?

Peter : Neal est passé.

MAISON DE MARIA - SOIR

Maria est perplexe devant la situation.

Neal : Cà répond à votre question.

Maria : Possible.

Neal : Les fédéraux ont relié la bible de Barelli à Paul Ignazio. Et vous à Paul quand on vous a rendu visite à la fac. S'il vous plaît, maria, écoutez-moi! J'en suis la preuve vivante si les fédéraux veulent quelque chose de vous, ils retourneront toute votre vie pour l'avoir. Ils diront à Barelli que vous avez ce livre.

Maria : Même si je ne l'ai pas.

Neal s'approchant d'elle. Il lui prend la main et la pose sur une bible.

Neal : ....J'aurais rassembler 250 000$ dans deux jours.

Maria : Vous savez quel vaut beaucoup plus que çà.

Neal : Pas si vous êtes en prison ou morte...Entre le Fbi et la mafia, vous n'avez aucunes marches de manœuvres. J'en ai une.

Maria : Vous connaissez bien l'équipe adverse....Si je ne devais pas m'y risquer, pourquoi vous? Ils vont vous y remettre pour de bon.

Neal lui montrant son traceur.

Neal : Je suis déjà en prison. On fait affaire.

Maria rigole.

BUREAU DU FBI - JOUR

Peter débriefant dans les couloirs avec Reese et Ruiz.

Reese : Comment avez-vous su qu'elle était dans le coup?

Peter : Une intuition.

Reese : Ruiz?

Ruiz : J'ai vérifié le compte de Paul, il a reçu un virement de 10 000$ d'une société écran basée à Gibraltar ...que possède voter chère professeure.

Reese : Oh fait! La pêche a été bonne hier soir. Vous avez eu des enregistrements?

Peter : Le matériel nous a lâché mais...Caffrey dit qu'elle a la bible....Elle la vendra, mais...juste à lui.

Reese : Oui. J'aurais parié qu'elle dirait çà. Qu'est-ce qu'elle exige?

Peter : 250 000 viré sur un compte en Suisse.

Ruiz : Pas question. Et si elle passe un marché avec lui ou s'il s'enfuit avec le livre.

Peter : On a une autre option.

Reese : Non. Nous n'en avons pas. Je n'ai pas envie de pêcher un autre cadavre dans le East River. On va ouvrir un compte fictif.

Reese prêt à s'en aller.

Peter : Non. (Reese se retourne) Si jamais elle tire sur Neal.

Ruiz : Ce n'est pas moi que çà va empêcher de dormir.

Soudain, Neal souriant s'approche d'eux.

Neal : Bonjour, tout le monde...Vous avez bien dormi?

Peter lui sourit.

BUREAU DE PETER - JOUR

Quelques instants plus tard, tous deux dans son bureau. Peter raccroche un portable.

Peter : La banque des îles Caïmans. D'accord? (Se levant et rejoignant Neal) Je t'enverrai le code juste avant la vente.

Peter lui donnant le portable.

Neal : Ah!...D'abord, ils me renvoient en prison, le lendemain, on me donne un quart de millions de dollars viré sur un compte Offshore, tu te rends compte? ....Je crois que çà montre à quel point, ils ont confiance en toi?

Peter approuve.

Peter : Et à quel point j'ai confiance en toi.

Neal, gêné, ne répond pas.

MAISON DE PETER - JOUR

Peter descend les escaliers pour rejoindre sa femme dans le salon où elle est assise devant son ordinateur.

Elizabeth : Tiens!

Peter : Salut.

Elizabeth : Bonjour. T'es matinal?

Peter : Oui. J'arrivais pas à dormir....Grosse journée.

Elizabeth : (Souriant) Oh! Çà se voit. Tu portes ta cravate fétiche....Vous avez trouvé la bible?

Peter : Ouais...Le professeure.

Elizabeth : Ah!....

Peter : Et Neal va la lui racheter.

Elizabeth : Vous allez même lui donner l'argent...Waouh! Normal! Cravate fétiche!

Peter : Sûrement pas. On a mise en place un virement fictif.

Elizabeth se tournant vers lui.

Elizabeth : Alors pourquoi tu es inquiet? Dis-moi!

Peter : Il doit la convaincre qu'ils nous doublent. Ce qui veut dire aussi qu'il va devoir enlever son traceur pour de bon. Ce livre vaut une fortune, il pourrait s'enfuir avec.

Elizabeth se lève et le rejoint.

Elizabeth : Ouais. (Lui mettant sa cravate) T'as plus confiance en ta vieille cravate fétiche qu'en Neal?

Peter : Oui. Mais ma vieille cravate fétiche n'a jamais contrefait l'inestimable carte de Vinland.

Elizabeth : Pourquoi s'est si dur pour toi de penser que Neal pourrait faire le bon choix?

Peter : (Souriant et soupirant) Mm. Disons que ce n'est pas son premier instinct.

Elizabeth : Et la confiance n'est pas le tien.

Peter : Zzz...Là c'est le boulot qui veut çà. Tu sais que j'aime savoir sur qui je peux compter.

Elizabeth : Je le sais. Oui....Mais pour le moment, il faut faire acte de foi....Um! Hum!

Elizabeth l'embrassant pour l'encourager, puis elle retourne travailler.

VOITURE DE SURVEILLANCE - JOUR

Les agents surveillent Neal dans la rue.

Ruiz : Regarde-le! ...On devrait le mettre aux fers si tu veux mon avis.

Peter : Je n'en veux pas de ton avis, Ruiz.

Ruiz : Il t'a arnaqué aussi, Peter.

Lauren : Cà y est. Elle arrive.

RUES DE NEW YORK - JOUR

Maria sortant de sa maison et rejoignant Neal.

Maria : Salut.

Neal la prend dans ses bras et lui murmure.

Neal : On n'est pas tout seul....Fourgon blanc au-dessus de mon épaule gauche.

Maria suivant l'indication et fixant le véhicule. Tandis que Neal la fouille tendrement.

VOITURE DE SURVEILLANCE - JOUR

Lauren fixant la scène, elle est furieuse.

Lauren : Et après, on dit qu'il ne faut jamais mélanger travail et plaisir.

Peter : C'est pour nous. Il la palpe, c'est tout.

Ruiz : J'irai en griller une après cette palpation.

RUES DE NEW YORK - JOUR

Neal relâchant Maria tout sourire.

Neal : T'es clean.

Maria : Merci....A ton tour.

Maria l'embrasse fougueusement tandis qu'elle passe un détecteur à métaux le long de son corps.

VOITURE DE SURVEILLANCE - JOUR

Lauren de plus en plus furax face à la situation sous les yeux surpris de Peter.

Lauren : elle fait quoi là? Elle veut être sûre qu'il a aucuns flingues dans sa poche.

RUES DE NEW YORK - JOUR

Maria s'arrêtant et lui sourit.

Maria : Zéro mouchard. Alors où est mon argent?

Neal sortant son portable.

Neal : Alors où est mon livre?

Maria déverrouillant une voiture.

Maria : Tu es prêt?

Neal : Une fois que j'aurais enlevé le traceur. Nos amis dans le fourgon sauront que je m'enfuis. Tu peux les semer. Pas question qu'ils me reprennent.

Maria : J'ai été poursuivi par les carabines, les cartels de drogue de Bogota.

Neal : Oui. D'accord. J'ai saisi.

Neal s'agenouillant, sortant un couteau et coupe le traceur. Alors il se met à bipper.

Maria : Malgré tout le respect que je te dois, on aurait pu faire une fine équipe tous les deux.

Neal : Malgré tout le respect que je te dois, tais-toi et conduis!

Maria, abasourdi, monte dans la voiture suivi de Neal.

VOITURE DE SURVEILLANCE - JOUR

Peter constate l'acte de Neal.

Ruiz : Il a coupé son traceur.

Peter : Pile à l'heure, d'ailleurs.

Ruiz : Pourquoi ? C'était prévu?

Peter : Bien sûr. Il doit la convaincre qu'il manipule le système.

Ruiz : S'il le fait vraiment. On fait quoi?

Peter : Il a douze voitures banalisées sur les environs et la police a envoyé un hélico. Il y a nulle part où se cacher. Allez! Roule!

L'agent coopère et démarre.

ZONE DE LA MARINA - JOUR

Neal et Maria stoppant dans une zone désaffectée de la Marina. Neal et Maria sortant du véhicule.

Maria : J'arrive pas à croire que je vais faire çà. C'est vrai. J'ai tellement couru après.

Maria ouvrant le coffre.

Neal : C'est sûr. Çà ne devait pas se passer comme çà.

Maria : Hum!

Maria lui montrant la bible. Neal met des gants et la prend. Puis il la feuillette et la sent.

Neal : C'est du papier vélin ....Abyssus Perfidia ....(Feuilletant l'ouvrage.) ...Le calice en or de Paul....

Maria : Tu es satisfait?

Neal : Bien sûr.

Neal sortant son portable et composant un code.

Neal : J'envoie....C'est parti.

Maria vérifiant son compte sur son portable.

Maria : Et le voilà. Merci beaucoup.

Neal : Ce fût un plaisir de faire affaire avec toi.

Soudain, Maria sortant un flingue et le pointant sur Neal.

Maria : Et tu ne sais pas à quel point çà aurait pu être encore mieux.

Neal : Tu vois. Je savais que notre petit dîner romantique s'était vraiment du vent.

Maria : Alors la prochaine fois, tu suivras tes intuitions.

Neal : Oh! C'est ce que j'ai fait.

Neal sortant le chargeur.

Neal : ...regarde un peu! Je l'ai enlevé quand je te palpais tout à l'heure.

Maria : Tu as oublié d'enlever celle qui est dans la chambre.

Neal : Et merde. J'ai jamais été doué pour çà.

Maria : Donne-moi le livre, Neal!

Neal se protégeant avec l'ouvrage.

Neal : désolez! Si tu veux me tirer dessus, çà te coûteras une petite fortune. (Reculant) Qu'est-ce qu'il y a? Tu n'arrives pas à tirer, c'est à cause du pognon ou de son histoire?

Maria : Je crois que çà tu le sais déjà.

Neal : C'est pour çà que tu as tué Paul?

Maria : Paul a pensé qu'il pouvait avoir l'argent et le livre en plus.

Neal : Oui. C'Est-ce qui arrive quand on devient trop gourmand.

Maria lui tirant dessus mais c'est le livre qui prend la balle, ce qui n'empêche pas Neal de s'écrouler. Soudain, la cavalerie débarque.

Peter : (Hurlant) Lâchez votre arme! ...Lâchez votre arme ou on tire! ...Lâchez-là tout de suite! Lâchez votre arme!

Maria, agacée, s'exécute.

Peter : (Hurlant) Et les mains derrière la tête!

Maria s'exécute de nouveau. Lauren lui passe les menottes alors que Peter rejoint Neal.

Peter : (Hurlant) Un homme à terre! Un homme à terre!

Peter aidant Neal à se relever.

Neal : Ouf! J'ai failli y passer.

Peter lui souriant.

Peter : ...Le grand patron t'a couvert. Hein?

Un agent récupère la bible tandis que Barelli se pointe sur les lieux.

Peter : Ah! Ben je vais te dire. Tu fais plaisir à Lauren.

Ruiz : Oui. Mais pas à Barelli.

Peter remarque sa présence.

Peter : Comment vous et vos boyscouts êtes arrivés si vite?

Barelli : La police...J'ai un scanner qui capte leur fréquence. C'est juste un hobby.

Lauren mettant Maria dans la voiture.

Lauren : Attention la tête!

Barelli regardant Maria intensément.

Barelli : C'est elle qui a tué Paul.

Peter, souriant, approuve.

Barelli : ...Une petite dispute d'amoureux?

Peter : Seulement les affaires. Çà me fait mal de vous le dire, mais je crois que votre neveu avait décidé de faire des affaires sans vous avertir.

Ruiz : Oui. C'est triste. Si on ne peut plus faire confiance à sa famille alors à qui?

Barelli est vexé.

Barelli : Si vous avez fini, alors j'aimerais récupérer ma bible. La messe démarre dans une heure.

Peter : Cà vous ferait mal de dire « Merci ». Vous, hein? ....D'accord. Çà vous ferait mal. Allez! Donne-là lui s'il te plaît Neal!

Neal : Quoi?

Peter : Comment? Quoi? Donne-lui sa bible!

Neal : Je viens de la donner à un type du FBI.

Peter : Un type du FBI?

Au loin , Mozzie se sauve avec la bible, alors que Barelli de son côté est furieux.

Barelli : Tu crois que tu peux te foute de moi. (Lui murmurant) Tu vas regretter d'être né, je te le promets.

Neal : Ouais. J'ai l'habitude. J'arrête pas d'entendre ce discours.

Ruiz : Hé! Tu la fermes, Barelli.

Barelli : Pas question....C'est pas fini.

Barelli s'éloigne complètement énervé.

Ruiz : Où est-ce qu'elle est, Caffrey? Tu veux que je laisse Barelli te ramenait chez toi.

Neal : Je vous l'ai déjà dit, je ne sais pas du tout où elle est?

Soudain, Peter sourit.

Peter : ...Oh! Je crois que je sais.

EGLISE - JOUR

Steve assis à côté de l'autel avec la bible dans ses mains et sa chienne. Alors que les agents et Barelli le rejoignent.

Barelli : Hé, mon pote! Qu'est-ce que tu fais avec ma bible?

Steve : Elle serait morte si j'avais pas....

Steve lui donnant la bible et s'apprêtant à s'en aller.

Barelli : Pas si vite, petit con.

Steve se rasseyant.

Barelli : Tu sais à qui tu parles là?

Peter : Vous l'avez, Barelli. Alors laissez-le partir!

Barelli : Non. Je ne laisse pas tomber, vous rigolez.

Soudain, la chienne se met à lui lécher la main.

Barelli : Hé! Salut, ma puce.

Steve : Elle s'appelle Lucie.

Barelli s'accroupit face à la chienne et la caresse.

Barelli : Salut, Lucie.....Elle a l'air crevée. Qu'est-ce qui lui arrive?

Steve : Elle était malade jusqu'à aujourd'hui.

Barelli se relève.

Barelli : Je connais un véto à Yonkers. Il a sauvé Micarla du diabète. On va le voir tous les deux. On lui fait un bilan.

Neal et Peter approuvant du regard.

Steve : Ok.

Barelli s'en va suivi de Steve. Neal et Peter attendent un instant.

Neal : J'allais la rendre juste après Peter.

Peter : Je sais.

Tous deux s'en vont.

Neal : Comment çà tu savais?

Peter : Bon. D'accord. Je ne savais pas. Mais ...par moment, il faut bien faire acte de foi.

Neal : Elizabeth?

Peter : Ouais.

Neal et Peter rigolant tandis ce qu'au loin, Barelli donne la bible au prêtre.

Neal : Je t'avais dit qu'elle guérissait cette bible.

Peter : Oh! C'est reparti. J'y crois pas. Barelli est fou de chiens. C'est tout.

Neal : Y a pas assez de tonnerres et d'éclairs pour toi?

Peter : Oh! Ce n'est pas un miracle.

Steve et Barelli sortant bons amis.

Barelli (Au loin) : Allez, mon gars!

Neal fixant Peter.

Peter : On est loin de Moïse et de la Mer Rouge.

Neal : Je prends les miracles là où je peux les trouver.

Peter : Hum!...

Soudain, un agent apparaît.

Peter : Ah! C'est vous qui avait l'honneur.

Agent : Oui, Monsieur.

L'agent remettant son traceur à Neal.

Neal : Le revoilà.

Peter apercevant une veste du FBI sur un banc.

Peter : Hé! Çà ne serait pas ma veste.

Neal : Les voix du Seigneur sont impénétrables.

Tous deux s'en vont.

MAISON DE JUNE - CHAMBRE DE NEAL - JOUR

Neal, assis, toujours avec sa bouteille alors que Mozzie au loin, se repose. Soudain, il prend la bouteille.

Neal : Mozzie, réveille-toi! ...Mozzie...(Hurlant) Mozzie.

Il se réveille en sursaut.

Mozzie : Je veux voir votre mandat...Oh! Quoi?

Neal : Approche!

Quelques instants plus tard, tous deux devant la bouteille face à une bougie.

Neal : Du jus de citron et une bougie. Comment j'ai pu rater çà? T'as jamais été boyscouts?

Mozzie : Oh! Euh!...J'ai été viré disons...

Neal : Hum! Hum!...

Mozzie : Une course de petites voitures, des aimants: C'est toute une ...une histoire.

Neal acquiesce en souriant.

Neal : C'est une carte.

Mozzie : Du métro de New York si je ne me trompe pas... Cà veut dire quoi pour toi?

Neal ne lui répond pas mais il sourit.

A SUIVRE

Ecrit par Elena172

 

  

Episode 3 : « Book of Hours»

CAR MONITORING - MORNING

Clinton, smiling, among with cafes.

Clinton : Morning, sunshines.

Agent : Hum! Hum!

Clinton : Coffee.(Giving)What do we got? We got any headlines?

Lauren : Not much, although they keep bitching about his Bible.

Clinton : Could be a debt ledger.

Lauren : Well, whatever it is, it's missing, and they ain't happy about it.

Agent : Hey, guys, we have a situation.

All begin to fix the camera.

Lauren : Is that Barelli? What's he doing down here?

Clinton : I don't know, but it can't be good. That's Paul Ignazio, his nephew. Here, turn the Mike up.

The agent runs.

Paul (Outside): Are you sure about this?

Barelli : Do it

Paul goes to their truck.

Clinton : Damn. He's walking over here.

Paul knocks on the door of the vehicle. Clinton opens.

Clinton : Hum! Hum!

Paul : You guys are the FBI, right?

The officers approve uncomfortable.

Paul : We need your help.

FBI OFFICE - MORNING

Barelli sat opposite Peter and Reese.

Barelli : Last week, somebody walks into my church... steals the Bible.

Peter : A Bible? An actual Bible?

Barelli : Yeah, you know... the flood, Abraham sacrifices Isaac. You heard of it?

Reese : Why do you want our help?

Barelli : I'm a tax paying citizen.

Peter : So? File a police report.

Barelli : Oh!....(Laughing) Come on, Burke. You got your guys sitting on me. It's part of the game, I know, but it means that I'm not free to...uh, find out who did this.

Peter : Yeah, it means you're not free to bust heads until you do.

Barelli : (Smiling) Do I have to take these accusations?

Reese : Get to your point.

Barelli : ...This Bible... It's not just some book that the Gideons leave on the nightstand. This... this is five centuries of history from Naples. The saints prayed over this book.

Peter : Ah! .... (Turning, annoyed, to the window)

Reese on his side, pray do not move Barelli and Peter joined along the window.

Reese : Hum! Hum! ... Your personal feelings for Barelli aside, I don't need the archdiocese crawling down our necks because we refused to help recover a medieval Bible.

Peter : Fine. But if Barelli asked for our help, he must really want it back.

Peter turned to Barelli and approaches him.

Peter : All right, let's get this straight, here. You may go to confession once a week, but the Bureau doesn't forgive sins. We don't work for you.

Barelli : What do you want?

Peter : Shut down your book making operations at Masso's club.

Barelli : .. Masso's. It's a restaurant.(Rising) See for yourself any time... after Thursday.

Peter approving while Barelli preparing to leave.

Barelli : (With large gestures) Please. Please help me find my goddamn Bible.

Reese and Peter approve.

JUNE HOUSE - BED OF NEAL - MORNING

Neal and Mozzie, sitting face to face, look at the bottle while Mozzie, bored, snaps his fingers on the table.

Neal : ...Please stop.

Mozzie : It's part of my process.

Neal takes the bottle.

Mozzie : Look, either you taught her too well, or it's just a bottle.

Neal : It's more than that. It's the only thing Kate left me. There's a message here.

Suddenly the phone rings Neal. It is the bottle and wins.

Neal (Phone) : «Hello? Yeah, Peter. I'll be down in 5. Oh, okay. I'm coming right now.»

Neal hangs in front of Mozzie annoyed.

Mozzie : Oh, the man interferes yet again.

Neal : Can you please...?

Mozzie : Yes. I'll take it back to the lab, run some tests.

Neal : You don't have a lab. You have a storage unit.

Mozzie : Semantics.

Neal : Thanks, Moz.

Neal gets up and walks away while Mozzie finished his tea.

generique

CHURCH - DAY

Neal and Peter and his team visited the church with the help of the priest, Father Allesio.

Priest : The Bible belonged to the church of Saint Camillus de Lellis in Naples. It was brought here in 1903. It's been the heart of our parish. Now this.

Lauren : No alarm, no witnesses, no sign of a forced entry. It looks like a smash-and-dash.

Peter : Anything unusual that night, father?

Priest : No, not that I recall.

Peter : Have ERT. Run the prints against the parish roster. Something tells me we'll get a few matches.

Barelli : Nobody from this parish stole that Bible.

Peter : Oh, sure. You guys are all choirboys, right, Barelli?

Neal : No surveillance cameras.

Barelli : The Lord sees all. And that's good enough for us.

Peter : Maybe I'm getting my saint whatever's mixed up, but didn't you used to run a soup kitchen here?

Priest : Not anymore.

Peter fixed Neal while the other two bind to each other.

JUNE HOUSE - HOUSE OF NEAL - AFTERNOON

Mozzie Neal and talking in the apartment.

Neal : Who steals a Bible?

Mozzie : People steal everything.

Neal : Why would we steal one? Just in theory.

Mozzie : Uh, they're rare.

Neal : Yeah, it makes them valuable, but not like a Picasso. It's definitely niche markets. Tough to fence.

Neal used a glass Mozzie.

Neal : ...People get weird .... (giving him his glass)...about buying stolen religious artifacts.

Mozzie : I think it's an irony thing... that pesky eighth commandment.

Neal : Hum!... Yeah, "thou shall not steal.

Mozzie : Well, it depends what's important to people. Did you know that an original "Star Trek" dome lunchbox goes for 600 bucks? I don't try to explain it.

Neal : No, I... I can appreciate that, but why this one?

Mozzie : Well, your missing book is famous. It's known as the healing Bible.

Neal : Really? Attribution.

Mozzie : In 1588, the plague passed through Naples. Father Camillus carried the book into disease-stricken ships in the harbor. Not a single person who touched the Bible died.

Neal : Good story.

Mozzie : 20 years later, a blind girl regained her sight when she rescued the book from a fire. I could give you many more examples.

Neal : No, I... I'm sure you could.... (approaching him) Look, maybe you don't steal it for the money. Maybe you steal because you're a true believer.

FBI OFFICE - MORNING

Neal joining Peter in these cases.

Peter : True believer?

Neal : You got something better?

Peter : Every person in that church has a felony record. The only people I don't suspect are the ones in prison.

Neal : So, let's start with the faithful.

Peter : "It cures blind nuns and lepers." Sounds like every story in Sunday school.

Neal : Ah! ...Okay.

Neal takes a sheet on his desk.

Neal : Look at this. In 1918, 30,000 people in New York died from the Spanish flu. No one in this parish even caught a cold.

Peter : Maybe whoever took it thinks it's gonna heal them.

Neal : It's worth looking into.

CHURCH - MORNING

Neal and Peter enters the church and walked down the aisle.

Peter : Nobody in this church got the flu?

Neal : It's true.

Peter : Why these guys and not the church down the block? Because of a book? Tough to swallow.

Neal : I thought you were catholic.

Peter : Lapsed.

Neal : So you don't think some higher power could have saved the congregation?

Peter : Oh, I'm more inclined to think they kept the doors shut and loaded upon vitamin C.

Neal : Maybe god works with what he's got.

Peter : And God said: "Shut thine doors and eat thine oranges"?

Neal : Why not?

Peter : All right, look. When they dug up King Tut, everybody made such a big deal out of the curse of the pharaoh.

Neal : Yeah, two dozen people who entered the tomb ended up dead.

Peter : Yeah, they probably caught some old bacterial infection. Germs... There's your divine intervention.

Neal : God can't use bacteria?

Peter : I prefer my miracles with a little more smiting and lightning.

Suddenly, the priest interrupts.

Priest : Can I help you?

Peter : Thanks for seeing us, father We wanted to run down one thing. You didn't tell us your Bible was also known as a healing Bible.

Priest : I didn't think it was relevant.

Peter : Could be. Was there anybody in your Church who is a true believer of the healing power of the Bible?

Neal : Someone who was terminally ill? Someone who had a sick family member?

The priest departs worried.

Priest : I was afraid this might happen.

Peter : What?

Priest : Hum!.... (Sighing and turning to them.) Mr Barelli has discouraged the homeless from the Church.

Peter : He made you shut down the soup kitchen. (The priest nods.) How Christian of him.

Priest : The night of the theft, I let a homeless man sleep in the sanctuary. His name's Steve.

Peter : Is he sick?

Priest : No. But someone very close to him is.

STREETS OF NEW YORK - AFTERNOON

A man talks to his dog. Neal and Peter approaches him.

Peter : Steve? Uh, my name is Peter. This is my friend Neal.

Neal : Hello.

Peter : You mind if we ask you some questions?

Steve doesn't respond.

Peter : ...The church you stayed in last week... they're missing a Bible. You know anything about it?

Steve : ...Yeah, I... I took it.

Peter looking Neal smile.

Peter : Great. We need it back.

Steve : No. No, I need it back.

Neal : What do you mean? Where is it?

While his part, Peter sighs.

Steve : I took it from the Church like he asked me to. Now, he said that he would show me how to help Lucy get better. Then he took it from me. Now, he has not brought it back. Do you know where he is?

Peter : No. I wish I did.

Neal : Who asked you to take the Bible from the church?

Steve : Look, he said that he would help Lucy get better. She's not getting better, okay? She's getting worse.

Neal kneels by the dog.

Neal : What's wrong with her?

Neal stroking the dog.

Steve : ...She's tired all the time. She don't eat nothing. Now, if I could get that Bible back, she'll get better.

Peter : The man who asked you to take the Bible...Did you meet him at the church?

Steve : Euh!...Yeah.

Neal rising.

Peter : Steve, if we show you some pictures, do you think you could recognize him?

Steve : We just need to get the Bible back, okay? 'Cause she's fading, all right?

Peter : Yes.

For his part, Neal agrees.

FBI OFFICE - AFTERNOON

Lauren along with Steve in an office looking at the portrait with his dog. Steve leaf binders.

Lauren : You okay to keep going?

Steve : What? There's more of them?

Lauren : Yeah. Let's, uh, just get through this one, okay?

She gives him a new workbook.
For their part, Neal and Peter are in the hallways and head to the coffee machine.

Peter : Glad we followed your hunch. I hope it takes us somewhere.

Neal : O ye of little faith.

Peter : Been waiting all day to trot that one out, huh?

Neal smiling him.

Neal : Been holding onto it since lunch.

Both before the coffee, set off Lauren.

Lauren (Off) : Um, I'm gonna be right back, okay?

Lauren joining Neal and Peter the dark mine.

Neal : That bad, huh?

Lauren : Yeah, "that bad" was about an hour ago.

Lauren sets the coffee maker as well as Peter.

Lauren : Just give me the damn thing.

Lauren retrieving the cup. For their part, Neal and Peter join Steve, looking lost.

Peter : No luck, huh?

Steve : No, not... not really, no. Look, um... I'm sorry I'm not more help to you. My bell got rung pretty good in Fallujah.

Suddenly, Peter gets very serious.

Peter : You were in Iraq?

Steve : Yeah..... (Fixing her dog) That's where I found Lucy. (Stroking her) We called in this predator strike on this trigger house. Two hellfires came in... and just destroyed everything. Then I hear this little whimpering, so... I lift up this piece of roof, and there she was, just wagging her tail.

Peter : Well, you think you could look at one more book?

Steve : Yeah.

Clinton (Off): Okay, the rest of you go over there, make sure NYPD doesn't touch anything.

Reese (Off) : Let's go get Peter.

Suddenly, Reese and Clinton come down seriously.

Peter : What's going on?

Reese : One of Barelli's men just got shot.

Peter : Who?

Clinton : Paul Ignazio, Barelli's number two.

Clinton filing the case on the table.

Peter : Barelli's nephew.

Steve : That's him.

Peter : Who?

Steve : That's the guy that asked me to take the Bible.

Peter anxiously fixed Neal.

PORT AREA - MORNING

Peter and Reese entering the area of crime. Peter discovers the corpse to be identified.

Peter : That's our boy. Close range.

Reese : No eyewitnesses.

Peter : Body's not waterlogged, so it's...fresh.

Peter found a bush not far from the body. It puts gloves and picks.

Peter : 25 caliber casing. European gauge.

Suddenly, an inspector approaches them.

Ruiz : It's a .22-caliber.... This is Brooklyn, buddy, not Bavaria.

Peter, annoyed, turns to the agent.

Ruiz : Peter Burke. This is a homicide, not an art exhibit. What are you doing here?

Peter : Ruiz, I see they let you out of your cubicle.

Ruiz focuses on the body, while Peter gets up.

Ruiz : Yeah. This is my shore now. Where's your pet convict?

Peter : I left him in the car with the windows cracked.

Ruiz : What are you doing at my crime scene?

Peter : This tails into my case.

Ruiz : This is mob retaliation. It's my investigation now. You don't believe me, ask Hughes.

Peter, upset, goes while Reese runs after him.

Reese : Peter.... Peter. Don't... don't start with me.

Peter : You've got Ruiz running organized crime? That's unbelievable.

Reese : We offer you that bump every year. Every year, you turn it down.

Peter : This isn't mob-on-mob. The Bible's the key to this thing.

Reese : All you got is a homeless guy with a spotty Memory who thinks Ignazio may have enticed him into stealing the Bible. What we got here is a dead member of the Barelli family probably killed by the Morettis.

Peter stops.

Peter : All right, fine. I'll stay out of the active investigation. Just let me take a look at whatever's on that body.

Reese : It's Ruiz's case, and he's not comfortable sharing until while Caffrey's with you.

Peter : Oh, come on.

Reese : He's a convicted felon, Peter. And Ruiz isn't the only one with reservations.

Peter : Mm....(Wispering) All right.

Reese : You have plenty of other cases on your sheet. Let organized crime handle this one.

Reese patting him on the shoulder and it will join Ruiz. While Peter is very annoyed.
Moments later, Peter and Neal far away on the port. Neal sits while Peter is pacing.

Neal : We're off the case.

Peter : We've been asked to step down. (Sitting next to him.)

Neal : Mm.... You think this is a retaliation killing by the other family?

Peter : I don't think Paul would have met a Moretti alone by this river, not with all the bad blood in the water.

Neal : Now, if Ruiz is right...

Peter : That a Moretti killed him?

Neal : Hum! Hum!

Both are returning.

Peter : We may be sitting on the edge of a mob war.

Neal : So, what do we do?

Peter : I can't do much of anything. Ruiz is not willing to share the case file.

Neal : So, where's that leave us?

Peter : Like I said, I can't do much of anything.

Peter laying Neal intensely.

Neal : I'm getting a little chilly by this water, aren't you? Think I could borrow your jacket?

Peter : Oh!

Neal : I swear to you, Peter, under no circumstances will I impersonate the FBI.

STREETS OF NEW YORK - AFTERNOON

Mozzie, fitted jacket with Peter, he approached Paul Ignazio house where she is guarded by a policeman.

Policeman : Oh! Oh!... Where do you think you're going?

Mozzie : This is Paul Ignazio's apartment, right?

The policeman, agar, did not say anything.

Mozzie : ... Hi, uh, Ted Jefferson from the evidence recovery team.

Mozzie out his hand, but the policeman is angry.

Policeman : I don't care if you're Thomas Jefferson. I need ID.

Mozzie : Oh, sorry. (Seeking the card) I pulled a double-hommy last night. It's in the van. My partner took it to see his girlfriend in Queens.

Mozzie tries to pass him but the police blocked the road.

Policeman : Not my problem, brother.

Mozzie : Look, I just need a urine swab from the vic's toilet. If I don't get it soon, it'll spike the cross-reactivity, and then...

Policeman : I got orders, too, pal. No ID, no pee.

Mozzie : Oh, I know. You can get it. (Leaver instruments) It's easy. All you got to do is swab around the rim of the toilet, then drop the swab into the tube, screw the cap on the tube, and, bam, we're good to go.

Policeman : No way. I'm not doing that.

Mozzie : ...Okay. Now it's your problem.

Mozzie taking his cell phone and pretending to call.

Mozzie (Phone) : « Yeah, cap. I got a local hero by the name of...»

Policeman :Okay, okay, pee boy. Get it yourself.

Mozzie (Phone) : « Oh, it turns out he hero's on our side. Never mind. »

APARTMENT PAUL - AFTERNOON

Mozzie going to the back door and opens Neal.

Neal : Any problems getting in?

Mozzie : None. He thinks I'm swabbing toilets. I figure we've got about 10 minutes until he gets curious.

Neal : Why, is that the standard toilet-swabbing time?

Mozzie : Yes, that's exactly what it is.

Neal : You know, you look pretty comfortable in that FBI windbreaker. Maybe it's time to consider a new career path.

Neal searching the apartment in front of Mozzie outraged that gets stuck too.

Mozzie : Nope. I prefer to keep my soul. What are we looking for?

Neal : Paul convinced our homeless guy to steal a Bible. I want to know why, I want to know who killed him, and I want to know if they're related.

Both searching their separate ways.

Neal : ...He was researching something.... (Reading the leaves on the table) Hundred years' war, the Crusades. Illuminated manuscripts.

Suddenly, Neal searched his office and in particular the books inside.

Neal : ...(Taking a book and leafing) Why is a mob guy séraphin the medieval history? Do you know the name Maria Fiametta?

Mozzie : Doesn't ring a bell. Who is she?

Neal : Art historian, Brooklyn State.

Mozzie : (Fixing the timing of Paul) Serendipity... Paul had an appointment at Brooklyn State.

FBI OFFICE - AFTERNOON

Peter always calling Neal the house.

Peter (Phone) : « You find anything? »

Neal (Phone) : « Your hunch was right. Ruiz is on the wrong trail. »

Peter (Phone) : « And how did you learn this?»

Neal (Phone) : « A friend.»

Peter (Phone) : «The same friend who... »

Neal (Phone) : « Same guy. He's real. I'm not making him up.»

Peter (Phone) : «Oh, I know he's real.»

Neal (Phone) : « How much do you know?»

Peter (Phone) : «Enough. What'd you find?»

Neal (Phone) : « A professor who writes about the black market...Sicilian grave robbers, Egyptian smugglers, and Serbian mobsters. I mean, you can't run with those crowds unless you're willing to get dirt under your nails.»

Peter (Phone) : «What's his name?»

Neal (Phone) : « Her name is Maria Fiametta.»

Peter (Phone) : «A woman. A regular "Cindiana Jones".»

Neal (Phone) : (Surprised) « Do you want to go meet her?»

Peter (Phone) : «Yeah, I think I do.»

UNIVERSITY OF BROOKLYN - AFTERNOON

Peter and Neal questioning Maria the Bible.

Maria : You gentlemen are with the FBI?

Peter : Yes, we're hoping you can help us out on this one. We're working on a stolen Bible. Show her.

Neal handed him a paper.

Maria : Thank you, agent...?

Neal : Neal Caffrey.

Maria : That's funny. There's a very talented manuscript forger also named Neal Caffrey.

Neal : How talented?

Maria : ...You're him....(Laughing) And you're with the FBI?

Neal : It's... sort of a work release.

Maria : I have to ask... um, is it true that the Vinland map is yours?

Neal : How could it be? But if it is a forgery, it's spectacular.

Peter increasingly annoyed face exchange.

Peter : How about we get back to my current problem? A pre-Renaissance Bible stolen from a church in Brooklyn.

Maria checking papers.

Maria : It's... very beautiful, but it's not a Bible.

Peter : It's not?

Maria : Pre-renaissance, yes, uh, but it's too small to be a Bible.

Peter : Then it's a book of hours.

Maria : Most likely, yes. In the Italian style.

Neal, fixing misplaced.

Peter : It's a large prayer book. To show their devotion, monks and nuns had to recite the psalms, hymns, or chants at specific times all day long.

Neal : Sunday school.

Peter : Lots of Sundays.

Maria : This is a particularly nice example.

Peter : Paul Ignazio thought so, too.

Maria : Sorry?

Peter : Do you know him?

Maria : (Lying) No.

Peter : We believe he stole it.

Maria : Oh, well, I hope you catch him.

Peter : Can't... He's dead. Looks like a mob hit, but we're still hoping to figure out who took the book.

Maria : I'd love to know. It's quite beautiful.

Peter : Here's my card.(Giving) If you hear anything or come across anyone who's looking to buy or sell something like that...

Maria : I will call you.

Peter : Thank you.

Peter going to go away but Neal continues the conversation.

Neal : It's a pleasure.

Maria : If you are ever in the mood to discuss medieval manuscripts...

Neal : Oh, you'd be surprised how often I'm in the mood for that.

Maria : Hum! Hum! ....

Both were smiling in front of Peter outraged. Then they go away.

STREETS OF NEW YORK - MORNING

Mozzie and Neal walking down the street.

Mozzie : Was this just an exercise in Schadenfreude? Because you win. It's just a bottle, man.

Neal : The lab needs to re-examine its work.

Mozzie : The lab went over very inch of that thing. Fingerprints, chemicals, black light... nothing. I even tested the remnants of the wine left in the bottle, which, by the way, was a very lovely boxed Franzia from early October.

Suddenly, Neal receives an SMS. He stops and the bed.

Mozzie : Oh, your FBI friend keeps you on a tight leash.

Neal : All right, look, keep looking, Moz. Something's there, okay?

Mozzie doesn't respond when Neal goes.

PETER'S HOUSE - MORNING

Both sitting at lunch.

Peter : She's lying about Paul, and she's two degrees away from our homeless guy, but I also have trouble buying the fact that an attractive history professor...

Suddenly, his wife enters.

Peter : .... offed a Mobster.

Elizabeth in turn, is on the phone, furious.

Elizabeth (Phone) : «No, you don't want me to see the missing inventory because if I come down there, there's gonna be a lot more missing than center pieces. You got that? »

Peter, surprised, fixed Neal is stunned.

Peter : Okay, maybe it's not a complete stretch.

Elizabeth smiled and hung up the two men.

Elizabeth : Hey, guys.

Neal : Hey.

Elizabeth : Sorry. Um, it was just my vendor.

Elizabeth approaches them and sits down at their table.

Peter : No, it's fine. We were just trying to decide if a woman is capable of murder.

Elizabeth : Oh, I think so.

Neal and Peter are completely stunned by the news.

Elizabeth : ...What's the issue?

Neal : ....I.... I think we're dealing with a shell game.

Peter : Visual aids. Nice.

Neal using objects on the table.

Neal : Big gulp is Paul, dead mob guy. Coffee cup is Steve, our homeless vet. Mug is Maria. Napkin's the Bible.

Peter : Make Maria the saltshaker.

Neal : Maria's the mug. Watch. We'll start with Paul, who, for some reason, reads Maria's book and realizes that the healing Bible is worth a hell of a lot of cash. But it's also Barelli's pride and joy. He doesn't want to risk Barelli's wrath, so he gets...

Neal and Peter : ...Steve to steal the Bible.

Peter : Plausible deniability.

Elizabeth : But if it doesn't work, then he let's the homeless guy take the fall. Well, that's evil.

Neal : Takes the Bible from Steve, (Continuing to manipulate lenses)calls Maria to make the deal. Something happens.

Peter, rising.

Peter : Yeah, the deal goes down wrong, or Paul decides he wants both the cash and the book.

Neal : Well, whatever it is, Paul ends up dead, the Bible goes missing, Steve never even met Maria.

Peter : And our girl walks away clean with a very expensive book.

Peter lifting the cup that contains the sheet.

Peter : Okay, how'd you do that?

Elizabeth : Never reveal your secrets.

Neal : Well, how do we get Maria to reveal hers?

Peter : (sitting down again) Well, if I stretch it, I might be able to get a warrant to get into her place.

Elizabeth : You know, if she's smart. She's not gonna have that Bible anywhere close to her.

Peter : El, I've never seen this devious side.

Elizabeth : Don't cross me.

Neal : Elizabeth's right about the Bible. She won't keep it close.

Peter : I've got it. She knew who you were... Neal Caffrey, master forger.

Neal : Alleged.

Peter : Alleged. Whatever. If she's got the book, it links her to the murder. She's gonna want to get rid of it. We've got all the usual channels locked down, but if she thinks you might be interested...

Neal : Convince her I'm pliable.

Peter : We find some street contacts, float it out that old Neal Caffrey is back in business.

Neal : No, that could take time to reach her, and there's no guarantee.

Elizabeth : Why don't you just ask her out?

Peter secures surprised.

Peter : That could work. Think she'll say yes?

Elizabeth : Yes.

Neal : I could prob...

Peter looks annoyed as she takes a look surprised and amused.

RESTAURANT - EVENING

Neal and Maria dined alone together.

Neal : To history, old and new.

Both toast.

Maria : How does an FBI agent get a table here? It's like a six-month wait.

Neal : Oh, an FBI agent doesn't. Don't forget... I had a previous life.

Maria : Oh, yeah. Do you believe in reincarnation?

Neal : You could say that. How about you? Who were you in your previous life?

Maria : Same person I've always been... with '90s hair.

Neal : (Laughing) ...I doubt that. Let me see your lifeline.

Maria : Hum!...(Laughing) No.

Neal : Come on, it'll... it'll help fill in the blanks.

Maria : Hum!(Laughing) ....You're not seriously...

Maria giving her hand.

Maria : ...... gonna read my palm right now, are you?

Neal : (Laying his hand) Calluses....Not afraid to get dirty.

Maria : Well, that's true. What else?

Neal : ...No ring. Between that and the calluses, I'm guessing work gets in the way.

Maria : (Taking her hand too) Not a ring for you, either.

Neal : Yeah. Prison got in the way.

Both resettling.

Maria : So, it must be weird for you...Working for the FBI.

Neal : I don't know. It's always interesting to read from the other team's playbook.

Maria : The other team? I thought you were out of the game.

Neal : Oh, I am. Retired and rehabilitated.

Maria : ...Have you found your missing Bible?

Neal : Not yet. (Murmuring) You know anyone who wants to buy one?

Maria : Maybe. Looters approach meal the time. So do buyers. It's a very attractive offer.

Neal : It sure is. (Drinking a glass and Maria).

SURVEILLANCE CAR - EVENING

Lauren come and join Peter and Clinton.

Lauren : Uh, Judge Rattigan faxed the warrant.

Lauren handing him the record.

Peter : Excellent. All right, Neal's got orders to keep her away from her home for at least an hour. Can you by pass the alarm?

Lauren : Two minutes.

Peter : Let's do it.

Lauren and Clinton out of the truck.

RETSAURANT - EVENING

Neal and Maria always spirited dinner. Maria hands him the menu.

Maria : Surprise me.

Neal : Oh, you sure?

Maria : Hum! Hum!

Neal : I might order something you don't like, and then where would we be?

Maria : I trust you. After all, you work for the FBI.

Neal : ...More wine?

Maria : Now you read minds?

Neal : (Based on the menu and murmuring) The question is, do you?

MARIA'S HOUSE - EVENING

Lauren and Clinton searching the house.

Clinton : It's not bad for a college professor, huh?

Lauren : Yeah, well, she's either a crook or a trust-fund baby.

Clinton : Hum! ....(Laughing) Yeah, maybe it's both.

Lauren : Hum! They usually are.

Lauren overtaking a vessel that has barely jostled.

Clinton : Nice catch.

Lauren : Yeah, not a bad place to drop a bug, either.

Clinton : Yeah. Yeah, yeah. It's good coverage. Let's do it.

Lauren leaving the microphones of his bag while Clinton received an SMS.

Clinton : Waouh! ...She's bringing him back here for dessert.

Lauren : ....(Annoyed) Of course she is.

Clinton : ...Oh, you jealous you ain't getting any of it?

Lauren posing mics very upset.

Lauren : ...Neal? No.

Clinton : Oh! No.

Lauren : I'm perfectly fine with the stale-ass coffee I have in the van, thank you.

Both went away.

SURVEILLANCE CAR - EVENING

Peter is at his computer when Lauren and Clinton returning from their mission.

Peter : Good?

Clinton : Yeah, we're good.

Peter : Careful, Lauren. Don't spill that stale-ass coffee. It's a bug. I can hear. They're home. Roll tape.

Lauren, embarrassed, he smiled.

MARIA'S HOUSE - EVENING

Neal and Maria returned from the restaurant.

Neal : After you.

Maria : Hum! Hum!...(Laughing and wispering) Ah! ...Some wine?

Neal : (Smiling) Why not?

Maria fetching a bottle and two glasses.

Maria : So... what shall we talk about?

Neal : There's this story about these two spies, a French duke and an Italian count.

Suddenly, Maria sees that his vessel was moved and the spy.

Neal : ....They're sworn enemies who spent the whole year trying to trick each other, but on new year's eve, they got to ask one question that the other had to answer truthfully.

Maria : Yes. The trick was asking the right question because you may never get another chance.

Neal : I've always said honesty is a more challenging game.

SURVEILLANCE CAR - EVENING

Clinton listening to Neal and Maria.

Clinton : "Honesty is a more challenging game?" Geez, how come my dates don't go like this?

Peter : Because you don't say things like, honesty is a more challenging game.

Lauren : That's because no body actually talks like that.

Peter : They do in Neal Caffrey's world.

MARIA'S HOUSE - EVENING

Maria turned to Neal.

Maria : This wine needs to breathe. I'm gonna get a decanter. Why don't you put some music on?

Maria went away in his office and sat at his computer that is connected with the cameras in his house. It monitors Neal a moment then goes back and sees the two officers placed the microphone. She is angry and upset.

Neal (Off) : What are you in the mood for?

Maria : (Exclaiming) Oh, you know...

Neal : Surprise you.

Moments later, Neal and Maria settled in looking at objects of art.

Neal : 10 years painting the same Bible. It's like stalking God.

Maria : If it weren't for the monk's devotion, we would have lost one of the most significant works of Greek literature forever.

Neal : Stunning.

Maria approached him.

Maria : I agree. You know what? (Murmuring) I don't trust you.

Neal : (Murmuring) ...Smart. I wouldn't trust me, either.

Maria tries Neal trying to kiss her but they both prefer to play the game of cat and mouse.

SURVEILLANCE CAR - EVENING

The three officers are puzzled by the lack of noise.

Lauren : I think we have a technical problem.

Peter : That's one way of putting it.

Lauren finally understand and feel stupid.

MARIA'S HOUSE - EVENING

Neal and Maria still playing the same game.

Maria : Let's play the spies game. I'll ask you a question...

Neal : ...And I have to tell you the truth?

Maria : Hum! Hum! And you have to tell me the truth.

Neal : Okay. (Murmuring) Make it a good one.

Maria : (Murmuring) Which Neal Caffrey are you? Are you working for the good guys... or are you working a bigger game?

Neal fixing the microphone. Suddenly he leaves her and takes the microphone in the vase and throws it into his glass of wine.

SURVEILLANCE CAR - EVENING

The line is blurred. The three officers were surprised and worried.

Lauren : What happened?

Peter : Neal happened.

MARIA'S HOUSE - EVENING

Maria is perplexed by the situation.

Neal : Did I answer your question?

Maria : Maybe.

Neal : The feds linked Barelli's Bible to Paul Ignazio, and you to Paul through his visits to the college. Look, Maria, I'm living proof. If the feds want something from you, they'll turn your life inside out to get it. They'll tell Barelli you have his book.

Maria : Even if I don't?

Neal approached her. He takes her hand and places it on a Bible.

Neal : ....I can get you $250,000 in two days.

Maria : It is worth a lot more than that.

Neal : Not if you're in prison or dead. Between the FBI and the mob, there's no way you can move it. I can.

Maria : The other team's play book. If I shouldn't risk it, why are you? Won't they send you back for good?

Neal showing his tracer.

Neal : I'm already in prison. We have a deal?

Maria laughs.

FBI OFFICE - MORNING

Peter debrief with Reese and Ruiz in the corridors.

Reese : How did you know she was in on it?

Peter : Lucky hunch.

Reese : Ruiz?

Ruiz : I checked Paul's credit. He got wired 10 g's from a shell corporation in Gibraltar owned by your lady professor.

Reese : Oh, by the way, how'd last night's fishing go? Get any tape?

Peter : Equipment failure. But Caffrey says she has the book. She'll sell, but only to him.

Reese : Of course he'd say that. The terms?

Peter : $250,000 wired to a Swiss account.

Ruiz : No way. What if he cuts a deal with her, he runs away with the book?

Peter : What choice do we have?

Reese : We don't. I don't need another dead body washing up in the east river. We'll set up a dummy account.

Reese ready to go.

Peter : It's risky. What if she takes a shot at Neal?

Ruiz : I wouldn't lose any sleep over it.

Suddenly, Neal approaches them smiling.

Neal : Morning, guys. Everybody sleep okay?

Peter smiled.

OFFICE OF PETER - MORNING

Moments later, both in his office. Peter hangs up a phone.

Peter : Cayman's first national. (Rising and joining Neal) I'll e-mail you the pin right before the buy.

Peter giving him the phone.

Neal : First they're sending me back to prison, tomorrow they're giving me a quarter million taxpayer dollars in an off shore account. Guess that shows how much confidence they have in you.

Peter approves.

Peter : And how much I have in you

Neal, embarrassed, didn't respond.

PETER'S HOUSE - MORNING

Peter descended the stairs to join his wife in the living room where she sits at her computer

Elizabeth : Morning. You're up early.

Peter : Couldn't sleep. Big day.

Elizabeth : (Smiling) I can tell. You're wearing your lucky tie. Hey, did you find the Bible?

Peter : Yeah. The professor had it.

Elizabeth : Ah!....

Peter : Neal's gonna buy it back.

Elizabeth : You're giving him money. No wonder... Lucky tie.

Peter : No way. We set up a fake wire transfer.

Elizabeth turned to him.

Elizabeth : Then what are you worried about?

Peter : He has to convince her that he's working us, which means he has to cut his anklet for real. The book's worth a fortune. He could run with it.

Elizabeth gets up and joins him.

Elizabeth : (He put his tie) Well You have a lot more faith in a ratty, old tie than you do Neal.

Peter : Yeah, well, this ratty, old tie's never forged a priceless map of Vinland.

Elizabeth : Why is it so hard for you to believe that he'll do the right thing?

Peter : (Smiling and sighing) Mm. Let's just say that's not his first instinct.

Elizabeth : And trust isn't yours.

Peter : Zzz...Occupational hazard. I like to know I can count on something.

Elizabeth : I know you do. But sometimes you just have to take a leap of faith.

Elizabeth kissing for encouragement, then she returns to work.

SURVEILLANCE CAR - MORNING

The agents monitor Neal in street.

Ruiz : Look at him. Son of a bitch should be in leg-irons if you ask me.

Peter : Nobody asked you, Ruiz.

Ruiz : He conned you, too, Pete, huh?

Lauren : Here she comes.

STREETS OF NEW YORK - MORNING

Maria out of his home and joining Neal.

Maria : Hey.

Neal takes her in his arms and whispers.

Neal : We have a chaperone. White van over my left shoulder.

Maria following the indication and setting the vehicle. While Neal tenderly searches.

SURVEILLANCE CAR - MORNING

Lauren setting the stage, she is furious.

Lauren : What happened to not mixing business with pleasure?

Peter : That's for us. He's patting her down.

Ruiz : I need a cigarette after that pat-down.

STREETS OF NEW YORK - MORNING

Maria releasing Neal all smiles.

Neal : You're clean.

Maria : Thank you. Your turn.

Maria kisses her passionately as she passes a metal detector along its body.

SURVEILLANCE CAR - MORNING

Lauren increasingly pissed at the situation under the surprised eyes of Peter.

Lauren : Well, what is that? She making sure that's not a gun in his pocket?

STREETS OF NEW YORK - MORNING

Maria stops him and smiled.

Maria : No bugs. So where's my money?

Neal out his phone.

Neal : Where's my book?

Maria unlocking a car.

Maria : You ready?

Neal : When I cut the anklet, our friends in the van are gonna know I'm running. Can you lose them? 'Cause I'm not going back in.

Maria : I've been chased by the Carabineer, drug cartels in Bogota...

Neal : I get it. You're good.

Neal kneeling, pulling a knife and cutting plotter. Then it starts beeping.

Maria : With all due respect, Neal... we could make quite a fine pair.

Neal : With all due respect, Maria, shut up and drive.

Maria, stunned, get in the car followed by Neal.

SURVEILLANCE CAR - MORNING

Peter finds the act of Neal.

Ruiz : He cut the tracker.

Peter : Right on schedule.

Ruiz : Oh, you knew about this?

Peter : Of course. He had to convince her he's rigging the system.

Ruiz : What if he really is?

Peter : There are a dozen unmarked in the area. NYPD has eyes in the sky. There's nowhere to hide. Let's go!

The agent cooperates and starts.

MARINA AREA - MORNING

Neal and Maria stopping in a disused area of the Marina. Neal and Maria out of the vehicle.

Maria : I can't believe I'm doing this. I spent a long time looking for her.

Maria opened the trunk.

Neal : I guess it wasn't meant to be.

Maria : Hum!

Maria showing her the Bible. Neal puts gloves and takes it. Then he flips and feels.

Neal : It's calfskin vellum. The abyssus perfidia.(Flipping through the book.) Golden chalice of Paul.

Maria : You satisfied?

Neal : Very.

Neal leaving his cell phone and dialing a code.

Neal : Sending. It's on its way.

Maria checking his account on his phone.

Maria : Here it is. Thank you very much.

Neal : It's a pleasure doing business with you.

Suddenly, Maria out a gun and pointing it to Neal.

Maria : You'll never know how much pleasure it could have been.

Neal : You know, I had a feeling all that lovey-dovey stuff last night was BS.

Maria : Next time you should trust your instincts.

Neal : I did.

Neal leaving the charger.

Neal : ...Clip. Lifted it when I patted you down.

Maria : You forgot about the one in the chamber.

Neal : Damn it. I've never been a gun guy.

Maria : Give me the book, Neal.

Neal protecting themselves with the work.

Neal : Sorry. You gonna take me on, it's gonna cost you a small fortune.(Backward) What's the matter? You can't do it? Is it 'cause of the money or the history?

Maria : I think you know the answer to that.

Neal : Is that why you killed Paul?

Maria : Paul decided that he wanted the money and the book.

Neal : Yeah, that's what happens when you get greedy.

Maria pulling him but this is the book that takes the ball, which does not Neal collapse. Suddenly, the cavalry arrives.

Peter : (Screaming) Drop the gun! Gun down or we shoot! Put the gun down!

Maria, irritated, runs.

Peter : (Screaming) Right now... put the gun down, your hands behind your head.

Maria runs again. Lauren handcuffed while Peter joined Neal.

Peter : (Screaming) Man down. Man down!

Peter helping Neal him up.

Neal : Cut it a little close there, pal.

Peter smiling him.

Peter : ...Guess the big guy had your back, huh?

An officer recovered the Bible while Barelli shows up at the scene.

Peter : Well, I'll tell you one thing. You made Lauren's day.

Ruiz : Yeah, not Barelli.

Peter notices his presence.

Peter : How did you and your cub scouts find out about this?

Barelli : NYPD? I got one of those police scanners. It's a hobby.

Lauren put Maria in the car.

Lauren : Head down.

Maria watching Barelli intently.

Barelli : She's Paulie's shooter?

Peter, smiling, approves.

Barelli : ...Some kind of lover's quarrel?

Peter : Just business. I hate to break it to you, but your nephew decided to freelance behind your back.

Ruiz : Oh, that's sad, you know. You can't trust family, who can you trust?

Barelli is annoyed.

Barelli : Would it kill you to say "thank you"? Huh? Would it? Yeah, I guess it would. All right, just give it to him, man.

Neal : What?

Peter : What do you mean, "what"? Give him the Bible.

Neal : I gave it to some FBI guy.

Peter : "Some FBI guy"?

In the distance, Mozzie escapes with the Bible, while Barelli on his side is furious.

Barelli : You think you can get over on me? (Murmuring him) You'll wish you were never born, pal.

Neal : Yeah, I seem to be getting this speech a lot lately.

Ruiz : Just shut up.

Barelli : No, No, I'm not gonna let this go

Barelli completely pissed away.

Ruiz : Where is it, Caffrey? I'll let Barelli give you a ride home.

Neal : Look, I'm telling you guys. I don't know.

Suddenly Peter smiled.

Peter : ...I know where it is.

CHURCH - MORNING

Steve sat next to the altar with the Bible in his hands and his dog. While the agents Barelli and join them.

Barelli : Hey, pally. What are you doing with my Bible?

Steve : She would have died without it.

Steve was given the Bible and preparing to leave.

Barelli : Not so fast, wacko.

Steve sat down.

Barelli : You know who you're messing with?

Peter : You've got it, Barelli. Just leave him alone.

Barelli : No, I'm not gonna let this go.

Suddenly, the dog starts to lick his hand.

Barelli : Hey, sweet girl.

Steve : Her name's Lucy.

Barelli crouched in front of the dog and a caress.

Barelli : Lucky Lucy. She don't look so good. What's the matter with her?

Steve : She's been sick... until today.

Barelli rises.

Barelli : I got this vet in Yonkers. He saved my pugs from diabetes. Want to take a ride, go see him, have her checked out?

Peter and Neal approving glance.

Steve : Okay.

Barelli leaves followed by Steve. Peter and Neal wait a moment.

Neal : I was gonna give it back after...

Peter : I know.

Both are gone.

Neal : How'd you know?

Peter : Okay, I didn't know, but I took a leap of faith that you did the right thing.

Neal : Elizabeth?

Peter : Yeah.

Peter and Neal laughing while that at a distance, Barelli gives the Bible to the priest.

Neal : I told you it's a healing Bible.

Peter : Oh, here we go. No way. Barelli's a softy for dogs.

Neal : Oh, not enough smiting and lightning for you?

Peter : That's not a miracle.

Steve and Barelli outgoing friends. While Peter Neal fixed.

Peter : Come on. It's not a parting of the Red Sea.

Neal : Well, I'll take my miracles where I can get them.

Peter : Hum!...

Suddenly, an officer appears.

Peter : Can we have the honors?

Agent : Yes, sir.

The officer handing his plotter Neal.

Neal : She's back.

Peter saw a jacket from the FBI on a bench.

Peter : Hey, is that my jacket?

Neal : He works in mysterious ways.

Both are gone.

JUNE HOUSE - HOUSE OF NEAL - AFTERNOON

Neal, sat still with his bottle while Mozzie off, resting. Suddenly, he took the bottle.

Neal : Mozy, look at. Moz. (Screaming) Mozy!

He wakes with a start.

Mozzie : Let me see your warrant. What?

Neal : Come here.

Moments later, both before the bottle against a candle.

Neal : Lemon juice in the canlde. How did I miss this? Weren't you ever a boy scout?

Mozzie : Oh. I got kicked out.

Neal : Hum! Hum!...

Mozzie : Pinewood derby, magnets, it was a whole... thing.

Neal nods, smiling.

Neal : It's a map.

Mozzie : Of New York City subway. What do you think it means?

Neal didn't respond but smiled.

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choup37, 18.04.2024 à 08:49

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chrismaz66, 18.04.2024 à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

choup37, 19.04.2024 à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

CastleBeck, Aujourd'hui à 11:48

Il y a quelques thèmes et bannières toujours en attente de clics dans les préférences . Merci pour les quartiers concernés.

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