270 fans | Vote

#105 : La jeune fille au médaillon

 

 

Peter et Neal recherchent un portrait de grande valeur qui a été volé, mais Peter suspecte Neal de succomber à la tentation...

Popularité


4.5 - 10 votes

Titre VO
The Portrait

Titre VF
La jeune fille au médaillon

Première diffusion
20.11.2009

Première diffusion en France
05.10.2010

Photos promo

Peter Burke (Tim DeKay) et Neal Caffrey (Matt Bomer)

Peter Burke (Tim DeKay) et Neal Caffrey (Matt Bomer)

Neal Caffrey (Matt Bomer)

Neal Caffrey (Matt Bomer)

Neal Caffrey (Matt Bomer) et Gerard Dorsett

Neal Caffrey (Matt Bomer) et Gerard Dorsett

Neal Caffrey (Matt Bomer) et Gerard Dorsett

Neal Caffrey (Matt Bomer) et Gerard Dorsett

Neal Caffrey (Matt Bomer) examine un objet

Neal Caffrey (Matt Bomer) examine un objet

Neal Caffrey (Matt Bomer) et Peter Burke (Tim DeKay)

Neal Caffrey (Matt Bomer) et Peter Burke (Tim DeKay)

Neal Caffrey (Matt Bomer) plaqué contre une voiture

Neal Caffrey (Matt Bomer) plaqué contre une voiture

Neal Caffrey (Matt Bomer) montre un objet à Gerard Dorsett

Neal Caffrey (Matt Bomer) montre un objet à Gerard Dorsett

Plus de détails

Réalisé par : Allan Arkush

Ecrit par : Jeff Eastin & Travis Romero

Neal et Mozzie sont à Grand Central Station, le lieu indiqué sur le plan de la bouteille. Neal découvre un message laissé par Kate qui lui demande d’arrêter de la chercher…

Chez Neal, celui-ci est sur la terrasse perdu dans ses pensées quand Peter le rejoint et lui apprend qu’un tableau d’Haustenberg a été volé chez un particulier. 

Dans la voiture les deux hommes parlent du tableau qui a été volé qui s’intitule « la jeune fille au médaillon ». Peter est inquiet car il pense que la tentation pourrait être trop forte pour Neal dans cette affaire. Puis il lui dit qu’il vérifie tous les jours où il va grâce au bracelet électronique et lui demande ce qu’il faisait à Grand Central Station. Neal lui répond qu’il était dans un bar à huître…

Chez la jeune femme qui a été volée, Julianna, celle-ci leur explique ce qu’il s’est passé au moment du vol. Le mardi alors qu’elle rentrait des cours plus tôt que prévu, elle a trouvé un type baraqué qui volait le tableau, celui-ci l’a frappée pour la menacer mais elle ne s’est pas laissée impressionner et s’est défendue. Alors qu’elle part chercher une photo du tableau, son oncle Gary arrive et repart presque aussitôt, son comportement intrigue Peter qui va lui poser quelques questions. La jeune fille revient avec une photo du tableau où l’on voit sa grand-mère qui lui ressemble énormément. Peter revient puis les deux hommes quittent les lieux.

Dans la rue en route pour le Bureau, Peter explique ce qu’il pense de Gary. Selon lui l’oncle devait devoir de l’argent à quelqu’un et a donc décidé de voler le tableau. Neal propose d’aller lui parler, Peter d’abord réticent accepte qu’il s’en charge s’il ne le menace pas et s’il ne lui ment pas. 

Neal retrouve donc Gary devant la voiture de ce dernier. Il lui demande si Julianna sait qu’il est complice dans le vol. Gary lui répond qu’il ne parlera pas au FBI, Neal réplique qu’il n’est pas un agent. Gary pense alors qu’il a été envoyé par quelqu’un qu’il connait. Il finit par lui faire un chèque destiné à l’homme à qui il doit de l’argent pour qu’il ne fasse rien à sa nièce. 

Neal rejoint Peter à qui il montre le chèque qui est au nom de Gerard Dorsett un sale type qui n’est pas inconnu de Peter. 

Au bureau Jones montre de vidéos de surveillance où l’on voit Dorsett et son homme de main Joshua. Ce dernier est blessé à la joue ce qui laisse penser qu’il est celui qui a affronter Julianna. D’après Jones les deux hommes ont tenté de revendre le tableau à de nombreuses galeries d’art. Peter explique que Dorsett est un français expatrié et usurier qui brûle les bureaux de ceux qui ne le remboursent pas à temps. Puis il apprend à Neal que celui-ci va le rencontrer. Quand Neal veut savoir comment il a arrangé le rendez-vous, Taryn Vandersant qui travaille pour une galerie d’art les rejoint. Elle explique qu’elle a dit à Dorsett qu’elle avait un client qui pourrait être très intéressé par la peinture. Peter exaspéré en voyant que la jeune femme semble séduite par le charme de Neal, demande à Jones de la mettre au parfum. 

De retour chez lui, Neal étudie une nouvelle fois la lettre laissée par Kate, en la pliant il y découvre un message caché « Sois là vendredi à midi ». 

Neal qui est à la galerie de Taryn est rejoint par Peter, les deux hommes ont une discussion sur les œuvres d’art avant que Taryn arrive pour demander à Neal de se préparer. Neal et Taryn mettent leur micros tout en parlant de Neal et de son passé. Pendant ce temps Jones et Peter sont dans une autre pièce et vérifie que le système de surveillance est en place. 

Dorsett et Joshua arrivent et sont accueillis par Taryn qui leur présente Neal sous le nom de George Devore. Alors qu’ils sont en train de faire la transaction, Dorsett veut en savoir plus sur la relation entre Neal et Taryn, ce qui agace Neal. Dorsett parle ensuite de sa petite amie une française du nom de Brigitte. Quand qu’il referme une porte il repère des hommes du FBI, il sort alors son arme pour avoir des explications avant de finalement s’enfuir avec l’argent. Peter et son équipe interviennent mais ne le rattrape pas. Ils arrêtent néanmoins Neal et Taryn afin de conserver leur couverture.

Dans la rue, Peter et Elizabeth parle de l’affaire et de Neal. Peter avoue qu’il a du mal à le comprendre, car il est obsédé par Kate et pourtant il drague Taryn. Elizabeth pense que si Neal s’intéresse à une nouvelle fille il pourrait arrêter de chercher Kate.

En arrivant au bureau, Peter essaye de parler de Taryn à Neal mais celui-ci lui répond qu’elle n’est pas son type, et qu’il comprend ce que l’agent tente de faire. Ils retrouvent par la suite le conservateur du musée Channing, qui est là pour leur parler du tableau volé. Celui-ci aurait appartenu au musée avant d’être dérobé. Neal lui fait remarquer qu’il n’est pas noté dans le registre des œuvres subtilisées. La tension entre les deux hommes est évidente. Le conservateur veut donc récupérer le tableau et fait remarquer qu’une personne achetant un objet volé est un criminel… 

Un peu plus tard, toujours au bureau Peter et Neal interroge Julianna sur la provenance du portrait. Elle leur explique que sa grand-mère est venue d’Hongrie avec après la guerre, quand ils sont interrompus par Jones qui a des informations pour Peter. Celui-ci quitte donc la pièce et Neal dit à Julianna qu’elle est une mauvaise menteuse et qu’il sait que sa grand-mère à voler le tableau. Il lui dit que sans une très bonne raison le tableau retournera à Channing et non chez elle. Elle lui montre alors son médaillon, qui est sur le tableau et Neal comprend que sa grand-mère est la jeune fille de la peinture. 

Lorsque Peter revient lui et Neal parlent de Dorsett et cherchent un moyen de le retrouver, ils pensent alors à sa petite amie et recherchent toutes les Brigitte venant de France et arrivées la veille. Ils finissent par établir une liste de 7 personnes pouvant correspondre et Peter décide d’envoyer des équipes surveiller chacune de ces femmes. Neal décide de se charger de celle descendue au Gansevoort car c’est là que lui irai.

En planque Neal s’ennuie et fait des origamis. Très vite la cohabitation avec Peter devient compliquée et l’agent finit par le laisser aller manger dans le restaurant de l’hôtel. Alors qu’il est à table Neal remarque deux femmes qui parlent français et va les aborder. Quelques minutes plus tard il Neal rejoint Peter pour l’informer que les deux femmes, Brigitte et Claire, les ont invité à monter dans leur chambre, d’abord réticent Peter accepte. En effet s’ils découvrent des preuves alors qu’ils sont invités dans la chambre celles-ci seront recevables. 

Dans la suite  Peter est très mal à l’aise. Lorsque les deux hommes remarquent que Brigitte veille à fermer sa chambre à clé, Neal décide de passer par la salle de bain pour voir ce qu’elle y cache, abandonnant Peter avec les deux françaises. Celles-ci le draguent ouvertement l’agent qui ne sait pas quoi faire. C’est alors qu’Elizabeth appelle son mari qui lui ment et lui dit être en boîte de nuit pour l’affaire. Mais quand les deux françaises reviennent à la charge il se voit obligé de raccrocher. Pendant ce temps Neal retrouve le tableau qu’il subtilise. Il découvre alors une inscription au dos du portrait « Pour ma très chère Julianna, garde le pour toujours ».

Le lendemain Dorsett arrive à l’hôtel et au lieu de trouver le tableau, il ne découvre qu’un papillon en papier…

Dan la rue, Neal propose à Peter de tout expliquer à Elizabeth pour les évènements de la veille, mais Peter refuse et n’a pas l’intention d’en dire plus à sa femme. Jones l’appelle alors pour le prévenir que Dorsett les a semés, et que la peinture a disparu. 

Chez les Burke, le couple s’installe pour le dîner et Peter avoue qu’il pense que Neal a pris la peinture, avant d’expliquer ce qu’il s’est réellement passé la veille au soir. 

Pendant ce temps Neal qui est chez lui avec la peinture reçoit un appel de Dorsett qui voulant récupérer sa peinture ne laisse que deux jours à Neal pour la lui rendre avant qu’il ne s’en prenne à Taryn.

Neal qui a été rejoint par Mozzie expose la situation à son ami. Il lui montre l’inscription au dos du tableau et explique que la peinture revient à Julianna et non au musée, c’est pourquoi il a volé la peinture. Mais la situation n’ayant pas tournée comme il le souhaitait il doit trouver une autre solution.

Finalement il se rend chez Peter pour lui avouer qu’il a le tableau, mais Peter refuse d’entendre ses explications. Néanmoins Dorsett ignorant qu’il travaille pour le FBI, Peter accepte d’en reparler le lendemain et renvoie Neal chez lui. Elizabeth rejoint son mari pour essayer de lui montrer le bon côté des choses… 

De retour chez lui et toujours en compagnie de Mozzie, Neal réalise une copie du portrait.

Le lendemain en route pour le rendez-vous avec Dorsett, Peter avoue à Neal que sa liberté conditionnelle dépend désormais de la résolution de cette affaire et qu’il le surveille désormais encore plus qu’avant. Neal rejoint le point de rendez-vous et donne le tableau à Dorsett comme prévu, l’équipe d’intervention se charge alors d’arrêter l’usurier. 

Au bureau, le conservateur du Channing analyse la peinture sous les yeux attentifs de Peter tandis que Neal est chez Julianna. Celle-ci lui explique que sa grand-mère était la fille illégitime du peintre. Celui-ci avait laissé le tableau à sa fille mais le musée à ignorer ses dernières volontés. Enfin Neal lui dit que le musée ne cherchera pas à reprendre le tableau car ils devraient alors expliquer pourquoi ils ont ignoré le testament du peintre. Toujours au bureau le conservateur s’intéresse à l’inscription au dos du tableau, et au lieu de trouver le mot du peintre il trouve un message de Neal : « Mon cher Walter je sais ce que tu as vu ici la dernière fois. NC ». Le conservateur comprend alors qu’il a un faux mais ne peut rien dire sans avoir à se justifier… Quant au vrai Le vrai tableau a retrouvé sa place chez Julianna.

Le vendredi comme prévu Neal se rend à Grand Central Station et est rejoint par Mozzie qui tente de raisonner son ami. C’est alors qu’un téléphone public sonne, Neal décroche, Kate est à l’appareil. Il la repère de l’autre côté de la rue. Elle lui demande de lui dire où il cache tout, car l’homme à la bague est proche et il ne la laissera le retrouver que lorsqu’il aura ce qu’il cherche. Mais Neal refuse de lui dire et part pour la retrouver. Mozzie prend donc le téléphone et Kate lui dit de dire à Neal qu’elle aime et que c’est le seul de moyen puis elle part. Quand Neal arrive où se trouvait la jeune femme celle-ci n’est plus là…

 

Ecrit par laurine03

Episode 5 : « La jeune fille au médaillon »

GARE - JOUR

Neal et Mozzie, devant la gare, examinant les lieux. Neal fixe la bouteille avec le plan dessus.

Mozzie : Kate t'a laissé une bouteille avec un plan dessus. Or voilà où celui-ci nous a conduit devant la gare centrale.

Neal : Quelque chose devrait me parler, Mozzie... Un détail particulier.

Mozzie : (Haussant le ton) Un détail particulier....devant la gare centrale.

Neal : Un truc qui me serait familier.

Mozzie : Comme elle nous enverrait n'importe où. Elle a choisi un endroit parmi lequel on va n'importe où.

Neal apercevant un « X » sous une poutre de auvent de la gare.

Neal : Mozzie...

Mozzie : Tu sais que dans le coin, il y a un super bar à huîtres.

Neal, préoccupé, ne l'écoute pas. Il lui donne la bouteille et se précipite vers la forme du « X ». Mozzie en est ébahi.

Neal : Il doit y avoir quelque chose à l'intérieur.

Neal récupérant le papier.

Mozzie : Le « X » indique l'emplacement .... Encore.

Neal : Kate aime les classiques.

Neal montre le papier à Mozzie. Mozzie, pressé, lui prend le papier des mains.

Mozzie : « Cher Neal. Je crois que tu me cours après. Je voudrais pouvoir m'expliquer mais le temps joue contre nous. Tu dois renoncer à me chercher. On ne nous retirera jamais ce que l'on a connu. Mais, maintenant, c'est fini. Ne regarde plus en arrière!...Kate. »

Neal : (Récupérant le papier.) Tout çà pour me dire de l'oublier.

Mozzie : Ou c'est un discours bipolaire...Ah!...J'aurais bien aimé me faire une bourriche.

Neal ne l'écoutant pas, fixe le papier. Mozzie est exaspéré.

MAISON DE JUNE - TERRASSE - JOUR

Neal, assis, seul, réfléchit, mais il est découragé. Soudain, on frappe.

Peter : Salut.

Neal : Salut.

Peter entre avec des dossiers.

Peter : T'as passé un bon week-end?

Neal : Oh! Rien de très exaltant. Je suis allé au parc.

Peter : Oh! Super. Je suis content que tu prennes l'air.

Neal : Un café?

Peter : Pas le temps. Un tableau a disparu.

Neal : C'est un italien torréfié.

Peter : C'est un .... Haustenberg.

Neal : Haustenberg! Waouh! On a braqué un musée.

Peter se servant un café après avoir filer le dossier à Neal.

Peter : Non. On l'a volé chez un particulier.

Peter boit son café.

Neal : Qui peut bien accrocher un tableau pareil au-dessus de sa cheminée?

Neal fixant Peter.

VOITURE - JOUR

Peter conduisant Neal vers le lieu du vol.

Neal : J'aime beaucoup Haustenberg. Quel tableau de lui a été volé?

Peter : Celui qui porte le nom de « Jeune fille au médaillon ».

Neal : On n'a pas de photos.

Peter : Non. Mais je parie que çà représente une jeune fille avec un médaillon.

Neal : On sous-estime ton sens de la déduction.

Peter : Il vaudrait 2 millions et quelques.

Neal : Intéressant. Les « Haustenberg » sont rares. Peu de tableaux de lui sont sortis de Hongrie après la guerre.

Peter : La rareté peut faire grimper les prix de façon très impressionnante.

Neal : Pourquoi tu as dit çà en me fixant?

Peter : Ben, à ton avis.

Neal : Je ne l'ai pas volé.

Peter : Je sais que tu ne l'as pas volé. Mais les tableaux, tu aimes çà. Je me disais que si on arrivait à remettre la main dessus, çà te démangerait à nouveau.

Neal : Je sais résister à la tentation.

Peter fixant Neal au lieu de regarder la route. Soudain, la voiture se met à bipper car il va emboutir un taxi. Peter freine.

Neal : Hé! Regarde plutôt la route!

Peter : C'est une berline moderne. Elle prend soin d'elle toute seule. Ce qui me permet de te surveiller toi.

Neal : Mais regarder la route, c'est important aussi.

Le chauffeur du taxi est furieux.

Chauffeur (Au loin) : Mais regardez où vous allez, non!

Peter : Je vois la route.

Neal : (Au chauffeur) Et désolez pour le stress!

Peter : Non. Ne t'excuse pas! En plus, c'est ...c'est lui qui a pilé.

Neal : Ouais. C'est çà.

Peter repart légèrement agacé.

Neal : Tu sais que je n'ai rien fait. Tu as vérifié mon bracelet.

Peter : Je vérifié toujours ton bracelet. Bien scrupuleusement, jour après jour, je retrace l'itinéraire de tes moindres faits et gestes. Un truc intéressant à la gare centrale?

Neal est très gêné.

Neal : Il y a le meilleur bar à huîtres de la ville.

Peter : Hum!....

Neal : J'ai le droit d'aller et venir sur un rayon de 3 km.

Peter : Ouais. Je me demande si on n'a pas été trop généreux là-dessus.

Neal : (Enervé) Oh! ....Ouais. Mm...

Neal fixant l'extérieur, furieux.

Peter : Quoi? T'es fâché maintenant?

Neal : Tu ne me fais pas confiance.

Peter : Tu te souviens de ce que disait Reagan : « La confiance n'empêche pas de vérifier. ».

Neal : C'était aussi la devise de la police secrète soviétique.

Peter : Va falloir t'y faire, camarade!

Soudain, Peter a encore failli emboutir un taxi.

Neal : Hé! Hé! La route!

La voiture fait que de bipper.

Peter : Bon, remettons la main sur cette toile!

Neal : Ouais...Et sur le volant.

MAISON DE JULIANNA - JOUR

Neal et Peter suivant la propriétaire de la maison vers le lieu où est le tableau qui a été volé.

Juliana : Waouh! On m'envoie le FBI. Vous prenez la chose au sérieux.

Peter : Oui, en effet. Êtes-vous la propriétaire?

Juliana : Oui.

Neal : Mm.... (Se raclant la gorge.)

Peter le fusille du regard.

Juliana : Mes parents sont décédés. Je suis majeure et vaccinée. J'ai été cambriolé. Vous avez d'autres questions?

Peter : Le tableau était assuré?

Juliana : Non.

Neal : Il est estimé à 2,6 millions.

Juliana : Ah!.... C'est là qu'il était....Tous les mardis, je suis en cours. Le prof nous a libéré ce jour là alors je suis revenue ici et je suis tombée sur ce ... ce malade qui.... Il était là quand il m'a repoussé contre le mur.

Peter : Il vous a blessé?

Juliana : Oui....Je ...je l'ai frappé au visage et c'est là qu'il m'a dit que si je recommençais, il me ferait la peau.

Neal : Et qu'avez-vous fait?

Juliana : J'ai recommencé.

Neal et Peter rigolent. Soudain, quelqu'un descend des escaliers et les rejoint.

Peter : Vous auriez une photo du tableau? Dans le rapport, il ne figure qu'une description.

Juliana : Hum! ...Oui...Oui....

Juliana va la chercher.

Gary : Je peux vous aider?

Juliana : Non. Çà va, Gary. C'est le FBI. Ils sont là pour le tableau.

Gary : Oh!...Naturellement.

Juliana les quitte un instant.

Gary : Merci d'intervenir aussi vite.

Peter : Oh! C'est normal. Vous étiez présent quand cela est arrivé?

Gary : Non. Je travaillais. Et oui. Je ne peux rien pour vous.

Gary s'en va.

Neal : (Rigolant) Hum! Hum! Super. Ouais.

Peter : Oui....çà pourrait être un coup monté de l'intérieur.

Neal : Et le voleur savait quand opérer et quoi voler, alors c'est possible.

Peter : Ouais. Je pense aussi. Je te laisse récupérer la photo.

Neal : Hum! ....

Peter se précipitant pour rattraper Gary.

Peter : Gary....J'aurais une ou deux questions?

Neal, seul, observe la pièce. Tandis que Juliana revient avec la photo.

Neal : Hum! Hum! ...Gary est votre..?

Juliana : ...Oncle.

Neal : Oncle.

Juliana : (Lui donnant la photo) Cà conviendra?

Neal : Oh! Mon dieu!

Juliana : C'est ma grand-mère et c'est le tableau qui est derrière elle.

Neal : Vous pourriez être jumelles. (Souriant)

Juliana : (Souriant et rigolant) ....Je l'entend comme un compliment. On porte le même prénom. C'est elle qui m'a élevé. Et quand elle est décédée, j'ai hérité de la maison. Et .... De cette fameuse toile.

Neal : Et que pense Gary de tout çà?

Juliana : ...Vous n'êtes pas agent du FBI, vous?

Neal rigole.

Neal : Je l'entend comme un compliment. À quoi ressemble un agent selon vous?

Juliana : Ah! Euh!....

Soudain, Peter les rejoint.

Juliana : (A Neal) Un peu à çà. (Désignant Peter)

Peter : T'as la photo?

Neal : (Souriant) Euh! Oui.

Peter : Alors on y va.

Neal : Hum! Hum! ....

Neal s'en va suivi de Peter, très sérieux.

generique

RUES DE NEW YORK - JOUR

Peter et Neal sortant de la maison et marchant dans la rue.

Peter : Ah! J'ai jamais vu un gars dégainé son avocat aussi vite. Tout ce que j'ai obtenu, c'est qu'il était trailer à Wall Street et que son avocat répondrait à l'ensemble des questions que je lui poserais.

Neal : Il a donc tuyauté le voler avant de partager le magot.

Peter : Moi, je dirais qu'oncle Gary avait un vieux emprunt à rembourser et ...qu'un jour, il en a eu marre d'avoir un paquet de pognons accroché au mur....Maintenant, vu qu'il la ferme, on va la jouer à la dure.

Neal : Quoi? Tout ce que l'on veut, c'est que Gary balance le nom de son complice.

Peter : Ouais.

Neal : Alors laisse-moi lui parler?

Peter, surpris, s'arrête face à Neal.

Peter : Toi?

Neal : Oui...OH! D'accord. Je vais présenter la chose différemment. En tant que simple consultant et non employé du FBI, ...

Peter : Tu es un consultant sous ma propre tutelle.

Neal : Merci de me le rappeler. J'enfreindrai la loi en parlant un peu avec lui.

Peter : (Agacé) ....Je ne veux pas de menaces.

Neal : C'est pas prévu.

Peter : Ni de mensonges.

Neal et Peter se fixant d'un regard dur.

Neal : ....D'accord. Pas de mensonges, d'accord. Je me contenterais de lui demander un nom.

Neal s'en va sous les yeux énervés de Peter.

Quelques temps plus tard, Neal attendant seul, le long d'une auto. Soudain, Gary approche et Neal l'aborde.

Neal : Dis-moi Gary! Juliana sait que tu es complice de ce vol.

Gary, surpris, s'arrête devant l'auto.

Gary : Vous ne pouvez pas être là. Mon avocat a été très clair.

Neal : Cà donne toujours l'air coupable d'engager un avocat.

Gary : Il m'a recommandé de ne rien dire au FBI.

Neal : J'ai l'air d'être du FBI selon toi.

Gary, soudain, est perplexe.

Gary : Qui êtes-vous?

Neal : Réfléchis, Gary!

Gary : C'est lui qui t'envoie.

Neal : A ton avis!

Neal, plein d'assurance, s'approche de lui.

Gary : Oh! Je savais que cela me pendait au nez. Il pense que ce cirque à la maison était prévu.

Neal : Et pourquoi cela a foiré? Juliana ne devait pas être là, mais elle est devenue témoin.

Gary : Cà, c'était pas ma faute. Ces cours ont fini plutôt. Ne lui faites pas de mal, d'accord?

Neal : Ce n'est pas moi qu'il faut convaincre.

Gary : (Gêné) Oh! Et ... elle ne posera plus de soucis. J'y veillerai personnellement.

Neal : Elle pourrait établir un portrait-robot....Ce genre d'imprévus complique la tâche du revendeur de tableau.

Gary : Oh! Tenez! Peut-être que là ... en guise de dédommagement et de ma bonne foi....Voilà 300$. C'est tout ce que j'ai.

Gary tendant une liasse de billet à Neal.

Neal : 300$....Gary.

Gary est de plus en plus inquiet.

Gary : Oh! ....Attendez! Vous avez raison....Je....je rédige un p'tit chèque.

Neal : Cà pourrait marcher.

Neal attendant le chèque.

TERRASSE DE CAFE - JOUR

Neal et Peter, assis à une table, Neal lui donne le chèque que le lui a remis Gary.

Peter : Gary t'a donné ce chèque pour le type qui l'a aidé à cambrioler le tableau de sa mère.

Neal : Hum! ...(Souriant)

Peter est abasourdi et heureux.

Neal : ....Et il a beaucoup insisté.

Peter : Hum! ....

Neal : Aucunes menaces. Aucuns mensonges. J'ai simplement tendu l'oreille.

Peter : Ouais. La méthode devait être un peu limite.

Peter fixe le chèque et rigole.

Peter : Oh! ....Gérard Dorsett.

Neal : Tu le connais.

Peter : Ouais...Ouais. C'est un ....un mauvais garçon.

Neal : Je ne suis pas surpris... Et que devient Juliana? S'il croit qu'elle nous a donné des infos....

Peter : On l'aura attrapé avant que cela puisse se retourner contre elle.

Neal fixe Peter intensément.

BUREAU DU FBI - JOUR

Jones montre une vidéo de Dorsett qu'il a pris à ces collègues et à Neal.

Clinton : Ouais. On la repérait. On le surveille depuis deux jours. Ils se rendent dans toutes les galeries de Manhattan pour placer la « Haustenberg ».

Peter : C'est qui celui-là?

Clinton : Le grand brun...Joshua, un ancien militaire. Ses biceps ont décroché le tableau.

Neal : Juliana l'a bel et bien amoché.

Peter : Elle a du répondant.

Clinton : Et l'autre gars....C'est Dorsett, un français expatrié.

Neal : C'est quoi son truc à part extorquer les courtiers en bourse?

Peter : C'est un créancier haute gamme. Enfin, l'appeler « créancier », çà revient à traiter Oedipe de fils à maman. Il propose des prêts douteux qui sont financés par de grosses boîtes. Un petit retard de paiements est votre bureau part en fumée.

Neal : Pas de chichis.

Peter : La surprise, c'est que tu le rencontres demain.

Neal, surpris, fixe Peter, intensément.

Neal : Comment tu as arrangé çà?

Soudain, une femme surgit dans la pièce.

Taryn : C'est moi qui l'ai fait.

Neal la fixe surpris.

Peter : Neal. Voici Taryn Vanderstant. Elle est acheteuse à la galerie « Lambert » et elle va gentiment nous donner un p'tit coup de main.

Neal, heureux, lui sourit.

Taryn : J'ai convaincu Dorsett que j'avais un client fortuné et très intéressé par ce tableau.

Neal : Combien en demande-t-il?

Neal s'approche d'elle.

Taryn : 100 000 $.

Peter : Euh! ... On a fait en sorte que l'échange se fasse dans cette galerie d'arts....Neal, Jones, ...Allez! On va se préparer.

Jones s'exécutant alors que Neal reste planté devant Taryn.

Taryn : (A Neal) On devrait s'amuser.

Neal, souriant, se tourne vers Peter, furieux.

Neal : Quoi?

Peter : Dis-moi...T'as déjà croisé une fille qui ne ....

Neal : Britney...Britney Nichole. C'était en primaire...J'avis les dents du bonheur.

Neal s'en va sous les yeux ahuris de Peter.

MAISON DE JUNE - APPARTEMENT DE NEAL - JOUR

Neal lit la lettre de Kate et l'étudie. Il s'installe sur son lit et continue sa recherche. Soudain, il se met à la plier dans tous les sens.

Neal : D'accord... « Ici. Vendredi, midi. »

Neal, heureux de sa découverte, sourit.

Neal : ....Kate aime les classiques.

GALERIE D'ARTS - JOUR

Neal fixant une statue quand Peter le rejoint.

Peter : Oh! C'est un gros tas de linge.

Neal : Il vient de partir pour 120 000$.

Peter : Quoi?

Peter allant pour toucher la statue mais Neal le retient.

Neal : Hé! Hé! ....Touches pas!

Peter : Quoi?

Neal : ....L'art n'a pas de prix, c'est connu.

Peter : C'est pour cela que je considère que 2,6 millions, c'est excessif pour un Haustenberg.

Neal : Tu n'aimes pas trop sa peinture.

Peter : J'en sais rien. Je ....çà me rappelle un peu trop la bande dessinée.

Neal : Ah! Je vois ... tu es un béotien.

Peter : Ouais. Ouais. C'est çà. C'est moi qu'il faut soigner. (A l'agent qui installe des caméras) Tout est prêt?

Agent : Oui.

À cet instant, Taryn entre.

Taryn : Il est temps de se brancher.

VESTIAIRE - JOUR

Neal et Taryn se préparant en se mettant des micros cachés sous leurs vêtements.

Taryn : 100 000 $ en catch. C'est beaucoup d'argent. Vous êtes tenté?

Neal : Pourquoi vous dites çà?

Taryn : Peter m'a mis au courant.

Neal se levant et s'approchant d'elle.

Neal : Mis au courant.... C'est de mauvaises augures.

Taryn : Vous croyez.

Neal : Oh! Oui.

Taryn : C'est vrai que vous sortez de prison?

De leur côté, Peter et son équipe écoutent la conversation dans le fourgon.

Neal : Est-ce que j'ai l'air de sortir de prison?

Taryn : Il a dit que vous ferriez çà.

Neal : Que je fasse quoi?

Taryn : Retourneriez la question!

Neal : ....Oui, je viens de sortir de prison, oui, Peter est celui qui m'y avait envoyé et oui, j'avoue être tenté.

Taryn : ....Vous vous seriez évadé pour une fille?

Neal : On prétend que je suis un romantique.

Taryn : Elle aussi ?

Neal : Allez savoir!

Neal s'en va.

VOITURE DE SURVEILLANCE - JOUR

Peter écoutant son agent.

Agent (Talk walkie) : « Dorsett traverse la 20ième. »

Peter : (A Jones) Passes sur la caméra en question! (A son agent, Talk walkie) « Il approche de la galerie. » (A Jones) L'équipe n°1 a le visuel.

GALERIE D'ARTS - JOUR

Taryn allant ouvrir à Dorsett.

Gérard : Ravi de vous revoir.

Taryn : Pareillement. Comme je vous le disais au téléphone, voici M. Devore.

Neal s'approchant d'eux en souriant.

Neal : Appelez-moi Georges!

Quelques instants plus tard, Gérard montrant le tableau à Neal qui l'examine attentivement.

Neal : Je l'imaginais plus grand.

Gérard : Le portrait de Mona Lisa n'est pas grand non plus...S'il vous plaît, montrez-moi l'argent!

Taryn s'exécute tandis que Neal continue d'examiner la peinture.

Taryn : Je souhaiterais l'authentifier.

Neal lui tendant la toile alors que Joshua compte les billets. De son côté, Peter sourit à son équipe.

Gérard : Vous vous connaissez depuis longtemps tous les deux?

Taryn : On est amis depuis quoi....Je ne sais plus... Depuis combien de temps?

Neal : Des années.

Gérard : Mais les belles personnes pimentent toujours leur amitié.

Taryn : En fait, Georges a une petite amie.

Gérard : Comme je le dis toujours, la monogamie est le pire ennemi de la beauté.

Neal : Pas toujours.

Gérard : Voyons....On utilise le terme « Papillon » pour un homme qui passe de fleurs en fleurs. Or, un homme comme vous ferait un papillon très apprécié par les fleurs! Hum! ....

Neal : Pour ma part, je trouve les papillons faibles et fragiles.

Gérard : Pourtant leurs battements d'ailes déclencheraient des ouragans.

Neal : C'est magnifique...Devenez écrivain! Est-ce que l'on pourrait...

Taryn : (A Dorsett) Veuillez fermer la porte!

Dorsett s'exécute malgré lui.

Gérard : J'ai également une petite amie.

Neal : Et elle est fidèle?

Gérard : Elle est française. J'essaye de ne pas y penser.

Avant de fermer la porte, Gérard aperçoit des ouvriers suspects qu'ils l'observent. Soudain, il est inquiet et referme la porte.

Gérard : ....Brigitte est arrivée la nuit dernière et je ne devrais pas la laisser seule trop longtemps dans une ville étrangère. On pourrait peut-être accélérer.

Peter, dans le fourgon, est soudain inquiet.

Taryn : Bien sûr. La lumière, s'il vous plaît?

Dorsett s'exécute. Il éteint la lumière et Taryn allume une lampe bleue pour vérifier le tableau. De son côté, Dorsett fixe Joshua.

Taryn : On peut distinguer du cadmium fluorescent et de l'azurite bleue. La peinture date donc d'avant 1960.

Soudain, Dorsett et Joshua sortent leurs armes et les braquent sur Neal et Taryn qui lèvent les mains immédiatement.

Gérard : Pourriez-vous m'expliquer pourquoi des gens se font des signes à l'extérieur?

Soudain, Neal est inquiet mais reste calme.

VOITURE DE SURVEILLANCE - JOUR

Peter est surpris de la tournure de la situation.

Clinton : On intervient?

Peter : Pas encore. C'est trop risqué.

GALERIE D'ARTS - JOUR

Gérard, agacé, braque toujours son arme sur Neal et Taryn.

Gérard : ...Qui sont ces gens?

Neal : Si tu as mêlé le Fbi à tout çà.

Gérard : (Furieux) Ce n'est pas moi.

Taryn : Je vous avais dit de faire profil bas.

Neal : Vous avez été négligent. Vous baladez ce fichu tableau dans toute la ville et ils vous ont suivi.

Gérard : ....Il se passe quelque chose d'anormal.

Gérard se rapproche de Joshua et de l'argent.

Neal : Evidemment que cela merde.

Gérard prend la mallette d'argent.

Gérard : Pour le temps perdu et le dérangement.

Gérard file avec l'argent suivi de Joshua avec la toile.

VOITURE DE SURVEILLANCE - JOUR

Peter se lève suivi de Jones.

Peter : On y va. On se bouge. Allez! On se bouge. (Talk walkie) « Equipe et équipe 2 : Alpha bravo s'enfuit par derrière. Allez! On y va les enfants. »

GALERIE D'ARTS - JOUR

Neal et Taryn soulagés, se précipitent à la suite des deux voleurs. De leur côté, Peter ainsi que Jones et son équipe entre armés dans la galerie.

Peter : ....Allez! ...Allez!....Allez! Suivez Jones!

Peter rejoint Neal et Taryn alors que Jones poursuit les voleurs.

Peter : Cà va vous?

Taryn : Cà va, oui....

Peter : (A son agent) Arrêtez-les! Arrêtez-les! On doit protéger leurs couvertures.

Son agent, perplexe, s'exécute.

Peter : Lisez-leur les droits! Menottez-les! La totale....

L'agent arrête Neal et Taryn tandis que Peter cherche les deux voleurs.

Peter : (A ses agents) Vous deux, à la sortie nord! A l'opposé de Jones, allez!

EXTERIEUR - JOUR

Tandis que Neal et Taryn sont arrêtés et plaqués le long d'une auto, Peter cherche toujours le deux voleurs.

Peter (Talk walkie) : « Où soit-ils? »

Agent (Talk walkie) : « Ils sont disparus entre les bâtiments. »

Peter (Talk walkie) : « Aucun visuel. »

Agent (Talk walkie) : « Négatif. »

Soudain, Jones surgit avec un vêtement.

Clinton : C'est tout ce que l'on a retrouvé.

Peter : (Furieux) Quoi? (Fixant le vêtement) Ah! Bien sûr! Ils ont changé de vêtements.

Neal est menotté avec Taryn qui lui sourit.

Taryn : C'est toujours aussi mouvementé quand vous êtes dans le coin.

Peter, furieux, prend violemment Neal et le jette dans l'auto.

Peter : Viens là toi! Direction le poste!

RUES DE NEW YORK - JOUR

Peter et Elizabeth se promenant dans la rue main dans la main alors qu'Elizabeth est chargée de paquets.

Elizabeth : Alors la perte de 100 000 $ a dû les contrarier?

Peter : Je pense que le terme « Contrarié » est mal approprié, ils viennent de demander une enquête administrative....Mais si je les retrouve, les choses se tasseront... et je les retrouverai.

Elizabeth : Déjà la bonne nouvelle, c'est que Neal n'y a pas touché.

Peter : Ouais....(Souriant) C'est un progrès.

Elizabeth : T'as aucuns doutes sur le fait qu'il n'y est pour rien.

Peter : Non, mais...L'embêtant avec Neal, c'est que rien n'est jamais comme il paraît....Ce mec est incompréhensible...Il est obsédé par Kate, mais si tu l'avais vu flirter avec cette fille durant l'opération.

Elizabeth : Mais, Chéri, Neal est comme çà. Y a pas de raisons que cela change. C'est pour cela que je t'aime si fort.

Peter : Pourquoi? Parce que j'ai perdu mes talents de séducteur depuis que l'on est marié.

Elizabeth et Peter s'arrêtant en souriant puis ils rigolent tous les deux.

Elizabeth : ...Chéri, même avant, c'était pas trop çà.

Peter : Hum! C'est vrai.

Elizabeth : C'était qui cette fille ?

Peter : Taryn Vanderstand.

Elizabeth : Je ne la connais pas.

Peter : C'es une acheteuse de la galerie « Lambert ». C'est une belle femme plutôt gentille.

Elizabeth : Bon. Ben, tu devrais encourager Neal à aller plus loin.

Peter : L'encourager? Ecoute, c'est vraiment le cadet de mes soucis.

Elizabeth : Chéri, s'il en pince pour la nouvelle, peut-être qu'il arrêtera de chercher Kate.

Peter : Ah!...

Elizabeth l'embrassant tendrement.

Peter : ...Je t'aime.

Elizabeth : Je t'aime aussi.

Elizabeth s'en allant alors que Peter se dirige vers son bureau.

BUREAU DU FBI - JOUR

Neal et Peter entrant dans les locaux et se dirigeant vers une salle d'audience.

Peter : Vous vous entendiez bien Taryn et toi hier?

Neal : C'est pas mon type.

Peter : Quoi? C'est ...Comment çà « C'est pas ton type »? Elle ...elle aime l'art. elle est ...elle est ...On dirait Lara Croft avec un tailleur.

Neal : Mais est-ce qu'elle fait des cookies pour les orphelins?

Peter : Absolument....Hum!

Neal : ....D'accord. J'ai compris. Rencontre une fille sympa et installes-toi tranquille!

Peter : Cà me simplifierait la vie et çà pourrait sauver la tienne.

Neal : T'as menti pour les cookies?

Peter : Prouve-le!

Neal fixant un homme dans la salle.

Neal : C'est qui?

Peter : Le Conservateur du musée Channing.

Peter allant pour entrer, quand Neal le retient.

Neal : (Chuchotant) ....Attends! Attends! Pourquoi il est là?

Peter : Le Haustenberg....Il dit qu'il leur appartient...Tombe le chapeau!

Neal retirant son chapeau et tous deux entre dans la salle.

Quelques instants plus tard, tous assis examinant des documents.

Peter : Et pourquoi ne pas avoir signaler sa disparition?

Conservateur : Nous l'avons signalé au moment où il a été volé en 1967.

Neal levant la main.

Neal : J'aurais une question : Le tableau a été volé en 67, mais il n'est pourtant pas inscrit au fichier des vols.

Conservateur : Le fichier a été établi en 1990.

Neal : 91. Vous auriez dû remplir la déclaration.

Conservateur : Pardonnez-moi! Mais...Vous êtes qui?

Peter : Neal Caffrey, un consultant en arts qui nous aide.

Conservateur : Caffrey : Un nom qui ne me dit absolument rien, c'est bizarre.

Peter : Ce n'est pas plus mal à mon avis.

Conservateur : Un expert d'Haustenberg?

Neal : Des postimpressionnistes européens en général.

Conservateur : J'ai authentifier « La jeune fille au médaillon » quand nous l'avons intégré à notre collection. Vous conviendrez que c'est un excellent travail même sentimental, je trouve. Mais l'influence de Matisse est évidente.

Neal : Oh! Etends donner que Matisse est un fauviste, je ne suis pas du tout d'accord. Et si vous vous référez à ces premiers travaux même là vous avez tort.

Neal souriant alors que le Conservateur est très agacé.

Peter : Nous avons des raisons de penser que ce tableau a été volé chez un particulier.

Conservateur : Ce qui a pu arriver au tableau après que l'on nous l'a dérobé, ne m'intéresse pas du tout....Maintenant, si quelqu'un achète un bien volé, il me semble bien que celui-ci commet un crime.

Peter est maintenant de plus en plus agacé.

Quelques instants plus tard, Peter a convoqué Juliana et l'interroge avec Neal.

Peter : Vous savez comment ce « Haustenberg » est arrivé entre les mains de votre grand-mère?

Juliana : Et bien elle l'a rapporté de Hongrie en venant s'installer ici après la guerre. Pourquoi?

Soudain, Jones frappe à la porte.

Clinton : Agent Burke, je peux vous parler une minute?

Peter : Oui....Excusez-moi! .... Pas d'enfantillage.

Peter se lève et s'en va laissant Neal et Juliana seul à seul.

Juliana : Qu'est-ce qui se passe?

Neal se rapprochant d'elle.

Neal : ....Vous ne savez pas mentir. Votre grand-mère a volé cette toile.

Juliana : Pourquoi est-ce que vous dites çà?

Neal : Elle ne l'a jamais fait assuré, c'était mon premier indice.

Juliana : J'ai droit à la scène du bon flic et du mauvais flic. Il sort un instant et vous m'apprivoisez.

Neal : Si on retrouve le tableau, il retournera au Channing sauf si vous nous donnez une bonne raison de vous le remettre. (Juliana se taisant.) Ah! Hum!... Racontez-moi une histoire! ....Comment elle l'aurait ...Hum...? On imagine.

Juliana : On imagine. Hein? .... Une petite jupe noire, une grande bouteille de Whisky et un gardien irlandais surexcité.

Neal : Pourquoi le ferait-elle?

Juliana lui montrant un médaillon qu'elle a autour du cou.

Neal : (Surpris) ... C'est le médaillon....Votre grand-mère est la fille du tableau.

Juliana range le médaillon alors que Neal sourit.

Quelques instants plus tard, Peter revient. Neal sort le rejoindre.

Peter : Cà donne quoi?

Neal : Oh! Çà va. Des nouvelles de Dorsett?

Peter : Non. Supposons que tu te retrouves avec 100 000 $ en liquide et le tableau. Qu'est-ce que tu fais?

Neal : Je fais le mort le temps que cela se calme.

Peter : Et où vas-tu t'enterrer? Hum!...(Soupirant) Dorsett a parlé de la petite amie qu'il avait.

Neal : Brigitte.

Peter : Oui. Combien de Brigitte ont débarqué de France la nuit dernière?

Quelques instants plus tard, Neal et Peter examinant les listes de passagers arrivés la veille avec Jones.

Peter : Entre les deuxièmes prénoms et les orthographes, il y en a plus que je ne pensais.

Neal : On pourrait écarter les correspondances.

Peter : Et les femmes de plus de 50 ans.

Neal et Clinton le fixant d'un regard inquisiteur.

Peter : Ben, c'est évident.

Clinton : Ouais. Donc il en reste 7.

Peter : D'accord. Faisons plusieurs équipes et chacune d'elles prend une Brigitte.

Neal : Oh! On prend celle descendu au Gansevoort.

Peter et Jones le fixent d'un œil ahuri.

Neal : ....C'est là que j'irai.

VOITURE - NUIT

Neal et Peter surveillant l'hôtel. Peter écoute le match à la radio.

Neal : On pourrait avoir un satellite...pour ce genre de trucs.

Peter : Pourquoi faire? La seule chose qu'il nous dirait, c'est qu'il n'est pas sur le toit. Là, on bosse à l'ancienne.

Neal : (Se moquant) A l'ancienne!

Peter : Détends-toi! Qu'est-ce que tu médites?

Neal : Rien.

Peter : C'est vrai. Je t'aurais bien vu méditer pourtant. Tu veux manger ?

Neal : (Écœuré) Oh! ...çà sent super fort.

Peter : (Souriant) Jambon à la diable!

Neal : Non.

Peter : Ben, essayes.

Neal : Non.

Peter, affamé, croque dans le sandwich.

Peter : Hum! Hum! ....(Se régalant)

Neal, de son côté, change de station de radio.

Peter : Non. Attends! Remets le match!

Neal : J'ai choisi çà.

Peter : T'as fait qu'appuyer sur un bouton, t'as rien choisi du tout.

Neal : On est retombé en enfance.

Peter : On dirait bien que oui. Quand on sera dans ta voiture, là, on écoutera ta radio.

Neal : Je n'ai pas de voitures.

Peter : Ben, c'est un choix de vie.

Peter, ravi, remet le match.

Peter : ....Allez! Retour au match!

Neal, exaspéré, continue de tripoter son papier. Soudain; il aperçoit quelqu'un au loin.

Peter : T'arriverais à quelque chose si tu y entrais?

Neal : File-moi un billet de 20!

Peter : Utilise plutôt ta nouvelle carte?

Neal : T'es au courant pour la carte?

Tous deux rigolant de la situation.

Peter : Garde-la! C'est encore plus facile de savoir ce que tu achètes.

Tous deux se concentrant sur l'hôtel.

Peter : (Enervé) ...D'accord! Entre là-dedans mais pas de mauvais tours! Hein? ...Je te donne 10 min et n'éteins pas ton portable!

Neal : Hum! ....C'est pour toi.

Neal lui donne son papier et sort de l'auto.

Neal : (Chuchotant) ... Pas de mauvais tours.

Neal sortit, Peter jette un coup d'œil sur le papier que Neal lui a donné en forme d avion, puis reporte son attention sur le match.

HOTEL - SOIR - TERRASSE

Neal, assis à une table, boit un verre, fixe la foule et repère deux jeunes femmes au loin.

Brigitte (Au loin) : Oh! Non vraiment....J'ai pas très faim, tu sais.

Claire ( Au loin) : Ouais...C'est quoi?

Brigitte (Au loin) : C'est vraiment gras. Moi, je n'y toucherais pas, c'est pas bon pour ma ligne.

Claire (Au loin) : Brigitte. C'est bien ici. Bois ton vin et tu oublieras tout.

Brigitte (Au loin) : Zzz....

Claire (Au loin) : Pourquoi tu boudes comme çà?

Brigitte (Au loin) : Ben, parce que personne ne veut vraiment s'amuser. C'est çà le problème.

Claire (Au loin) : Souris un peu! Bois ton verre de vin blanc!

Neal, de son côté, cherche avec quelles cartes de crédit il va payer.

Brigitte (Au loin) : (Agacée) Je suis sûre qu'il n'est pas bon.

Claire (Au loin) : Tu l'as goûté....Bois.

De son côté, Neal s'approche de lui.

Brigitte : (Fixant Neal ) Hum! Hum! ....

Neal : Excusez-moi! Je m'ennuie moi aussi. Je vous offre un verre.

Les deux jeunes femmes, ravies, éclatent de rire. De son côté, Peter, heureux, écoute la radio avec attention. Soudain, Neal surgit, heureux lui aussi.

Neal : Hé!

Peter est surpris.

Peter : Quoi?

Neal : (Soupirant et saluant les deux jeunes femmes au loin) ...T'en dis quoi?

Peter : ....Des tapineuses.

Neal : Non. Non. C'est Brigitte et une amie à elle. Elles nous invitent dans leur suite. Brigitte m'aime bien et, toi, tu hérites de Claire.

Peter : Qu'est-ce qui t'as pris? T'es un grand malade.

Neal : La chambre est réservée à son nom, Peter. Et, puis, on ne viole aucunes louis vu qu'elles nous invitent.

Peter soupire face à la situation.

Neal : ....Les 100 000$ et le tableau y sont peut-être. Tu n'as pas envie de savoir si on est au bon endroit....Peter?

Peter : Hum! (Fixant les deux jeunes femmes) C'est laquelle la mienne?

Neal sourit à la remarque.

SUITE DE L'HOTEL - NUIT

Tous les quatre rentrant et s'amusant comme des gosses.

Claire : Je reviens tout de suite.

Les deux jeunes femmes vont dans la salle de bain pour se remaquiller.

Neal : Et ne traînez pas.

Les deux jeunes femmes parties, tous les deux, ils se mettent à fouiller.

Neal : ....Claire est jolie.

Peter : Ouais. Exactement ce dont on a besoin quand on est marié.

Peter surveillant que les filles ne sortent pas.

Peter : Aucunes chaussettes d'homme n'a l'air de traîner dans les environs. Visiblement Brigitte ne semble pas inquiète de voir débarquer son petit copain à l'improviste.

Neal : Détends- toi un peu! Si c'est pas la bonne Brigitte, on va vite s'en rendre compte. T'es mieux là que dans ta caisse avec ton sandwich.

Peter : Voilà ce que l'on fait, à la seconde où l'on découvre que Dorsett est descendu ici. On prend congés et on appelle les renforts.

Neal : Cà roule.

Peter : Elles reviennent.

Les deux jeunes femmes viennent les rejoindre toutes souriantes.

Peter : ...Hum! (Rigolant)

Brigitte referme la porte de la salle de bain à clé sous les yeux de Neal qui fixe Peter d'un regard intense, puis il se dirige vers les deux femmes eu leurs donnent un verre.

Neal : Voilà...

Claire : Ah! Merci.

Brigitte : Merci beaucoup.

Neal : Asseyez-vous! Asseyez-vous!

Les deux femmes s'exécutent en souriant.

Neal : (A Peter) Elle ne veut pas que l'on y entre.

Peter : (A Neal) Ouais. Je l'ai vu fermer à clé.

Neal : (A Peter) S'il y une porte dans la salle de bain, elle communique avec l'autre suite que je peux ouvrir.

Peter : (A Neal, énervé) Non. C'est interdit.

Neal : (A Peter) personne ne l'apprendra.

Peter : (A Neal, agacé) Non. Non. Tu connais très bien els règles en vigueur.

Neal : (A Peter) Oui. Çà va. J'ai compris.

Les deux jeunes femmes s'impatientent.

Brigitte : Hé! Chéri, on peut peut-être avoir un petit peu de musique, non?

Brigitte commençant à se trémousser. Neal et Peter souris, face à la situation.

Brigitte : ....On va rigoler.

Peter : Ah! Ouais. (A Neal) Qu'est-ce qu'elle sous-entend?

Neal : Elle propose un strip-poker.

Peter est inquiet.

Peter : Hein?

Neal : Je blague. Mais imagine un peu.

Brigitte : Allez! On va danser. On va s'amuser.

Neal : Mets leur de la musique et, puis, essaye de te détendre un peu. D'accord?

Peter : D'accord.

Neal : C'est pas là. C'est parti.

Peter, abasourdi, s'exécute. Alors que Neal s'amuse avec les demoiselles.

Neal : Oh!....

Tandis que Neal danse avec Brigitte, il lui vole la clé. De son côté, Peter n'arrive pas à faire fonctionner la sono.

Neal : Donne-moi une minute! ....Hum!...

Neal relâchant Brigitte et fonce dans les toilettes. Peter se jette sur la porte, mais c'est trop tard, Neal à refermer la porte.

Peter : Oh! ....Neal, je sais ce que tu vas faire.

Neal : Donne-moi une minute!

Peter : (Agacé) Oh!....Arrête de te foutre de moi! Sors de là!

Neal, de son côté, force la porte.

Neal : Tente- de les occuper!

Peter : Je...je ...je ne sais pas comment faire? Bordel! Je ne suis plus un séducteur.

Neal ne l'écoute plus car il a ouvert la prote et entre. Alors que Peter est assailli par les deux jeunes femmes.

Brigitte : Oh! ...Vraiment. Tiens! Viens par là! ...T'es pas un séducteur.....

Les deux jeunes femmes forcent Peter à s'asseoir grâce à leurs charmes.

Peter : Hé! Là....

Claire : Assis!

Peter s'exécute.

Peter : Oh! Oh! ....

Brigitte : Mets-toi sur ses genoux! ....

Peter : Non. Mais....

Claire s'assoit sur les genoux de Peter, embarrassé.

Peter : Oh! Je....

De son côté, Neal trouve la veste de Dorsett dans l'autre suite et se met à fouiller. Alors que Peter est de plus en plus gêné par la situation.

Peter : J'aimerais ....J'aimerais mieux me lever.

Claire : Ah! Tu vas goûter à çà.

Elle lui fourre un petit four dans la bouche.

Brigitte : Non.

Claire : Hum! C'est bon? Tu veux de la vodka peut-être?

Peter : En effet, c'est très bon.

Claire : Non. C'est excellent.

De son côté, Neal continue de chercher une preuve. Tandis que Peter continue de s'amuser avec les filles.

Brigitte : Ben, moi....

Soudain le portable de Peter sonne.

Peter : Oh! Oh!.... C'est juste....C'est juste mon téléphone...Non, j'essaye ...j'essaye d'attraper mon téléphone. Je l'ai ....Regardez! ...

Claire lui vole des mains.

Peter : Oh! ...Non. Non. ... Je vous en prie.

Brigitte : Il est à moi.

Peter essaye de récupérer son portable.

Peter : Je vais.... Je vais prendre cet appel. Non. S'il vous plaît, je...

Brigitte : Je veux voir qui appelle?

Peter : Oh! Merci...

Peter, ayant récupérer son portable, regarde le numéro et se lève d'un bond.

Peter : Oh! Non. C'est elle.

Peter décroche mal à l'aise.

Peter (Téléphone) : « Euh! ...Allo. »

Elizabeth (Téléphone) : « Je ne pensais pas réussir à t'avoir. J'allais te laisser un message. »

Peter (Téléphone) : « Oh!...Euh! Oui....J'ai vu que c'était toi. Çà va? »

Elizabeth (Téléphone) : « Oui. Je rentre d'un dîner avec un client et ta planque? Est-ce que çà va? »

Peter (Téléphone) : « Oui. On se fend la poire. »

Soudain, les filles mettent la musique à fond.

Elizabeth (Téléphone) : « T'es où au juste? »

Les filles se mettent à danser sous les yeux exaspérés de Peter.

Peter (Téléphone) : « Je dois...Tu entends là? »

Elizabeth (Téléphone) : « Chéri, est-ce que t'es en boîte? »

Peter (Téléphone) : « Effectivement. Oui. On est dans une boîte de nuit. Il a fallu que je le suives et il a choisi d'aller dans une boîte de nuit. »

Peter essaye de calmer les demoiselles.

Elizabeth (Téléphone) : « Quel exploit!...Waouh! Je suis impressionnée. T'as réussi à y entrer? »

Peter (Téléphone) : « C'est une longue histoire. Je...Oh! Non. Il faut que j'y ailles. »

Les filles lui sautent dessus.

Brigitte : Chéri....

Peter (Téléphone) : « Je gère la situation. Je t'aime....Chérie, je t'aime. »

Elizabeth reste perplexe devant son téléphone.

Peter (Téléphone) : « C'est bourré de monde. C'est plein à craquer.... »

Peter raccroche alors que les filles le jettent sur le canapé. Mais, Peter se relève et fonce vers la porte des toilettes.

Peter : (Hurlant à la porte) Neal...Caffrey. Hé! Elizabeth m'a appelé avec ces deux folles furieuses autour de moi. C'est pas bien.

Neal ne l'écoute pas et décroche le miroir et y trouve le tableau derrière.

Peter : ( Au loin) ....Non. Non. Attendez! ..S'il vous plaît, arrêtez! Si Elizabeth me tombe dessus, j'annule notre marché, Neal. Je le ferais.

Neal ne l'écoute toujours pas obnubilé par le tableau.

Peter : Mais qu'est-ce que tu fais nom de Dieu? ...Oh! Mon Dieu! Pourquoi est-ce qu'elles rigolent?

Neal récupère le tableau.

Peter : (Au loin) ...On peut ...On peut peut-être être amis. Bon. D'accord. D'accord. On arrête là.

Les filles continuant d'embêter Peter en ricanant. Tandis que Neal fixe l'inscription derrière le canapé.

Neal : .... « A ma chère Juliana. Garde-le éternellement. »

Neal replaçant le tableau dans son cadre et sourit.

Quelques heures plus tard, Dorsett entre dans la suite et y trouve les deux jeunes femmes endormies. Mais il constate que le miroir a été déplacé. Il vérifie et trouve le tableau mais ce n'est pas l'original. Il n'est pas content.

RUES DE NEW YORK - JOUR

Neal et Peter rentre de leur soirée.

Neal : Je vais parler à Elizabeth. C'est le moins que je puisse faire.

Peter : Non. Le moins que tu puisses faire, c'est rien du tout et çà me convient parfaitement.

Neal : C'est de ma faute.

Peter : Non. Je n'ai pas besoin que tu ailles mentir à ma femme.

Neal : Tu le feras toi-même.

Peter : Non.

Neal : La vérité, Peter.

Peter : Hum!

Neal : C'est un choix risqué.

Peter : Supposons que....

Neal : Ecoute! Comme je n'arrêtais pas de me plaindre dans la voiture, tu m'as laissé entrer dans cette boîte. Là, tu as vu le suspect y entrait aussi et t'as été obligé de me suivre.

Peter s'arrêtant et réfléchit à la situation.

Peter : C'est presque la vérité.

Neal : Et c'est mieux qu'une pension alimentaire.

Soudain, le téléphone de Peter sonne, y décroche.

Peter (Téléphone) : « Oui. Allo. »

Jones (Téléphone) : « On a perdu Dorsett. »

Peter (Téléphone) : (Agacé) « Et pour le tableau et l'argent? »

Jones (Téléphone) : « Tout a disparu. »

Peter, furieux, raccroche.

Peter : Dorsett s'est fait la belle.

Neal : Cà sent mauvais.

Peter : Ouais. Çà sent mauvais.

MAISON DE PETER - SOIR

Peter et Elizabeth préparent le dîner.

Peter : Tu sais. Ce raté pourrait vraiment être problématique.

Elizabeth : Si tu ne retrouves pas Dorsett, qu'est-ce qui va devenir Neal?

Peter : Il est cuit. Il repart en prison.

Elizabeth : Tu crois vraiment qu'il la volait?

Peter : (Soupirant) Zzz....Oui. Ouais.

Elizabeth : Tu t'en remettras?

Peter : Oh! Oui. Je m'en remettrai....(S'asseyant face à elle) Ecoute, chérie, à propos de la nuit dernière, dans cet hôtel, ....

Elizabeth : Tu veux dire dans cette boîte.

Peter : Oui. Et, bien, ....Neal s'est plaint de l'odeur de mon sandwich après il a trifouillé mon poste radio alors j'ai....(Soupirant et fixant sa femme.) Y a jamais eu de boîte de nuit.

Elizabeth : (Souriante) ....Je sais.

Peter, soulagé et surpris, lui sourit.

Elizabeth : Chéri, tu crois qu'après 10 ans, je ne sais pas quand tu ...

Peter : ...camoufles la vérité.

Elizabeth : C'est une façon militaire de le dire. La prochaine fois, dis-moi tout.

Peter : Exactement ce que je disais à Neal.

Elizabeth : N'écoute que toi.

Peter : Je m'en souviendrai.

Elizabeth : Je sais que tu es ...quelqu'un de bien.

Peter lui sourit.

Elizabeth : ...Plutôt jolie?

Peter : Ben, tout dépend de ce que tu entends par « Plutôt jolie ». Je...je ..je crois que je vais sortir mon joker pour ce coup là.

Elizabeth : Ouais. Tu fais bien.

Tous deux rigolant de la situation.

MAISON DE JUNE - APPARTEMENT DE NEAL - SOIR

Neal, dans son salon, sortant des documents d'un placard et se met à table. Soudain, son portable sonne, il décroche.

Neal (Téléphone) : « Ouais. Qui est-ce? »

Gérard (Téléphone) : « Je pourrais vous retourner la question. Vous semblez avoir beaucoup de noms, Georges. »

Neal (Téléphone) : « Dorsett. Où est-ce que vous avez eu ce numéro? »

Gérard (Téléphone) : « Vous avez payé à boire à ma copine avec votre carte de crédit. Votre ingéniosité m'impressionne. À moi, de vous montrer la mienne, maintenant, je veux le tableau. Si vous ne me rendez pas, Joshua ira rendre visite à votre jolie amie de la galerie. »

Neal (Téléphone) : « Laissez-la en dehors de çà. »

Gérard (Téléphone) : « Brigitte ne savait rien. Vous l'avez impliqué. Vous avez défini les règles, maintenant, il faut les accepter. »

Neal (Téléphone) : « Laissez-moi deux jours! »

Gérard (Téléphone) : « Vous n'en aurez pas d'avantage. »

Gérard raccrochant alors que Neal est inquiet.

Quelques heures plus tard, Neal reçoit Mozzie chez lui.

Mozzie : Tu as volé le tableau.

Neal : J'avais prévu d'aller le rendre à Juliana.

Mozzie : Mais t'es un vrai gosse, tu ne penses jamais aux conséquences.

Neal : C'est çà. Tu peux regardez l'inscription. (Prenant le tableau et le tendant à Mozzie.) Le conservateur disait avoir authentifier le tableau avant qu'il ne soit volé, donc il savait qu'il revenait à Juliana et il a choisi de l'ignorer.

Mozzie : Et toi, t'es Robin des Bois et j'oublie de mentionner qu'au préalable, tu as volé le tableau toi aussi.

Neal : (Agacé) Je ne croyais pas que Dorsett arriverait à s'enfuir.

Mozzie : C'est parce que tu détestes ce type du Channing, tu fais tout çà pour le punir.

Neal : Je fais pire pour moins que çà. Je ne veux pas qu'il s'en prenne à Taryn.

Mozzie : Et qu'est-ce que tu comptes faire?

Neal réfléchit un instant.

MAISON DE PETER - SALON - SOIR

Peter et Neal, assis face à face, tous deux tendus.

Peter : J'espère que cela en vaut la peine.

Neal : ....J'ai pris le tableau.

Peter soupire d'exaspération alors qu'au loin, Elizabeth regarde la scène.

Peter : Tu dépasses les bords.

Neal : Je n'avais pas l'intention de....

Peter lui indiquant de se taire.

Neal : ....Mais je l'ai fait pour....C'est l'occasion de coincer Dorsett, il ne sait pas que je bosse pour toi.

Peter réfléchit à la proposition.

Neal : ....Hum?

Peter : On met çà en place demain....Maintenant, je veux que tu te barres d'ici tout de suite.

Neal : D'accord.

Neal se levant et s'en allant.

Neal : ...Bonne nuit, Elizabeth.

Elizabeth : ...Bonne nuit.

Une fois Neal partit, Elizabeth rejoint Peter et lui fait un câlin alors que lui est contrarié et fixe le dossier à Neal ainsi que le bout de papier qu'il lui a donné.

Elizabeth : Il ...il t'a dit la vérité pour le tableau.

Peter : Hum! Parce qu'ils ont menacé de s'en prendre à Taryn.

Peter continue de s'amuser avec le bout de papier.

Elizabeth : C'est un début.

Peter : Ouais. C'est un début.

Peter lui sourit tandis qu'Elizabeth l'embrasse.

MAISON DE JUNE - APPARTEMENT DE NEAL - SALON - NUIT

Neal exécutant le faux tableau sous les yeux de Mozzie.

Mozzie : Tu sais que tu es incapable de contrôler la moindre de tes pulsions.

Neal : Passe-moi le jaune de Naples!

Mozzie s'exécutant.

Mozzie : ...Le coup de pinceau d'Haustenberg est beaucoup plus fluide, on ne peint pas en tremblant.

Neal : Hum! ...Mon coup de pinceau va bien.

Mozzie : Hum! (Ricanant) ....çà pourrait tromper un touriste lambda mais ce type du Channing ne le laissera pas avoir.

Neal : Je ne me fais aucunes illusions.

Quelques instants plus tard, Neal a fini la toile alors que Mozzie la vérifie.

Mozzie : Ce pigment a besoin d'être vieilli...Je vais faire préchauffer le four.

Neal : Thermostat 125°, çà sera parfait.

Mozzie : Oui. Oui. Je sais comment vieillir une toile.

Mozzie s'en va agacé dans la cuisine alors que Neal de son côté, exécute la touche finale à savoir la gravure derrière la toile.

VOITURE - MATIN

Neal et Peter se rendant au lieu de rendez-vous. Peter est furieux alors que Neal est anxieux.

Neal : Le consultant a pris du plomb dans l'aile.

Peter : Il est plutôt en danger. Il faut pas se râteler.

Neal : Cà ne sera pas compliqué.

Peter : Alors n'y met pas ton grain de sel. D'accord? Contente-toi d'attraper Dorsett!

Neal : Et on repartira du bon pied?

Peter : C'est çà, camarade. (Souriant)

Neal : Tu m'auras à l'œil?

Peter : Oh! T'inquiète!

Peter se gare.

Neal : Allez! À tout à l'heure!

Neal descend de l'auto.

PARKING - MATIN

Neal attendant Dorsett le long d'une voiture. Soudain, Dorsett et son garde du corps surgissent.

Neal : Vous avez eu le cran de venir en personne.

Gérard : Ce n'est pas une question de cran. Je n'ai pas confiance en Joshua pour un tableau d'un million de $.

Neal : Difficile de vivre comme çà.

Neal sortant le tableau.

Neal : ....Sans pouvoir faire confiance à ses proches.

Gérard : J'imagine, oui. Mais, moi, je fais des affaires.

Neal : Vous gagnez.

Neal lui donnant le tableau.

Gérard : Exact. Mais le match fût plaisant.

Soudain, des voitures du Fbi encerclent la zone et pointent leurs armes sur Dorsett et son acolyte tandis que Neal s'éloigne.

Jones : (Hurlant) FBI...Je veux votre vos mains.

Jones menaçant Dorsett qui s'exécute ennuyé.

Jones : ...Le tableau?

Jones récupérant le tableau.

Agent : ...Les mains en l'air! Hé! Oh! Hé! Oh! Calme-toi là!

Les agents arrêtent les deux hommes tandis que Neal s'éloigne en rigolant.

BUREAU DU FBI - JOUR

Peter et son équipe montrant le tableau au Conservateur du Channing. Le Conservateur expertise la toile sous les yeux inquiets de Peter.

MAISON DE JULIANA - SALON - JOUR

Neal et Juliana sont assis face à face alors que Neal regarde les photos de la grand-mère de Juliana.

Neal : Haustenberg était son père.

Juliana : Oui. Elle était sa fille illégitime. Mais il avait déjà une famille à lui en Hongrie. C'était avant la guerre.

Neal : Comment le Channing l'a récupéré?

Juliana récupère les photos.

Juliana : Il a peint ce tableau pour ma grand-mère. Mais, quand elle est partie, le musée a ignoré sa volonté. Qui a envie de se soucier de la fille illégitime d'un peintre reconnu?

Neal : Quand c'est un riche qui agit, ce n'est pas du vol.

Juliana : Comment savez-vous que le Channing ne cherchera pas à le récupérer?

Neal : Parce que si jamais il le fait, le Conservateur devra expliquer : pourquoi ils n'ont pas honoré le vœu d'Haustenberg? Hum! ...(Souriant) Ce qui doit être au-dessus de ses forces.

Neal lui sourit.

BUREAU DU FBI - JOUR

Le Conservateur examine toujours la toile.

Peter : (Soucieux et murmurant) Neal, qu'est-ce que tu as encore fait?

Conservateur : (Lisant l'inscription au dos du tableau.) « Mon cher Walter, je sais ce que vous avez lu à cet endroit la dernier fois. N.C »

Peter : Un problème?

Le Conservateur sursaute.

Conservateur : Euh! ...Non. Je suis juste...euh...submergé par ....(Retournant le tableau) Je suis ému de voir l'original d'Haustenberg rejoindre sa place d toujours.

Peter, souriant, est soulagé par cette affaire.

MAISON DE JULIANA - JOUR

Juliana a raccroché le tableau et le fixe avec Neal à ses côtés. Elle est très heureuse.

GARE CENTRALE - JOUR

Neal attendant Kate. Soudain, Mozzie déboule d'un restaurant et saute sur Neal.

Neal : Deux amoureux qui se retrouvent en cachette, c'est un peu personnel, Mozzie.

Mozzie : Il était hors de question que je te laisse venir seul et s'il y avait le méchant à la bague derrière tout çà.

Neal : Arrête!

Mozzie : Je te dis que tu seras bien content de m'avoir quand, soudain, un laser rouge apparaîtra sur ton joli front.

Neal : (Souriant) T'es un héros incompris, ce n'est vraiment pas juste.

Mozzie : Je vois. Peut-être qu'elle a écrit ce mot il y a trois jours, mais peut-être aussi il y a 3 mois.

Neal : Elle va venir.

Mozzie : Ouais. On est vendredi en plein cœur de la journée alors dis-moi où elle est?

Soudain, au loin, un téléphone sonne. Neal fonce sur le téléphone.

Neal : ...Désolez!

Il décroche rapidement.

Neal (Téléphone) : « Kate »

Kate (Téléphone) : « Neal »

Neal (Téléphone) : « Kate. Où est-ce que tu es? »

Kate (Téléphone) : « Je n'ai pas beaucoup de temps. »

Neal cherchant le lieu où elle est des yeux.

Neal (Téléphone) : « ...T'es à côté? »

Kate (Téléphone) : « Neal. T'es toujours là? ...Neal? »

Neal l'apercevant au loin sur le pont. Il est très heureux.

Neal (Téléphone) : « Salut. »

Kate (Téléphone) : « Salut. »

Neal (Téléphone) : « Ne bouge pas. J'arrive. »

Kate (Téléphone) : « Non, Neal. Il n'est pas loin. »

Neal (Téléphone) : « L'hommes à la bague? »

Kate (Téléphone) : « Oui. »

Neal (Téléphone) : « Je m'en fous. Je m'en fous. J'arrive. »

Kate (Téléphone) : « Ecoute. J'ai besoin que tu me dis où tu as tout caché? »

Neal (Téléphone) : « Quoi? »

Kate (Téléphone) : « L'argent, les œuvres, les titres, tout çà. »

Neal (Téléphone) : « Pourquoi ? »

Kate (Téléphone) : « Il veut un truc précis. Quelque chose que tu as pris et caché. »

Neal (Téléphone) : « Et j'ai caché tout un tas de choses. »

Kate (Téléphone) : « Et, bien, alors donne-lui tout! Si on lui donne ce qu'il veut, je pourrais revenir vers toi. »

Neal (Téléphone) : « C'est qui ? »

Kate (Téléphone) : « Je ne peux pas te le dire. Çà serait trop dangereux pour toi. »

Neal (Téléphone) : « Dangereux? Pourquoi Kate? Dis-le moi! Je peux te protéger, tu sais. »

Kate (Téléphone) : « C'est la seule possibilité que tu as de m'aider. Tu m'as toujours demander de te faire confiances et, bien, maintenant, c'est à ton tour. Je veux rentrer. Indique-moi simplement où tu as tout planqué! »

Neal (Téléphone) : « Non. »

Kate (Téléphone) : « Je veux rentrer chez moi. »

Neal (Téléphone) : « C'est la seule carte qu'il me reste. Je viens te chercher. Ne bouge pas! »

Neal se précipitant vers le pont.

Mozzie : ...Neal...Neal...

Mozzie récupère le téléphone.

Mozzie (Téléphone) : « Kate? »

Kate (Téléphone) : « Mozzie, dis à Neal combien je l'aime? Dis-lui qu'il n'y a pas d'autres moyens? »

Kate raccroche et s'en va. De son côté, Neal se précipite sur le pont, mais elle est partie.

Neal : ...Kate...Kate....Kate....

Neal est complètement désemparé.

A SUIVRE

Écrit par Elena172 

Episode 5 : « The Portrait »

TRAIN STATION - MORNING

Neal and Mozzie, outside the station, examining the scene. Neal sets the bottle with the above plan.

Mozzie : Kate leaves you a bottle with a map on it, And this is where it leads us … grand central station?
Neal : It's something I'd recognize, Moz. Something significant.
Mozzie : (raising his voice) S…significant? Grand central station!
Neal : Something familiar.
Mozzie : She could have sent us anywhere, so she sends us to a place that leads everywhere?

Neal saw an "X "under a beam of the station canopy.

Neal : Mozzie…
Mozzie : You know, there's a great oyster bar in there.

Neal, preoccupied, don’t listen. It gives him the bottle and rushes to the shape of "X". Mozzie is amazed.

Neal : Hey, I think there's something in here.

Neal collecting paper.

Mozzie : "x" marks the spot... again?
Neal : Kate likes the classics.

Neal shows the paper Mozzie. Mozzie, hurry, it takes the paper out of hand.

Mozzie : "Dear Neal, heard you're looking for me. wish I could explain more, but time is not on our side, but you need to stop looking. no one can deny what we have, but it's over. please move on. Kate."
Neal : (Recovering the paper.) All this for "move on."
Mozzie : Oddly bipolar. I'd rather have some oysters.

Neal didn’t listen, fix the paper. Mozzie is exasperated.

JUNE HOUSE - TERRACE - MORNING

Neal, sitting alone thinking, but it is discouraged. Suddenly one strikes.

Peter : Hey.
Neal : Hey.

Peter enters with folders.

Peter : Have a good weekend?
Neal : Ah, nothing too exciting. I went to the park.
Peter : Oh, great. glad you're getting out.
Neal : Coffee?
Peter : Love to. no time. got a stolen painting.
Neal : It's June's italian roast.
Peter : It's...Haustenberg.
Neal : Haustenberg, well... Is it a museum heist?

Peter is serving coffee after spinning back to Neal.

Peter : No. Residential robbery.

Peter drinks her coffee.

Neal : I'd like to meet the person Who keeps a Haustenberg over their mantel?

Neal fixing Peter .

CAR - MORNING

Peter leading Neal to the location of the flight.

Neal : I love Haustenberg. Which one of his paintings was stolen?
Peter : This one is called "young girl with a locket."
Neal : No photograph?
Peter : No, but I bet you it's a painting. Of a young girl wearing a locket.
Neal : You don't get enough credit for your deductive skills.
Peter : It's Worth $2 million and change.
Neal : That's nice. Haustenbergs are rare. Not many of his works made it out of Hungary after the war.
Peter : Yeah. Rare can make it valuable ….very valuable.
Neal : What are you looking at me for?
Peter : Why do you think?
Neal : I didn't steal it.
Peter : I know you didn't steal it, but you like paintings. I'm worried that if we find it, it may be too much temptation for you.
Neal : I can handle temptation.

Peter fixing Neal instead of watching the road. Suddenly, the car starts beeping because it will hit a taxi. Peter brakes.

Neal : Do you want to keep your eyes on the road?
Peter : This is a taurus. car can take care of itself. I'm keeping my eyes on you.
Neal : Good, good. the road is important, too.

The taxi driver was furious.

Peter : I see the road.
Neal : (To driver) Sorry about that.
Peter : No. Don't apologize. that was ….he stopped.
Neal : Yeah!

Peter off again slightly annoyed.

Neal : You know I didn't steal it. you checked my anklet?
Peter : I always check your anklet. I pull a map up on you every day So I can see exactly where you've been. What was so interesting about grand central station?

Neal is very embarrassed.

Neal : Oyster bar …it's the best in town.
Peter : Hum!….
Neal : I stayed within my two mile radius.
Peter : I wonder if we've been a little too generous on that.
Neal : (Scoffing) Oh, yeah.

Neal laying out, furious.

Peter : What, are you gonna sulk now?
Neal : You don't trust me.
Peter : What did Reagan say? "Trust, but verify."
Neal : That was also the motto of the soviet secret police.
Peter : Get used to it, comrade.

Suddenly, Peter was still almost hit a taxi.

Neal : Eyes! road!

The car that beep.

Peter : Let's just recover the painting.
Neal : Yeah, and drive.

JULIANNA HOUSE - MORNING

Neal and Peter after the owner of the house to the place where the painting was stolen.

Juliana : Wow, so, the FBI….you're really taking this seriously, huh?
Peter : We are. Are you the homeowner?
Juliana : Yes.
Neal : Yeah..... (Clearing his throat.)

Peter glares at him.

Juliana : My parents are dead, I'm over 21, and I was robbed. Any other questions?
Peter : Was the painting insured?
Juliana : No.
Neal : It's Worth $2.6 million.
Juliana : Um.....that's where it was. Tuesdays I have classes. Uh, the instructor let us out early. I came in here, and there was this...monster here, And he shoved me up against the wall.
Peter : He hurt you?
Juliana : Yeah. I hit him in the face, And he said if I did it again, he would kill me.
Neal : What did you do?
Juliana : I hit him again.

Neal and Peter laugh. Suddenly, someone down the stairs and joined.

Peter : Do you have a photo of the painting? Your report only had a description.
Juliana : Um... Yeah. yeah.

Juliana will get it.

Gary : Can I help you?
Juliana : Oh, it's okay, Gary. it's the FBI. They're here about the painting.
Gary : Oh, of course.

Juliana left them a moment.

Gary : Thank you for coming so quickly.
Peter : Sure, sure. Were you there when it happened?
Gary : No. I was at work at the time. Wish I could be more help.

Gary goes.

Neal : (Laughing) Um! Um! Great.
Peter : We looking at an inside job? Thief knew her schedule. nothing else was taken.
Neal : I'd go with that. I'd go with that, too.
Peter : Help Juliana with that photo.
Neal : Hmm.

Peter rushing to catch up with Gary.

Peter : Gary, I have a few questions.

Neal, alone, observes the room. While Juliana is back with the photo.

Neal : Hmmm. Gary's your, um...?
Juliana : …Uncle.
Neal : Uncle.
Juliana : (Giving him the photo) Will that do?
Neal : Oh, my goodness.
Juliana : That's my grandmother. that's the painting behind her.
Neal : Could be your twin. (Smiling)
Juliana : (Smiling and laughing) ….I'll take that as a compliment. I was named after her. She raised me. When she died, she left me the house... And the painting.
Neal : What did uncle Gary think of that?
Juliana : …You don't look like an FBI agent.

Neal laugh.

Neal : I'll take that as a compliment. What's an FBI agent look like?
Juliana : Um...

Suddenly, Peter joined them.

Juliana : (To Neal) Him. (Pointing to Peter)
Peter : You got the photo?
Neal : (Smiling) Hmm! Yes.
Peter : Let's go.
Neal : Hmm! Hmm! ….

generique

STREETS OF NEW YORK - MORNING

Peter and Neal left the house and walking down the street.

Peter : I’ve never seen a guy lawyer up that fast. I've got that he's a stock trader on Wall Street And that his attorney and will answer any further questions I might have.
Neal : So, uncle Gary tips off the thief, splits the take.
Peter : More likely uncle Gary owes money to somebody, and he got tired of staring at 2 million bucks hanging on the wall. Now he shuts up, and we do this the hard way.
Neal : The hard way? A…all we need from Gary is the name of the guy he's working with, right?
Peter : Right.
Neal : So, why don't I talk to him?

Peter, surprised, stops against Neal.

Peter : You?

Neal : Yeah. O…okay, let me rephrase that. Since I am a consultant And not technically an employee of the FBI …
Peter : A consultant on a tenuous probation.
Neal : As I'm constantly reminded. Is there anything illegal about me talking to him?
Peter : (Annoyed) ….You can't threaten him.
Neal : Don't plan to.
Peter : Or lie to him.

Neal and Peter fixing a hard stare.

Neal : ….All right. All right. no lying. I'm just gonna ask him for the name.

Neal goes in front of Peter edgy.
Some time later, Neal waiting alone along a car. Suddenly, Gary Neal's approach and addresses.

Neal : Tell me, Gary, Does Juliana know you helped steal the painting?

Gary, surprised, stopped in front of the car.

Gary : You can't be here. My lawyer was very clear.
Neal : First of all, hiring a lawyer makes you look guilty.
Gary : He told me specifically not to talk to the FBI.
Neal : Do I look like an FBI agent?

Gary suddenly is confused.

Gary : Who are you?
Neal : Think hard, Gary.
Gary : Did he send you?
Neal : What do you think?

Neal, full insurance, approached him.

Gary : God, I knew this would happen. What, that whole thing at the house was a setup?
Neal : How'd it go wrong? Juliana wasn't supposed to be there. Now she's a witness.
Gary : It wasn't my fault. her class got out early. Please don't hurt her.
Neal : It's not me you need to convince.
Gary : (Embarrassed)Tell him … Tell him i'll make sure she doesn't cause any trouble.
Neal : She's ready to sit with a sketch artist. This is the kind of thing that makes it much harder for him To sell the painting.
Gary : How about …here. How about a good-faith payment? Here. here's $300. that's all I got.

Gary holding out a wad of tickets to Neal.

Neal : $300.…Gary.

Gary is increasingly worried.

Gary : All right, you're right. you're right. Um...I can write him a check.
Neal : That could work.

Neal awaiting the check.

TERRACE CAFE - MIDI

Neal and Peter, sitting at a table, Neal gives her a check that gave him Gary.

Peter : He wrote you a personal check To the guy he helped steal his mother's painting.
Neal : Um! …(Smiling)

Peter is stunned and happy.

Neal : ….He was very insistent.
Peter : Um! ….
Neal : No threats. no lies. I let him do all the talking.
Peter : I'm calling this a gray area.

Peter fixed the check and laughs.

Peter : Oh…. Gérard Dorsett.
Neal : You know him?
Peter : Yeah. Yeah, he's a...bad guy.
Neal : So I figured. Hey, what about Juliana? He figures out she's talking to us …
Peter : Let's catch the bastard before that happens.

Neal fixed Peter intently.

FBI OFFICE - AFTERNOON

Jones shows a video of Dorsett he took to these colleagues and Neal.

Clinton : Yeah, we got him. We've been sitting on him for two days. They've gone to every high-end gallery in Manhattan offering the Haustenberg.
Peter : Who's that?
Clinton : The big guy?…Joshua. Ex-military, the muscle who stole the painting.
Neal : Juliana wasn't kid ding about the punch.
Peter : Girl has an arm.
Clinton : And the other guy is Dorsett, french expat.
Neal : What's he into, besides shaking down stockbrokers?
Peter : High-end loan-sharking, Although calling him a loan shark Is like calling oedipus a mama's boy. He makes questionable loans with big corporate money. Get behind on your payment, he'll firebomb your office.
Neal : Ouch.
Peter : But the good news is, you get to meet him tomorrow.

Neal, surprised, Peter sets, intensely.

Neal : How'd you arrange that?

Suddenly a woman comes into the room.

Taryn : I set it up.

Neal secures surprised.

Peter : Neal, this is Taryn Vandersant. She's a buyer at the Lambert Gallery And is nice enough to help us out on this one.

Neal, happy smiles.

Taryn : I convinced Dorsett I have a wealthy client who's very interested in the painting.
Neal : How much is he asking?

Neal approached her.

Taryn : $100,000.
Peter : We've arranged to have the exchange happen at the gallery, Neal. Jones, let's get a prep.

Jones running while Neal still standing in front of Taryn.

Taryn : (To Neal) This should be fun.

Neal, smiling, turned to Peter, furious.


Neal : What?
Peter : Have you ever met a woman who didn't ….
Neal : Brittni …. Brittni Nichole... In second grade. I had a gap in my teeth.

Neal goes in astounded eyes of Peter.

HOUSE JUNE - NEAL APARTMENT - EVENING

Neal reads the letter from Kate and studying. He settled on her bed and continued his research. Suddenly he begins to bend in all directions.

Neal : Okay ... "Here. Friday, noon. "

Neal, pleased with his discovery, smiled.

Neal : …..Kate loves the classics.

ART GALLERY - MORNING

Neal fixing a statue when Peter joins him.

Peter : That's a big load of laundry.
Neal : Yeah. it just sold for $120,000.
Peter : What?

Peter going to touch the statue but Neal holds it.

Neal : Hey, hey!
Peter : What?
Neal : ….Can't put a price on art.
Peter : No, you can't, which is why i think $2.6 million Is a little steep for the Haustenberg.
Neal : You're not a fan of Haustenberg?
Peter : Uh, I don't know. It's a little cartoony for my taste.
Neal : You're ……you're a philistine.
Peter : Yeah, yeah. I … I'm the crazy one. (A officer who installs cameras)You all set?
Agent : All set.

At this time, Taryn between.

Taryn : Well, let's get wired.

LOCKER ROOM - AFTERNOON

Taryn and Neal preparing by putting microphones hidden under their clothes.

Taryn : 100 grand in cash …..that's a lot of money. Tempted?
Neal : Why would you think that?
Taryn : Peter warned me about you.

Neal, rising and approaching her.

Neal : Warned you? Sounds ominous.
Taryn : Does it?
Neal : Oh! Yeah.
Taryn : Is it true you just got out of prison?

For their part, Peter and his team listen to the conversation in the van.

Neal : Do I look like I just got out of prison?
Taryn : He said you'd do that.
Neal : What?
Taryn : Redirect.
Neal : Yes, I just got out of prison, yes, Peter is the guy who put me there, And, yes...I'm tempted.
Taryn : ….Is it true you escaped for a girl?
Neal : Oh...Some people think I'm a romantic.
Taryn : Did she?
Neal : I'll let you know.

Neal leaves.

SURVEILLANCE CAR - AFTERNOON

Peter listened to his agent.

Agent (Talk walkie) : « We got dorsett crossing 20th.»
Peter : (To Jones) Let's get a camera on that. (To his agent, Talk walkie) « Okay. They're approaching the gallery.» (To Jones) Team one has the eye.

GALLERY OF ART - AFTERNOON

Taryn open up to Dorsett.

Gérard : Good to see you again.
Taryn : Good to see you. As I said on the phone, this is Mr Devore.

Neal approached them, smiling.

Neal : Call me George.

Moments later, Gerard chart showing who Neal examines it carefully.

Neal : It's smaller than I expected.
Gérard : Have you seen the "Mona Lisa"? It's tiny. Could I see the money, please?

Taryn  runs while Neal continuing to examine the painting.

Taryn : I'd like to authenticate it.

Neal out his canvas while Joshua has the tickets. For his part, Peter smiled at his team.

Gérard : So, you two have know each other for a long time?
Taryn : We've been friends for, I don't know, how long's it been?
Neal : Years.
Gérard : Beautiful people are never just friends.
Taryn : George has a girlfriend.
Gérard : Again, monogamy is the great casualty of beauty.
Neal : Not always.
Gérard : Please. We use the expression "butterfly" For a man who flits from flower to flower. A man such as yourself could bquite a successful butterfly.
Neal : We consider butterflies weak, delicate creatures.
Gérard : Yes, but flap their wings, and they can set off hurricanes.
Neal : That's beautiful. you should write a book. Can we just …
Taryn : (To Dorsett) Close the doors, please.

Dorsett runs against his will.

Gérard : I have a girlfriend myself.
Neal : Is she faithful?
Gérard : She's french. I try not to think about it.

Before closing the door, Gérard sees workers suspect that they are watching. Suddenly he is worried and shut the door.

Gérard : ….Brigitte arrived last night, and I shouldn't leave her alone in a new town for long. Perhaps we could hurry.

Peter, in the van, suddenly worried.

Taryn : Of course. lights, please.

Dorsett runs. It turned out the lights and lit a lamp Taryn blue to check the table. For his part, Dorsett fixed Joshua.

Taryn : I've got fluorescing cadmium green and azurite blue. That puts the paint composition pre-1960.

Suddenly Joshua and Dorsett take out their weapons and steered on Neal and Taryn who raise their hands immediately.

Gérard : Perhaps you can explain Why there are people signaling each other outside.

Suddenly, Neal is concerned but remains calm.

SURVEILLANCE CAR - AFTERNOON

Peter is surprised by the turn of the situation.

Clinton : You want us to go?
Peter : Not yet. We can't risk it.

GALLERY OF ART - AFTERNOON

Gerard, annoyed, still shines on his weapon Taryn and Neal.

Gérard : …Who are they?
Neal : If you brought the FBI into this …
Gérard : (Furious) It was not me!
Taryn : I told you to keep a low profile.
Neal : You were careless. You've been flashing this painting all over town. They followed you here.
Gérard : ….Something is not right here.

Gérard approximates Joshua and money.

Neal : Damn right it's not.

Gérard takes the briefcase of money.

Gérard : For my time and inconvenience.

Gerard file with the money followed the canvas with Joshua.

SURVEILLANCE CAR - AFTERNOON

Peter rises followed Jones.

Peter : That's it. Move, move! (Talk walkie) « Team one, team two, alpha bravo is exiting The rear of the building…. move in.»

ART GALLERY - AFTERNOON

Taryn Neal and relieved, rushed after the two robbers. For their part, and Peter Jones and his team between armed in the gallery.

Peter : ….Go! go! Go! Follow Jones!

Peter joined Neal and Taryn while Jones pursuing the thieves.

Peter : You okay?
Taryn : We're fine.
Peter : (To his agent) Arrest them. Arrest them. We have to keep their cover.

His agent, perplexed runs.

Peter : Handcuff them. Read them their rights, everything.

The officer stopped and Taryn Neal while Peter looks for two thieves.

Peter : (To this agents) You two are on the north end, opposite side of Jones! Go!

OUTDOOR - AFTERNOON

While Neal and Taryn are arrested and plated along a car, Peter is always looking the two thieves.

Peter (Talk walkie) : «Where are they? »
Agent (Talk walkie) : « They disappeared between the buildings.»
Peter (Talk walkie) : «Anyone have eyes? »
Agent (Talk walkie) : « Negative.»

Suddenly, Jones shows up with a garment.

Clinton : All we got is this.
Peter : (Furiious) What? (Fixing the clothes) Ah, they switched clothes. damn it!

Neal is handcuffed him Taryn with smiles.

Taryn : Are things always this interesting when you're around?

Peter was furious, and Neal is violently thrown into the car.

Peter : Come on. You're under arrest.

STREETS OF NEW YORK - MORNING

Peter and Elizabeth walking down the street together when Elizabeth is responsible for packets.

Elizabeth : So, how upset were they that you lost the 100 grand?
Peter : "Upset" is a bit of an understatement. It started an administrative inquiry. Everything will be fine if I recover it …. when I recover it.
Elizabeth : Well, the good news is Neal didn't take it.
Peter : Yeah. (Smiling) This is progress.
Elizabeth : Do you think he actually had anything to do with it?
Peter : No, but the thing about Neal …. Nothing is ever what it seems. The guy's a contradiction. He's obsessed about Kate, but you should have seen him flirting with this girl at the takedown.
Elizabeth : Well, honey, that's who Neal is. That's never gonna change that's what I love about you so much.
Peter : What, that I lost all ability to flirt when we got married?

Elizabeth and Peter stops laughing, smiling and then both.

Elizabeth : …Honey, it was even questionable then. Who's the new girl?
Peter : Taryn Vanderstand.
Elizabeth : Don't know her.
Peter : She's a buyer at the Lambert gallery. She's beautiful, seems nice.
Elizabeth : Well, if Neal's interested, you should encourage it.
Peter : Encourage it? Oh, I need that like a hole in the head.
Elizabeth : Honey, if he would fall for the new girl, he might actually stop chasing Kate.
Peter : Ah!…

Elizabeth embracing her tenderly.

Peter : …Love you.
Elizabeth : Love you.

Elizabeth went away when Peter goes to his office.

FBI OFFICE - MORNING

Peter and Neal entering the premises and heading for a courtroom.

Peter : You and Taryn were getting along pretty good yesterday.
Neal : She's not my type.
Peter : What? not your ….why isn't she your type? She loves art. She looks like Lara Croft in Khakis.
Neal : Really? Does she bake cookies for orphans, too?
Peter : She does.
Neal : ….I get it. Meet a nice girl, maybe settle down.
Peter : Simplify my life, probably save yours.
Neal : You're lying about the cookies.
Peter : Prove it.

Neal fixing a man in the room.

Neal : Who's that?
Peter : Curator from the Channing museum.

Peter going to get in, when Neal holds it.

Neal : (Whispering) ….What? Why…. why is he here?
Peter : The Haustenberg. he says it belongs to them. Lose the stupid hat.

Neal removing his hat and they both went into the room.
Moments later, all sat looking at the documents.

Peter : How come the Channing didn't report it missing?
Curator : We did report it, when it was stolen in 1967.

Neal raised his hand.

Neal : I have a question. The painting was stolen in '67, but it's not listed on the art-loss registry.
Curator : The registry was établisse in 1990.
Neal : '91, actually. You could have re-filed the claim.
Curator : I'm sorry. You are who?
Peter : Neal caffrey. He's one of our art consultants.
Curator : Caffrey. Not familiar with that name.
Peter : It's probable for the best.
Curator : You're an expert on Haustenberg?
Neal : All the late european post-impressionists.
Curator : I authenticated "Young girl with locket" myself when it first entered our collection. You'll agree it's an excellent work, a bit sentimental for my taste, but the Matisse influence is apparent.
Neal : Oh, well, considering Matisse was a fauvist, I wouldn't agree with that at all. Unless you're talking about his early work, which I don't think you are, and if you are, you're just wrong.

Neal smiling while the Curator is very annoyed.

Peter : We have reason to believe that this was taken in a residential robbery.
Curator : What happened to the painting when it was taken from my museum is not my concern. Now, someone elected to buy stolen property. I believe that is a crime.

Peter is now increasingly annoyed.
Moments later, Peter called Juliana and interrogated with Neal.

Peter : Do you know how the Haustenberg came into your grandmother's possession?
Juliana : She brought it with her from Hungary when she came to this country after the war. Why?

Suddenly, Jones knocks on the door.

Clinton : Agent Burke, got a question for you.
Peter : Yeah. Excuse me. Play nice, kids.

Peter gets up and walks away leaving Neal and Juliana alone.

Juliana : What's going on?

Neal approaching her.

Neal : ….You're not a very good liar. Your grandmother stole the painting.
Juliana : Why would you say that?
Neal : She never had it insured. That was my first clue.
Juliana : Is this like a good-cop, bad-cop thing? He takes a call. You wink at me.
Neal : If we get the painting, it's going back to the Channing, Unless you give us a good reason to keep it away from them. (Juliana remaining silent.) All right.  tell me a story. How did she take it? Just ...hypothetically.
Juliana : Hypothetically? A little black dress, a laced bottle of whiskey, and a horny irish security guard.
Neal : Why'd she do it?

Juliana showing her a locket around her neck.

Neal : (Surprised) … That's the locket..Your grandmother's the little girl in the painting.

Juliana ranks the medallion while Neal smiled.
Moments later, Peter returns. Neal out to join him.

Peter : How's it going in there?
Neal : Oh, it's … it's fine. Any luck on Dorsett?
Peter : No. Assuming you just walked with 100 grand in cash. And the painting, what do you do?
Neal : Go to ground till things cool off.
Peter : Where do you go? ( Sighs ) Dorsett said something about having a girlfriend.
Neal : Brigitte.
Peter : Yeah. How many Brigitte came in from france last night?

Moments later, Peter and Neal examining the lists of passengers who arrived yesterday with Jones.

Peter : Accounting for middle names and spelling variations, a lot more than I thought.
Neal : Well, we can discount connecting flights.
Peter : And women over 50.

Neal and Clinton on fixing a inquisitive look.

Peter : Tell me I'm wrong.
Clinton : Well, that leaves seven.
Peter : All right. So, let's pull in some teams, and everybody take a Brigitte.
Neal : We'll …. we'll take the girl staying at the Gansevoort.

Peter and Jones set a bewildered look.

Neal : ….That's where I'd stay.

CAR - NIGHT

Peter and Neal overseeing the hotel. Peter plays the game on the radio.

Neal : You'd think they'd have a satellite for things like this.
Peter : The only thing a satellite is gonna tell us is that he's not on the roof. This is old-school.
Neal : (Laughing) "old-school."
Peter : Will you relax? You meditate?
Neal : No.
Peter : Really? You look like a guy who meditates. Sandwich?
Neal : (Disgusted) What is that smell?
Peter : (Smiling) That's deviled ham.
Neal : No.
Peter : Come on.
Neal : No.

Peter, hungry, bite into the sandwich.

Peter : Hum! Hum! .... (Feasting)

Neal, in turn, changes the radio station.

Peter : No. Wait. Go back to the game.
Neal : No, I called it.
Peter : You were just touching the buttons. that's not calling it.
Neal : What are we, 12?
Peter : I guess we are. When we're in your car, we can listen to your station.
Neal : I don't have a car.
Peter : Poor life choice.

Peter, delighted, presents the game.

Peter : ….And we got the game.

Neal, exasperated, still fiddling with his paper. Suddenly, he saw someone in the distance.

Peter : What do you think you can afford in that place?
Neal : Spot me a $20.
Peter : Why don't you use your new gold card to get it?
Neal : You know about that?

Both laughing situation.

Peter : Keep it. It makes it easier for me to know what you're buying.

Both focusing on the hotel.

Peter : (Annoyed)…Oh. All right, go, but no shenanigans. You've got 10 minutes. and keep your phone on.
Neal : Um! ….That's for you.

Neal gives her paper and out of the car. Neal out, Peter takes a look at the paper that Neal gave shaped plane, then redirects his attention to the game.

HOTEL - EVENING - TERRACE

Neal, sitting at a table drinking a glass, fixed the crowd and mark two young women away. He listens to their conversation. Then after a while, he decided to approach them.

Claire : Brigitte...
Brigitte : (Fixing Neal ) Um! Um! ….
Neal : Escuse-moi. Parlez-vous français? Can I buy you a drink?

The two young women, delighted, burst out laughing. For his part, Peter, happy, listening to the radio carefully. Suddenly, Neal arises, happy too.

Neal : Hey!

Peter is surprised.

Peter : What?
Neal : (Sighing and welcoming the two young women off)…What do you think?
Peter : ….Hookers?
Neal : No. no. That's Brigitte and her friend. I convinced them to invite us up to their suite. Brigitte likes me. You can have Claire.
Peter : Are you completely out of your mind?
Neal : The room is rented in her name. We're not breaking any laws if she invites us in.

Peter sighed at the situation.

Neal : ….The 100 grand and the painting could be inside. Wouldn't you like to know If we're sitting in the right place?
Peter : Yeah. (Fixing the two young women) Which one's claire?

Neal smiled at the remark.

SUITE FROM THE HOTEL - NIGHT

All four returning and having fun like kids.

Claire (French) : Ah, oui.

The two young women go to the bathroom is now disguised. While they are parties, both of them, they start digging.

Neal : ….Claire's cute.
Peter : Yeah. She's exactly what i need in my life right now.

Peter watching the girls do not come out.

Peter : All right. there are no men's socks lying around. Brigitte does not look like a girl who's worried about her boyfriend coming home.
Neal : Peter, you have to relax. If we have the wrong Brigitte, we'll know soon enough. Beats sitting in the car, eating deviled ham.
Peter : All right, fine, the second we find out if Dorsett is staying here, we leave, and we call in reinforcements.
Neal : Done.
Peter : They're coming.

The two young women join them all smiling.

Peter : …Hum! (Laughing)

Brigitte closes the door of the bathroom key under the eyes of Peter Neal that sets a intense look, then he goes to the two women had their give a glass

Neal (French) : Voilà…
Claire (French) : Ah! Merci.
Brigitte (French) : Merci beaucoup.
Neal (French) : Asseyez-vous! Asseyez-vous!

The two women run a smile.

Neal : (To Peter) She doesn't want us in there.
Peter : (To Neal) Yeah, I saw her lock the door.
Neal : (To Peter) I bet there's a door in the bathroom That connects to the master suite. I can open it.
Peter : (To Neal, annoyed) No, you can't.
Neal : (To Peter) I won't tell anyone.
Peter : (To Neal, annoyed) No, no. You understand the rules here.
Neal : (To Peter) Listen, I've heard the speech.

The two young women are getting impatient.

Brigitte (French) : Hé! Chéri, on peut peut-être avoir un petit peu de musique, non?

Brigitte starting to wiggle. Peter Neal and mouse, handle the situation.

Brigitte (French) : ….On va rigoler.
Peter : Ah! Yeah! (To Neal) What's that?
Neal : They want to play strip poker.

Peter is worried.

Peter : Oh...
Neal : I'm kidding. But could you imagine?
Brigitte (French) : Allez! On va danser. On va s’amuser.
Neal : They want music, all right? Come on. Relax.
Peter : All right.
Neal : It's over there. Come on.

Peter, shocked, runs. While Neal has fun with the ladies.

Neal : Oh!….

While Neal danced with Brigitte, he steals the key. For his part, Peter is unable to operate the sound system.

Neal : Just un moment.

Neal releasing Brigitte and drove into the toilet. Peter throws himself on the door, but it's too late, Neal to close the door.

Peter : Oh! ….Neal, I know what you're doing!
Neal : Just un moment.
Peter : (Annoyed) Oh!….Cut the french crap! Get out here!

Neal, in turn, force the door.

Neal : Keep them occupied.
Peter : I can't keep them occupied! I don't...speak french!

Neal no longer listening because he opened the foreman and enters. While Peter is attacked by two young women.

Brigitte (French) : Oh! …Vraiment. Tiens! Viens par là! …

The two young women forcing Peter to sit with their charms.

Peter : Whoo!
Claire (French) : Assis!
Peter : Oh! Oh! ….
Brigitte (French) : Mets-toi sur ses genoux! ….
Peter : No. But….

Claire sits down on Peter's lap, embarrassed.

Peter : Oh! I….

For his part, Neal Dorsett is the jacket in the other suite and began to dig. While Peter is increasingly embarrassed by the situation.

Peter : You know what?
Claire (French)  : Ah! Tu vas goûter à çà.

She sticks a little oven in the mouth.

Claire (French) : Hum! C’est bon? Tu veux de la vodka peut-être?
Peter : I should get up right now. I c…i can't ….
Claire (French) : C’est excellent?
Peter : That's a good grape.

For his part, Neal continues to seek evidence. While Peter continues to play with girls.

Brigitte (French)  : Ben, moi….

Suddenly Peter's mobile rings.

Peter : Aah! Oh! it's just … it's just my phone. Just my phone. No, I'm just getting my phone. I'm just getting it. that's all i'm doing. Just getting my ….see?

Claire fly him his phone.

Peter : No! No! Please don't!
Brigitte (French) : Il est à moi.

Peter tries to retrieve his laptop

Peter : Let's …. let me have the phone. Give me the phone!
Brigitte (French) : Je veux voir qui appelle?
Peter : Oh! Thank you.

Peter, having recovered his laptop, looking at the issue and jumps up.

Peter : Oh, god, it's El!

Peter wins uncomfortable.

Peter (Phone) : « Hello.»
Elizabeth (Phone) : « Oh, hey. Ididn't think I was gonna get you. I was actually gonna leave a message.»
Peter (Phone) : « Oh, hi. Yeah. Well. Uh, saw that it was you. What's up?»
Elizabeth (Phone) : « Nothing. I just got back from a client dinner. I wanted to see how the stakeout was going.»
Peter (Phone) : « Having a blast. »

Suddenly, girls are loud music.

Elizabeth (Phone) : «Where are you? »

The girls start dancing in front of Peter exasperated.

Peter (Phone) : « I'm at a … I'm at a …»
Elizabeth (Phone) : « Are you at a nightclub? »
Peter (Phone) : «Yes, that's where I am. We … we …we're at a nightclub. We …. we followed him into a nightclub. At the Gansevoort? »

Peter tries to calm the girls.

Elizabeth (Phone) : «Wow, honey. I'm impressed. I can't believe you got in there. »
Peter (Phone) : « It's a long story, El. El, I've got to go.»

The girls jump on him.

Brigitte : Chéri….
Peter (Phone) : «I've got a situation here, okay? I love you, honey! »

Elizabeth is perplexed by his phone.

Peter (Phone) : « I love you. It's crowded. It's crowded.»

Peter hangs up while the girls lay on the couch. But Peter gets up and rushes towards the bathroom door.

Peter : (Screaming at the door) Hey, Neal. Caffrey! Caffrey, we got … Caffrey!

Neal didn’t listen and gets the mirror and finds the table behind.

Peter : ( Off) ….Oh! Oh! No, thank you. I don't ….

Neal didn’t always listen mesmerized by the picture. It retrieves the table. While the girls continued to annoy Peter, grinning. While Neal fixed registration behind the sofa.

Neal : ….  "to my dearest julianna, keep this forever."

Neal placing the painting in its frame and smiled.
A few hours later, after Dorsett enters and finds the two young women asleep. But he noted that the mirror has moved. It checks and finds the table but this is not the original. He isn’t happy.

STREETS OF NEW YORK - MORNING

Neal and Peter returned from their evening.

Neal : Let me talk to Elizabeth, all right? It's the least I can do.
Peter : No, the least you can do is nothing, which is exactly what you will do.
Neal : It's my fault.
Peter : No, I don't need you to lie to my wife.
Neal : You gonna do it yourself?
Peter : No.
Neal : The truth, Peter.
Peter : Um!
Neal : Bold choice.
Peter : Hypothetically ….
Neal : See, I would tell her that I wouldn't stop complaining about the car, so you let me go into the nightclub, and you witnessed the suspect enter after me and had no choice but to follow.

Peter stops and thinks about the situation.

Peter : It's almost the truth.
Neal : It's better than alimony.

Suddenly the phone rings Peter, it wins.

Peter (Phone) : «  Yeah.»
Jones (Phone) : « We lost Dorsett.»
Peter (Phone) : (Annoyed) « God... What about the painting and the cash?»
Jones (Phone) : « All gone.»

Peter was furious and hung up

Peter : Dorsett escaped.
Neal : This is bad.
Peter : Yeah, this is bad.

PETER'S HOUSE - EVENING

Peter and Elizabeth prepare dinner.

Peter : You know, this one may be a real problem, El.
Elizabeth : So, if you don't find Dorsett, what happens to Neal?
Peter : He's done. He's back inside.
Elizabeth : Do you actually think he stole it?
Peter : (Sighing) Zzz….Yeah. Yeah.
Elizabeth : You gonna be okay?
Peter : Yeah, I'll be …I’ll be fine, yeah. .... (Sitting in front of it) Honey, listen. About last night at the hotel...
Elizabeth : You mean the nightclub.
Peter : Yeah. Well... Neal was complaining about my sandwich, and then he started fidgeting with the radio, so I ….... (Sighing and fixing his wife.) There was no nightclub.
Elizabeth : (Smiling) ….I know.

Peter, relieved and surprised, smiled.

Elizabeth : Honey, you don't think after 10 years I know when you're...
Peter : …Stretching the truth?
Elizabeth : Well, that's a nice way of putting it. Next time, just tell me.
Peter : That's what I told Neal.
Elizabeth : Then stick to it.
Peter : I will.
Elizabeth : I know you're a good man.

Peter smill her.


Elizabeth : …Was she cute?
Peter : Well, now, that dépends on your definition, 'cause I..I…I  got to plead the fifth on this one.
Elizabeth : Yeah, okay.

Both laughing situation.

HOUSE JUNE - NEAL APARTMENT - EVENING

Neal, in her living room, leaving the documents in a closet and began to eat. Suddenly, his mobile rings, he answers.

Neal (Phone) : « Who is this? »
Gérard (Phone) : « I could ask you the same thing. You seem to have many names, George. »
Neal (Phone) : « Dorsett. How'd you get this number?»
Gérard (Phone) : « You bought my girlfriend a drink with your credit card. I'm impressed with your resourcefulness. Now you will see mine. I want the painting. If it is not returned, Joshua will pay a visit to your beautiful friend at the gallery.»
Neal (Phone) : «You leave her out of this.»
Gérard (Phone) : « Brigitte was out of bounds, yet you involved her. You set the rules. Now you must play by them.»
Neal (Phone) : « I need two days.»
Gérard (Phone) : « That's all you have.»

Gerard hung up while Neal is worried.
A few hours later, Neal receives Mozzie home.

Mozzie : You stole the painting?
Neal : I was going to give it back to Julianna.
Mozzie : You're like a child …. no sense of consequence.
Neal : Okay. will you look at the inscription? (Taking the table and handing it to Mozzie.) The channing curator said he authenticated the painting before it was stolen. He saw that it belonged to Julianna and chose to ignore it.
Mozzie : And you're Robin Hood. And did I forget to mention the part where you stole the painting?
Neal : (Annoyed) I didn't think Dorsett would get away.
Mozzie : This is because you don't like the guy from the Channing. You did this for spite.
Neal : I've done things for less. I can't let him go after Taryn.
Mozzie : So, what are you gonna do?

Neal thought a moment.

PETER'S HOUSE - LIVING ROOM - EVENING

Peter and Neal, sitting face to face, both tense.

Peter : This better be good.
Neal : ….I took the painting.

Peter sighs of exasperation that so far, Elizabeth watches the scene.

Neal : I wasn't gonna …

Peter telling him to shut up.

Neal : ….I did it for …. I can use it to catch Dorsett. He doesn't know I work for you.

Peter is considering the proposal.

Neal : ….Um?
Peter : We'll set it up tomorrow. Now get the hell out of my house.
Neal : Okay.

Neal getting up and going away.

Neal : …El.
Elizabeth : …Bye, Neal.

After Neal left, Peter and Elizabeth joined him a hug while he is upset and set the folder to Neal and the piece of paper that he gave.

Elizabeth : Well, he, uh... Told you the truth about the painting.
Peter : Mm…hmm. Because they threatened Taryn.

Peter continues to play with the piece of paper.

Elizabeth : It's a start.
Peter : Yeah. It's a start.

Peter smiled while Elizabeth kisses him.

HOUSE JUNE - NEAL APARTMENT - LIVING ROOM - NIGHT

Neal running the wrong table in front of Mozzie.

Mozzie : You know you have absolutely no impulse control.
Neal : Hand me the Naples yellow.

Mozzie running.

Mozzie : …Haustenberg's brushwork is much more fluid. You're being choppy.
Neal : Nah. My brushwork's fine.
Mozzie : Um….(Laughing) This could trick the occasional tourist, but this guy at the Channing will not be fooled.
Neal : I'm sure he won't.

Moments later, Neal finished the canvas while the Mozzie checks.

Mozzie : This pigment needs to be aged. I'll go preheat the oven.
Neal : It's 125.
Mozzie : Yeah, yeah, yeah. I know how to age a painting.

Mozzie annoyed goes into the kitchen while Neal on his side, running the final touch to know the burning behind the canvas.

CAR - MORNING

Neal and Peter going to the place of rendezvous. Peter is furious when Neal is anxious.

Neal : How tenuous is my probation?
Peter : It's pretty thin. We need this one.
Neal : It's simple, right?
Peter : Yeah, so don't make it complicated. Take Dorsett down quickly.
Neal : If I get him,you trust me again?
Peter : Yeah, comrade. (Smiling)
Neal : You still gonna verify?
Peter : Oh, yeah.

Peter pulls.

Neal : Here we go.

Neal gets off the car.

PARK - MORNING

Neal waiting Dorsett along a car. Suddenly, Dorsett and his bodyguard arise.

Neal : Surprised you had the guts to come yourself.
Gérard : It's not bravery. I simply don't trust Joshua with a million-dollar painting.
Neal : Is it hard to live like that,…

Neal leaving the painting.

Neal : ….not trusting the people closest to you?
Gérard : I suppose, but I'll take the money.
Neal : You won.

Neal giving the painting.

Gérard : Yes, but it was a good game.

Suddenly, cars FBI surrounded the area and point their guns at Dorsett and his sidekick Neal while away.

Jones : (Screaming) FBI…You're under arrest!

Jones threatening Dorsett running bored.

Jones : …Hands where I can see them! Give me the painting!

Jones recovering the table. Then, officers arrested two men while Neal away laughing.

FBI OFFICE - MORNING

Peter and his team showing the table to the Registrar of Channing. The Curator expertise canvas under the anxious eyes of Peter.

JULIANA HOUSE - LIVING ROOM - MORNING

Neal and Juliana are sitting face to face while looking at pictures of Neal's grandmother Juliana.

Neal : Haustenberg was her father.
Juliana : Yes. She was his illegitimate daughter, but he had a family then in Hungary. It was before the war.
Neal : How did the painting end up at the Channing?

Juliana recovers photos.

Juliana : He willed the painting to my grandmother, but when he died, the museum chose to ignore his will. Who cares about the illegitimate daughter of a famous artist?
Neal : It's not theft when rich men do it.
Juliana : How do you know that the Channing won't try to take it back again?
Neal : Because if they do, the curator will have to explain why the museum went against haustenberg's wishes, and...I don't think he wants that.

Neal smiled.

FBI OFFICE - DAY

The Curator is still reviewing the canvas.

Peter : (Anxious and murmuring) Neal, what have you done?
Curator : (Reading the inscription on the back of the painting.) "Dear Walter, I know what you've read here the last time. N.C "
Peter : Problem?

The Curator jump.

Curator : No, no. Just, uh, overcome with the, uh....... (Returning the painting) I'm thrilled to have the original Haustenberg where it belongs.

Peter, smiling, is relieved by this case.

JULIANA HOUSE - MORNING

Juliana has hung up the table and fixed with Neal at his side. She is very happy.

CENTRAL STATION - AFTERNOON

Meanwhile Kate Neal. Suddenly, a restaurant Mozzie tumbling and jumps on Neal.

Neal : Forbidden romantic meetings are kind of a personal thing, Moz.
Mozzie : Yeah, like I was gonna let you come alone. What if the guy with the ring planted that note?
Neal : He didn't.
Mozzie : You'll be happy I came when a red laser dot suddenly appears on your forehead.
Neal : (Smiling) Enough with the hero talk.
Mozzie : Kate left the note. Okay. Maybe she wrote it three days ago or maybe three months ago.
Neal : She'll be here.
Mozzie : Well, it is friday, and it was noon, so where is she?

Suddenly in the distance, a phone rings. Neal rushes to the phone. He picks up quickly.

Neal (Phone) : « Kate »
Kate (Phone) : « Neal »
Neal (Phone) : « Kate, where are you?»
Kate (Phone) : « I don't have a lot of time.»

Neal seeking the place where it is the eyes.

Neal (Phone) : « …You're here.»
Kate (Phone) : « Neal, are you still there? Neal.»

Neal saw him off on the bridge. He is very happy.

Neal (Phone) : « Hi.»
Kate (Phone) : « Hi. »
Neal (Phone) : « Stay there. I'm coming.»
Kate (Phone) : « No, neal. Neal, he's close.»
Neal (Phone) : « The man with the ring?»
Kate (Phone) : « Yes. »
Neal (Phone) : « I don't care.»
Kate (Phone) : « Listen, I need you to tell me where you hid everything.»
Neal (Phone) : « What?»
Kate (Phone) : « The money, the bonds, the art … all of it.»
Neal (Phone) : « Why?»
Kate (Phone) : « He wants something …. Something you took, something you hid.»
Neal (Phone) : « I hid a lot of things. »
Kate (Phone) : « Well, then, give him everything. If he gets what he wants, he'll let me come back to you.»
Neal (Phone) : « Who is he?»
Kate (Phone) : « I can't tell you. It's too dangerous for you.»
Neal (Phone) : « Dangerous? Why? Kate, just tell me. I can protect you.»
Kate (Phone) : « This is the only way you can help me. You always told me I had to trust you. well, now you have to trust me. I want to come home. Please just tell me where you hid everything.»
Neal (Phone) : « No. »
Kate (Phone) : « I want to come home.»
Neal (Phone) : « It's the only leverage I got. Just stay there, okay? I'm coming up. »

Neal rushed to the bridge.

Mozzie : …Neal…Neal…

Mozzie retrieves the phone.

Mozzie (Phone) : « Kate? »
Kate (Phone) : « Mozzie, tell Neal I love him. Tell him it's the only way. »

Kate hangs up and leaves. For his part, Neal rushed on deck, but it is a party.

Neal : …Kate…Kate….Kate….

Neal is completely distraught.

To Follow

Write By Elena172

 

 

Kikavu ?

Au total, 94 membres ont visionné cet épisode ! Ci-dessous les derniers à l'avoir vu...

albi2302 
24.06.2023 vers 20h

whistled15 
20.12.2022 vers 20h

Rebekkah12 
08.12.2022 vers 14h

lilise38 
30.11.2022 vers 11h

Tibby 
05.04.2022 vers 13h

Yunamina 
28.03.2021 vers 17h

Derniers commentaires

Avant de poster un commentaire, clique ici pour t'identifier.

Sois le premier à poster un commentaire sur cet épisode !

Contributeurs

Merci au rédacteur qui a contribué à la rédaction de cette fiche épisode

laurine03 
Activité récente
Actualités
Des discussions sérieuses en vue d'un revival de White Collar

Des discussions sérieuses en vue d'un revival de White Collar
L'information est dévoilée en exclusivité par TVLine, après les propos tenus par Matt Bomer, en...

L'intégrale de White Collar arrive fin octobre sur Disney+ Star

L'intégrale de White Collar arrive fin octobre sur Disney+ Star
Envie de découvrir ou de retrouver les sourires de Peter, Elizabeth, Neal et bien évidemment ce cher...

Willie Garson nous a quitté

Willie Garson nous a quitté
Willie Garson est décédé cette semaine à l'âge de 57 ans. Cette information a été annoncée son fils...

Matt Bomer tête d'affiche du thriller Echoes face à Michelle Monaghan

Matt Bomer tête d'affiche du thriller Echoes face à Michelle Monaghan
Matt Bomer a décroché le rôle principal masculin du thriller de Netflix, Echoes. Il incarnera Jack...

HypnoCup 2021 - White Collar présente au 4ème tour !

HypnoCup 2021 - White Collar présente au 4ème tour !
L'HypnoCup 2021 continue sur la citadelle ! Cette année 512 couples s'affrontent pour accéder au...

Newsletter

Les nouveautés des séries et de notre site une fois par mois dans ta boîte mail ?

Inscris-toi maintenant

HypnoRooms

langedu74, 12.03.2024 à 21:00

Un nouveau film est à deviner dans notre jeu Ciné-Emojis du quartier HypnoClap !

mamynicky, 13.03.2024 à 10:37

Bonjour les loulous ! Les Bridgerton s'offrent un nouveau design grâce à Spyfafa. Aux couleurs de la saison 3 et du printemps.

sanct08, 14.03.2024 à 11:53

Holà ! Les sondages de Star Trek - Le Caméléon et The X-Files vous attendent ! :=) Pas besoin de connaître les séries

mnoandco, 15.03.2024 à 19:50

Thèmes en vote côté "Préférences". Merci pour vos

lolhawaii, 16.03.2024 à 21:34

Nouveau design pour le quartier 9-1-1 / Lone Star !! On attend avec Prof' vos avis dans les commentaires sous la news du quartier

Viens chatter !